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Pierre Crescenzo
30 abonnés
80 critiques
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5,0
Publiée le 29 mars 2020
Étonnamment, bien que fan de Star Trek, je crois que je n'avais encore jamais vu ce sixième opus en entier. Et c'était une faute, c'est un des tous meilleurs !
Après un cinquième opus plutôt décevant, on ne pouvait pas laisser le capitaine James Tiberius Kirk et son équipage sur cette fausse note que japprécie quand même. Alors on se sort les doits du cul et on reprend le réalisateur de "La colère de Khan" pour acoucher d'un épisode prenant, ou l'aventure, la vraie reprend ses droits. Mais le génie tient dans son scénario qui est un parallèle évident de la fin de la guerre froide. La série a débuté dans les années 60 et traitait déjà de la guerre froide entre les états-unis et l'URSS, il était donc logique que nous disions au revoir à Kirk, Spock, Mccoy, "Scotty", Uhura, Checov, et Sulu à a fin de la guerre froide, ils n'auraient sans doute pas eu leur place aujoud'hui en "terre inconnue". Live long and prospere, Enterprise.
Star Trek VI : Terre Inconnue est le dernier épisode avec le casting de la série originale et pour ce dernier épisode l’équipe du film nous offre un des meilleurs films de la série ou plutôt le deuxième meilleur film après La Colère de Khan. Les Klingons vont s’éteindre. Dans une cinquantaine d’années ils n’existeront plus car une de leur planète qui servait d’approvisionnement de leur ressource a été détruite par l’explosion d’un soleil. L’équipage de l’Enterprise, toujours composé du capitaine Kirk et de Mr Spock, est chargé d’escorter le chancelier Gordon représentant des Klingons pour une conférence de paix. Mais le chancelier est assassiné par deux hommes et le général Chang accuse le capitaine de l’Enterprise. Kirk et McCoy se rendent sur le vaisseau Klingon pour inspecter les dégâts mais sont fait prisonnier et envoyés sur l’astre de glace Rura Penthe. Mr Spock ne dispose que de quelques jours pour tenter l’impossible: sauver ses amis et rétablir la paix. Star Trek VI : Terre Inconnue ne pouvait pas faire pire que Star Trek V : L’Ultime Frontière l’épisode le plus critiqué et rejeté des fans de la série. Pour clore cette première saga de Star Trek on a fait appel à Nicholas Meyer qui n’est autre que le réalisateur du meilleur opus de la saga, Star Trek II : La Colère de Khan. Le retour de Meyer à la tête de ce sixième opus se ressent rien que dans les scènes d’action et la réalisation qui sont mieux maîtrisées, la scène du jugement de Kirk et McCoy est géniale, mais aussi ce qui est géniale dans ce film c’est que le scénario est certainement la meilleure histoire de la saga avec l’opus 2. Cette histoire mêlant conflit politique et science-fiction est passionnante, intelligente et prenante de bout en bout. Il y a toujours des scènes un peu ridicules comme la scène où l’équipage se met a parler Klingon et rire comme eux qui plombe un peu le film, là on sort de l’ambiance assez noire et sérieuse du film. Le scénario est donc géniale et très intéressant, les personnages sont toujours aussi géniaux comme ceux de Spock et Kirk, les scènes d’actions sont plus modernes, le film date de 1991 donc les effets spéciaux s’améliorent, la musique du générique de début est très bien et permet d’entamer le film dans une ambiance plus noire que d’habitude et le titre « Terre Inconnue » est très accrocheur. Ce Star Trek met donc définitivement fin à la génération Shatner et Nimoy, au coté kitch et à l’ambiance de la série des années 1960. Une page se tourne avec ce très bon film de science-fiction. Longue vie et prospérité !
Un film plus proche de la propagande politique que de la SF. On regrette un scénario tiré par les cheveux et beaucoup d’incohérences. Beaucoup d'actions et peu de réflexions pour cet opus bien plus mauvais que ses prédécesseurs. Une grosse déception.
