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JimBo Lebowski
400 abonnés
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3,5
Publiée le 11 septembre 2017
Thriller porté à bout de bras par le talent précoce de Jodie Foster, ambiance intimiste, huis clos en crescendo, mystère de bout en bout et bande originale hétéroclite, le tout donne une oeuvre sympathique, sérieuse et captivante, sans nécessairement être mémorable (si ce n'est pour la prestation de Foster, encore une fois).
Un thriller avec la toute jeune Jodie Foster, qui nous sort une prestation mémorable dans ce rôle de petite fille à qui il arrive des tas de mauvaises choses.. Martin Sheen s'en tire très bien aussi. Un film plutôt sombre, à voir.
Dans le style S.KING, L.KOENIG joue sur l'idée d'une étrange affaire?;celle de que fait cette gamine seul dans sa maison,alors que on ne voie jamais son pére:Monsieur Jacob?,àpres un bon suspense , ce film angoissant, seul un jeune homme connaîtras la vérité , jodie qui joue l'ado de 14ans montre une certaine froideur étonnante mais, sans jamais perde de sa juvénilité extra. M.Sheen ombre menaçante pour la petite meurs en dévoilant son amour pour elle en lui caressant ses cheveux blonds sensuellement sur une musique pianistique de CHOPIN une merveille .
Ce film, réalisé par Nicolas Gessner et sorti en 1976, n'est pas mal du tout ! Film totalement passé à la trappe puisque les gens n'ont retenu de 1976 que "Taxi Driver", avec la même actrice, et qui propose pourtant un pitch plutôt pas mal ! Une petite fille vit seule dans une maison reculée dont le père est toujours à Londres ou à New-York. Mais lorsque la propriétaire de la maison et son fils plutôt intrusif vont se pencher de près sur le cas de la jeune fille, les choses vont commencer à se corser. Je n'ai pas lu le livre éponyme de Laird Koening dont le film en est l'adaptation, je ne sais donc pas si ce dernier en est fidèle ou non. Mais en tout cas ici, c'est un film qui fonctionne totalement sur l'ambiance. Nous sommes alors confronté à une petite, au comportement tantôt enfantin, tantôt machiavélique et débrouillarde, ce qui laisse planer un sentiment de malaise durant tout le film. C'est n'est ici pas une critique négative puisque cela contribue justement à la force du film. Malgré tout, le rythme un peu lent, peut nous laisser quelques fois décrocher de l'intrigue, ce qui est plutôt dommage. Un thriller de ce genre n'a certainement pas besoin de ressembler à un film d'action mais néanmoins, je trouve que le film souffre parfois de scènes bien lentes et de dialogues un peu bateau, ce qui est dommage puisque l'on sort de l'ambiance inquiétante et malsaine que le film arrive à mettre en place une bonne partie du temps. La fin est cependant très bonne et très prenante et c'est notamment grâce au jeu de Jodie Foster, très mature pour son âge, qui arrive à nous livrer une prestation convaincante ! "La Petite fille au bout du chemin" n'est donc pas captivant mais reste tout de même pas mal dans l'ensemble !
Ce qui est incroyable dans ce film c'est Jodie Foster, alors encore toute jeune on remarque bien la puissance de cette actrice. Jodie joue avec une ahurissante facilité, de la voir jouer au coté de Martin Sheen est un plaisir d'intensité on ne s'en lasse pas. Il faut aussi prendre avec importance les apparitions du compositeur, chanteur Mort Shuman qui joue là un policier. Une histoire qui commence bien mystérieusement, on se pose des questions, petit à petit on va au fond du problème, ce sont les acteurs qui nous y emmènes fort bien. La Petite Fille au bout du chemin est un film rare tout comme sa diffusion sur le petit écran, donc si vous avez l'occasion de le voir, ne passer pas à coter.
Un magnifique huis clos, sans temps mort. Magnifiquement interprété, ce film multicouches exploite bien des aspects intéressants. De l'éducation, de la table rase, en passant par les vicissitudes de la vie, de la solitude, de la vie parmi les hommes, etc.
Une petite Merveille pour les Fans de Jodie Foster , quel talent elle degage deja alors qu'elle n'as que 14ans!!! meme si elle meme dit avoir apris a etre une vrai comedienne lorsque De Niro l'as prise en main sur Taxi driver. Prestation eblouissante dans un film Noir au coté poetique
La petite fille au bout du chemin est un fascinant thriller franco-Canadien au parfum de mystére envoutant. On peut voir cette histoire de fille de 13 ans qui se retrouve seule dans une grande maison comme un conte habile qui sait preserver le suspense tout en degageant une certaine poésie. Jodie Foster, étonnante de maturité pour son jeune âge ( le talent n'a pas d'âge ), affronte un Martin Sheen effrayant d'anbiguïté aux pulsions pédophiles. Merci à la seance interdite de Jean-Pierre Dionnet de m'avoir fait découvrir ce bijou qui meriterait bien une sortie DVD.
