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ferdinand75
551 abonnés
3 872 critiques
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3,0
Publiée le 19 juin 2016
Un très bon 2e opus avec Tim Burton aux manettes. Beaucoup de brio et de créativité dans la mise en scène. Des effets spéciaux esthétisants, et un bon jeu d'acteurs. Un scénario solide et très bien construit.
J'emploie rarement ce terme mais ce film est pour moi un chef-d'oeuvre. L'on retrouve tout l'univers de Tim Burton. L'ambiance à la fois féerique et ténébreuse. Quand à la musique c'est une des meilleures BO de l'histoire du cinéma. C'est magnifique.
Batman le défi, tout comme son prédécesseur, est très réussi et transforme l'essai. L'univers gothique de Burton marche toujours aussi bien, les effets spéciaux et les scènes d'action sont au rendez-vous. Le scénario est plutôt intéressant même s'il est assez prédictible. Les plans du Pingouin sont moins maléfiques ou imprévisibles que ceux du Joker, mais reste efficace. Les touches d'humour sont bien amenés, notamment par le personnage du Pingouin (se distançant ainsi un peu de sa version dans les comics) afin de compenser l'absence du Joker. Le casting est excellent. Michael Keaton est toujours crédible en Batman / Bruce Wayne, Danny DeVito est à la fois drôle et effrayant en Pingouin spoiler: (sa fin n'en est que plus décevante, il meurt un peu comme un merde) . Michelle Pfeiffer est absolument sexy en femme fatale. Christopher Walken et Michael Gough sont également très bons. La musique de Danny Elfman est toujours aussi percutante, diffère suffisamment de celle du précédent volet pour être originale sans pour autant oublier le thème mythique de Batman. Un Batman réussi, dommage que la collaboration entre Warner Bros et Tim Burton s'arrête là pour laisser place aux deux navets qui suivront.
Le meilleur de tous les films de Batman à mon goût. Un déluge de punch-lines, d'humour, de chorégraphies, de clins d'oeil cinématographiques, avec une esthétique impeccable.
Le succès de Batman en 1989 (plus de 400 millions de dollars) permit à Tim Burton d’avoir les mains libres pour la suite, Batman : Le Défi. Ce dernier devient donc plus un film de Tim Burton qu’un film sur Batman. En effet, Burton laisse la part belle aux méchants en les modifiant profondément pour en faire des exclus. Cela se ressent surtout dans le personnage du Pingouin. Le personnage n’est plus un aristocrate surprotégé par sa mère mais un enfant difforme abandonné par ses parents et élevé dans les égouts. Il n’est plus juste méchant mais un être poussé vers le mal à cause de son exclusion, ce qui peut nous amener à avoir de la compréhension envers lui (d'autant plus que le fait qu'il ait 33 ans est sûrement une référence christique volontaire). L’émotion et l’aspect animal du personnage est parfaitement véhiculé par un Danny DeVito extraordinaire et par des maquillages extrêmement réussis. Catwoman, quant à elle, n’est plus une voleuse mais une secrétaire un peu gourde qui devient un être un peu surnaturel (elle possède neuf vies comme un chat) cherchant à se venger après que son patron ait tenté de la tuer. Elle revêt désormais un look SM qui transforme Michelle Pfeiffer (une belle actrice qui ne porte pas le sexe sur le visage comme le disait Alfred Hitchcock) en symbole sexuel hallucinant. Ce personnage ambigu (comme dans la BD, Bruce Wayne et elle sont attirés l’un vers l’autre malgré qu’elle puisse être classée chez les méchants) devient comme le Pingouin un être humain victime de rejet (elle est prise pour une idiote par tout le monde), ce qui la pousse à agir en dehors de la loi. La fracture entre le bien et le mal et entre l’homme et l’animal reste donc particulièrement ambigüe (surtout que Batman continue à ne pas hésiter à tuer ses adversaires) et c’est cette zone grise qui intéresse particulièrement Burton. Cela fait que Batman : Le Défi malgré ses nombreuses séquences d’action et ses cascades possède un aspect moins blockbuster que le précédent (ce qui poussera le studio à choisir Joel Schumacher et non plus Tim Burton pour les films suivants, beaucoup plus grand public mais nettement moins réussis). Burton apporte au film un look encore plus gothique (dus entre autres aux décors de Bo Welch et à la photographie teintée d’expressionnisme de Stefan Czapsky) totalement en adéquation avec son univers (le fait qu’un des méchants se nomme Max Shreck fait référence à l’acteur de Nosferatu le vampire de Friedrich Wilhelm Murnau, classique du cinéma expressionniste, genre parfaitement adapté à Burton), qui se moque du réalisme au profit de l’onirisme (les critiques envers certains aspects peu crédibles sont donc totalement hors sujet). La beauté de l’ensemble est renforcée par la splendide musique de Danny Elfman qui compose des morceaux pleins d’émotions (les thèmes de Catwoman et du Pingouin sont justes extraordinaires) : le compositeur signe là une de ses plus belles bandes originales. Après avoir signé Edward aux mains d’argent, Tim Burton, qui était alors dans sa période la plus intéressante et la plus personnelle, offre à nouveau un véritable chef-d’œuvre émouvant (notamment grâce à sa musique) et d’une grande beauté plastique qui est plus un film sur l’univers de Batman que réellement un film sur Batman. Cet acte d’auteur s’éloignant du film grand public provoqua hélas le choix du studio d’aller vers un univers plus familial avec Batman forever et Batman et Robin de Joel Schumacher.