Ce nouvel opus différent, nous montre un Star Trek tourné à présent devant un paix entre Klingons et humains. Une avancée majeure, car cela changera le destin de la confédération des nations et leur but. C'est dans cet opus que l'on apprend une futur retraite de Kirk et son équipe. Et c'est la dernière fois que l'on verra Hikari Sulu, capitaine de l'Excelsior à présent il vogue vers de nouvelles aventures.
Alors que les héros de l'Enterprise vieillissent et que la série de la Nouvelle Génération est lancée depuis un moment, la Paramount décide de donner un baroud d'honneur à nos personnages adorés. Voilà donc Kirk, Spock, Bones, Scotty, Chekov, Uhura et Sulu lancés dans une dernière aventure alors que la Fédération et les Klingons tentent d'établir un traité de paix après des années de conflit. Traité qui sera forcément menacé par les actions de quelques ennemis de l'ombre, faisant tout pour que le conflit se maintienne. Faisant un écho intelligent et sensible à la chute du Mur de Berlin et à la fin de la Guerre Froide, ce sixième opus se distringue grâce au retour de Nicholas Meyer derrière la caméra après "La Colère de Khan". Avec lui, la mise en scène retrouve de la vigueur et de la rigueur et explore des zones d'ombres, des sentiments contradictoires et des situations complexes. Avec ses enjeux de taille dans l'air du temps et ses personnages toujours aussi attachants, "Terre Inconnue" constitue l'opus parfait pour conclure en beauté l'odyssée de l'Enterprise avant le passage de flambeau de "Générations", nous permettant de dire adieu à ses personnages que l'on a appris à aimer et à connaître. A noter quelques guests de choix dans cet opus : Christopher Plummer en général Klingon, Kim Cattrall en jolie vulcaine, David Warner en chancelier Klingon (alors qu'il jouait un autre rôle dans le cinquième opus) mais aussi Christian Slater et trois lignes de dialogues...
Il faut rentrer dans le moule "Star Trek". Je n'apprécie pas le maquillage des méchants. L'intrigue n'est pas mauvais mais les effets spéciaux laissent encore à désirer malgré une amélioration par rapport aux premiers Star Trek. C'est encore un peu kitsch et les explosions et tremblements de vaisseau fréquents. C'est vieillot, encore. Sans doute bien fait pour l'époque, mais peu intéressant aujourd'hui.
Alors que l'empire Klingon s'effondre, des conspirateurs de tous bords s'activent pour faire éclater une guerre interstellaire, et faire porter le chapeau à l'équipage de l'Enterprise. Ce "Star Trek" se veut ouvertement politisé, et renvoie à la chute de l'URSS, pour montrer qu'il faut parfois mettre ses préjugés au placard pour accepter son ancien ennemi. Un message de tolérance et de paix donc, derrière un film divertissant. Même si un aspect téléfilm se dégage toujours, après six volets (!) de cette franchise au cinéma, le rythme est soutenu. Par ailleurs, pour leur dernière apparition ensemble sur grand écran, l'équipage original tire sa révérence avec humour et émotion. On notera aussi que le méchant, interprété par Christopher Plummer, est charismatique mais relativement cabotin, déclamant du Shakespeare à tours de bras. "Star Trek VI" sera enfin le volet après lequel la règle du pair/impair sera de notoriété publique (les films pairs sont bons, les films impairs beaucoup moins...).