Il est certain que Jodie Foster est excellente dans son rôle, c'est très rare de voir une actrice jouer de cette manière à 13 ou 14 ans. Malheureusement, cela ne suffit pas à faire un bon film... J'ai trouvé ce film très long, voire ennuyeux. Une certaine tension est bien là, d'accord, mais très peu de choses se passent vraiment. Et la fin... est-ce une fin ? Le générique arrive comme un cheveu sur la soupe, alors que rien (ou presque) n'est résolu ! Dommage. Mais c'est sûr que ce film est à replacer dans le contexte de l'époque.
Une idée de départ pas mauvaise mais ça ne suffit pas. Mal filmer et les lumières sont catastrophiques, les dialogues stupides heureusement que le casting est bon.
Ce petit drame/thriller méconnu des 70's mérite l'attention de tout cinéphile qui se respecte, d'abord pour admirer le talent de la jeune surdouée Jodie Foster, crevant littéralement l'écran durant une heure trente où son attitude mystérieuse laisse le spectateur dans l'expectative totale, est-elle une meurtrière, une manipulatrice ou une ado debrouillarde laissée à l'abandon par sa famille? La mise en scène est sans temps mort et maintient un suspense constant, les seconds rôles sont plutôt sympathiques, avec en tête un Martin Sheen convaincant et détestable à souhait.
Jodie Foster est perdue dans un Québec anglophone, isolée dans une œuvre noire qualifiée de film d’horreur. Jodie Foster est pour la première fois en gros au générique et dans un rôle de petite adulte marginale et survivaliste. Jodie Foster qui garde un souvenir affreux du tournage, parce qu’elle a vécu l’ironie d’une production qui la traitait comme une enfant alors que son interprétation adulte n’avait pas qu’à voir avec son talent : elle était comme elle s’est jouée.
La petite maison dans la forêt a une saveur de The Holiday. Un secret, de l’isolement, le film commence aussi fort qu’il finit et ne rencontre aucun trou d’air. Tant pis pour le vécu de Foster : j’ai envie de remercier celui qui a eu l’idée de transformer un roman en pièce de théâtre et de la mettre dans ce proto-Les Nuits avec mon ennemi qui n’a presque que Martin Sheen pour assurer le ciment adulte. Mais on se demande s’il y en avait vraiment besoin quand on voit l’aisance avec laquelle Foster manie l’éloquence dont on la dote ou son habile familiarité avec le décor.
Elle est seule quand elle ne reçoit pas des visites pour la plupart intempestives qui sont les gâchettes d’une ambiance non pas horrifique mais bel et bien giallo, importée peut-être par tous les Italiens supposément voisins de la petite fille. Elle est seule et elle remplit seule le film de sa solitude jusqu’à ce qu’il explose en un monument de drame automnal dont elle est toutes les bourrasques en même temps. Les autres acteurs ne sont pas foncièrement mauvais mais ils sont effacés, car Sheen et Foster uniquement importent.
Assez court, sans répit ni besoin de transitions, le film de Gessner a peut-être été créé sans passion, comme le dit l’actrice, mais il fallait plus que la simple volonté de le tourner pour évoquer ces multiples amputations ressenties même lorsque son visage se ferme comme un morceau de glace. La solitude se transforme en manque puis en délaissement, et c’est un néant qui nous propulse au-delà de la mise en scène modeste, à la fois dans la stupéfaction et vers les bassesses humaines, empêchant par exemple que je remarquasse les fautes de goût.
Ces bassesses ont apparemment infesté les deux côtés de la caméra, volant son âme à un film qui aurait pu être autre chose. C’est à cela, je crois, que l’œuvre tient son côté désincarné et fantomatique, évocateur d’une horreur largement retrouvée dans les mentions au film mais à peine, en fait, en lui. Et sans ça, je doute qu’il aurait été aussi génial.
"La petite fille au bout du chemin" Je ne dévoilerai pas le scénario, bien classe!, mais: Excellent film avec Jodie Foster et Martin Sheen (Apocalypse Now). Un huis-clos palpitant auquel la très jeune actrice fait honneur, plus que jamais: si vous le voyez en VF, sachez qu'elle se double seule, et qu'elle n'a même pas 15 ans! On peut le voir sans sursauter, sans s'inquièter et même très tranquillement, mais chaque adolescent qui a rêvé de liberté ou chaque enfant enfoui effrayé par les bruits de la maison sentira les méandres de cette histoire douceureuse avec familiarité et ... horreur!!!
L'histoire de cette étrange "petite fille" nous tient en haleine jusqu'au bout! Les personnages sont campés, leur comportement est totalement prévisible dès leur première apparition. mais ça se regarde avec intérêt, pas trop mal quand même.