La patte de Tim Burton est vraiment géniale, mais ce qui fait le plus de ce film c'est clairement le trio formé du charismatique Michael Keaton (Batman / Bruce Wayne), de la superbe Michelle Pfeiffer (Catwoman) et de l'inégalable Danny DeVito (le pingouin). Le film est noir, profond, mouvementé avec quelques doses d'amour et d'humour. Cette alchimie marche bien.
Une Pure Merveille. Aprés un Premier Episode Mythique au succès colossal, le cinéaste Tim Burton met la barre encore plus haut avec ce Second Volet Plus Noir et Plus Mouvementer que le précédant. Grace a une Mise en Scène virtuose qui dispose d'une remarquable reconstitution de Gotham City en période hivernale dont l'ambiance Gothique et la Noirceur qui guettent sur la ville sont plus présent que jamais et qui est accompagnée d'une BO magistral de Danny Elfman qui fournit un travail de qualité en correspondant parfaitement au long métrage. Ensuite le Scénario est plus Audacieux et Captivant en parvenant a monter d'un cran les enjeux a travers un rythme parfaitement soutenue au cours duquel on ne s'ennuie jamais au cours des 2h00, ajouter a cela des Effets Spéciaux révolutionnaire ainsi que des Séquences D'Actions plus nombreuses qui se révèlent au passage plus Epique avec une note d'Humour Noire parsemé de Répliques Cultissimes ainsi qu'une note de Romance et de Poésie intelligemment intégré au film. Enfin le Casting est quand a lui Majestueux dont on retrouve avec joie l'excellent Michael Keaton qui endosse a nouveau le costume de Batman qui reste toujours Charismatique et Ténébreux tout en assurant avec nuance dans la peau de son alter égo le milliardaire Bruce Wayne qui voit la ville de Gotham City plus menacé que jamais qui cette fois de multiples Antagonistes plus menaçants et machiavélique qui possedent une psychologie trés appronfodies et fascinant qui donnent énormément du fil a retordre a notre homme chauve souris a commencer par le répugnant et intriguant Pingouin alias Oswald Cobblepot qui est merveilleusement interpréter par Danny De Vito dont on parvient malgré a éprouver un peu de pitié a ce Criminel Difforme qui possède un passé tragique, a ses cotés la séduisante et énigmatique Catwoman alias Selina Kyle qui fait une entrée fracassante en y apportant une relation pimenter et complexe dans la vie de notre justicier milliardaire sous les traits de la ravissante Michelle Pfeiffer qui excelle avec panache dans la peau cette Femme Chat dangereuse et imprévisible et pour combler le tout le troisième antagoniste est une belle ordure sous les traits du Businessman Max Shreck dont le comédien Christopher Walken y est excellent dans la peau de cet industriel lâche et sournois sans oublier les dévoues majordome Alfred et le Commissaire Gordon qui viennent prêter main forte a notre Justicier Masqué avec les performances sans fausse note et respectives de Michael Gough et Pat Hingle qui viennent enrichir cette belle distribution. En Conclusion, Batman Le Défi est une remarquable suite qui surpasse a tous les niveaux son prédécesseur en entrant au panthéon des meilleurs films de Super Héros dans l'histoire du Cinéma ainsi qu'aux rangs des Chefs D'Oeuvres les plus marquantes des années 90 et qui s'avére a la fois plus Sombre,Poétique,Spectaculaire et Intimiste qui rivalisent tout se complétant brillamment avec la mythique trilogie de Christopher Nolan qui est également a la hauteur de la mythologie Batman dont les amateurs du genre tout comme les réfractaires seront littéralement aux anges par ce énorme bijou cinématographique a redécouvrir d'urgence.