Autant, j'ai beaucoup apprécié les deux précédents films (et ça va heurter plus d'un fan), autant, à l'instar des trois premiers, j'ai eu beaucoup de mal à plonger dans ce sixième opus de la franchise "Star Trek", réalisé par Nicholas Meyer qui revient après le 2 (et qui avait écrit le 4) et sorti en 1991. Dernier voyage pour l'USS Enterprise, enfin dernier voyage de la "première phase", l'équipe devra une fois de plus affronter les Klingons. Enfin, c'est un peu plus compliqué que ça ; dans une volonté de sauver les Klingons de la pollution atmosphérique (un truc dans le genre) mais surtout dans une volonté de faire la paix, tout le monde doit aller se mettre d'accord à la Fédération des planètes unies. Mais l'USS Enterprise tire deux missiles dans la tronche des Klingons, ce qui complique la tache. C'est bordélique mais ça l'est toujours dans la saga, surtout avec un univers aussi riche et vaste mais en gros, trois thèmes majeurs ressortent du film : le film de procès, la partie mystère et l'évasion d'une planète prison. Bref, des thèmes qui ne sont pas mal, qui servent surtout à aborder des sujets plus philosophiques comme la peur de l'inconnu par exemple ou encore l'acceptation de l'autre, mais ce n'est pas très palpitant. En effet, on revient sur quelque-chose de très classique et de relativement plat qui peine à avoir un rythme soutenu. Ainsi, je dois dire que je me suis beaucoup ennuyé, même si j'ai apprécié la toute première partie lorsque se rencontrent les deux camps autour d'un dîner. "Star Trek VI : Terre inconnue" est donc certainement appréciable pour les fans mais me laisse en tout cas personnellement un peu indifférent.
C'est déjà un peu mieux que le précédent, mais ce sera toujours difficile d'adhérer à "Star trek" avec un tel épisode. En plus d'être peu entraînant et peu original, ce sixième volet manquera d'idées neuves ; la seule et unique innovation résidera dans la présence d'un nouveau personnage changeant son apparence selon ses envies (de quoi ravir les amateurs de Mystique de l'univers "X-men"). Le scénario restera quant à lui fidèle aux précédents, lent et peu attrayant.
Star Trek VI : Terre Inconnue est une conclusion plutôt satisfaisante de la saga originale Star Trek. C'est à mes yeux le meilleur film Star Trek de l'ancienne génération. L'intrigue offre une fin très agréable à cette saga (tournant autour de la paix enfin établie dans cet univers Star Trek, qui subissait depuis bien longtemps de la guerre avec les Klingons). Le choix de l'intrigue est clairement le bon. Les acteurs sont bien dans leurs rôles respectifs. Et les effets spéciaux tout à fait visionnables (là où ceux des précédents films avaient pris un coup de vieux) Le générique final est vraiment top (avec l'idée d'un baroud d'honneur sous forme d'autographe autour des acteurs campant les mythiques membres de l'USS Enterprise depuis plusieurs décennie). Pas surprenant que 30 ans plus tard, Avengers fasse le même choix. Un final séduisant
Un très bon film avec l'équipage de l'Enterprise et Kirk comme capitaine. Un scénario qui touche à différents genres avec des ingrédients d'aventure, de suspense, d'enquête et de science fiction pour le côté fantastique des races extra-terrestres.
Un nouveau changement de style, on est ici dans l'intrigue politique. L'histoire est excellente et permet d'ouvrir l'univers de Star Trek. Même si l'équipage est vieillissent, le film n'étant pas basé sur l'action cela ne se remarque pas trop. Un bon opus.
L’idée de faire une analogie de l’effondrement du bloc de l’est à travers un accord entre l’empire klingon et la fédération planétaire fut une excellente idée scénaristique de la part de Nicholas Meyer, auteur du meilleur épisode de cette saga en perte de vitesse que fut la Colère de Kahn. Malheureusement, contrairement à ce second opus aux dimensions épiques, l’écriture terriblement bavarde de cette ultime aventure de l’USS Enterprise contrebalance les attentes que laissaient présager ces enjeux majeurs rapidement mis en place dans cette intrigue finalement mollassonne et le recours à des guest-stars de renom, tel qu’un Christopher Plummer en général klingon. Une enquête autour d’un complot politique n’est sans doute pas ce qui convenait de mieux pour que les trekkies fassent leurs adieux à leurs héros du space-opéra.