Bien que Burton ait retranscrit son univers comme il sait le faire, ce batman le défi est légèrement en deçà par rapport au film précédent. La faute à des mises en scène qui font pâle figure, toutes ou presque centrées sur Batman. Celui-ci est beaucoup naïf et tombe trop facilement dans les pièges du pingouin, qui est pour ma part un des vilains les plus profonds, chose qu'on ne sentira pas avec les prochains ( double face et l'homme mystère). Celui forme un beau duo avec Catwoman, qui aurait mérité d'être plus exploité. Dans l'ensemble, Burton réussit le défi de réaliser une suite digne de son premier film, sans tomber dans le piège de faire un film centré uniquement sur Batman, mais au contraire, en réalisant un film avec des personnages secondaires convainquants et indispensables
Tout commence par un pur film de Tim Burton : tout est un peu meilleur que dans le premier opus et on sent qu'il a obtenu une bien plus grande liberté (artistique et budgétaire). Mais autant le personnage du Pingouin est bien amené, autant la -pourtant magnifique- Catwoman peine à prendre ses marques avec une psychologie de caractère dur à suivre dès le départ : la question non posée en pleine réunion, la phrase "Chéri je suis rentré! Ah j'oubliais je ne suis pas mariée!" et je ne parle pas de la suite. Ca ralentit en plus le film qui possède de nombreux temps morts et de très prometteur au début on devient un peu déçu par la suite...
Pour le second Batman de Tim Burton on retrouve le même univers que le premier entre le réel et un monde presque de dessin-animé. La question que l'on peut se poser si on est pas familier avec l'univers de Batman est comment on peut faire d'un pingouin un méchant? Ici on peut dire merci à Danny DeVito qui rend ce Vilain abominablement pervers et difficile à regarder, en d'autres mots on regarde les pingouins d'un autre œil après ce film. L'histoire n'est guère différente des autres, on retrouve les mêmes règles avec un conflit entre un méchant tendant des pièges au héros. On en oubli l'apparition de Catwoman qui est bien une voleuse maligne et fine au contraire de celle des années 2000 jouée par Halie Berry. Voilà maintenant si vous aviez l'intention de vous faire toute la saga Batman des années 90 je vous conseil de vous arrêter à ce film auquel cas vous oublierez le goût des bons films!!!
Après le succès de Batman, Tim Burton est repassé derrière la caméra pour filmer la suite des aventures de l’homme chauve-souris. Avec Batman Returns, le réalisateur a décidé d’élever encore plus le niveau. Après avoir donné naissance au Joker interprété de manière magistrale par Jack Nicholson, Tim Burton a choisi de compliquer les choses en nous offrant non pas un, ni deux, mais trois méchants. Le principal adversaire de Batman étant le Pingouin, et afin de compléter la ménagerie on assiste également à la création de Catwoman alias Selina Kyle. Batman Returns est la suite directe de son premier film consacré au milliardaire Bruce Wayne.
Batman est à nouveau seul, son histoire avec la photographe Vicky ayant pris fin. Alors que la ville de Gotham va devoir élire un maire prochainement, Max Shreck un méchant en costume 3 pièces qui a fait fortune dans l’industrie notamment en contaminant l’eau, souhaiterait pouvoir présenter un homme qui mènerait une politique qui lui serait favorable. Son souhait va être exhaussé le jour où il est kidnappé par le Pingouin. Ce dernier lui propose une alliance, Max Shreck doit le rendre présentable aux yeux des habitants de Gotham. Parallèlement à sa campagne de réhabilitation le Pingouin et ses sbires sèment la terreur dans la ville. Bruce Wayne semble être le seul qui n’est pas dupe des manœuvres de ces hommes. Le milliardaire rencontre lors d’un entretien avec Max Shreck son assistante Selina qui dans un concours de circonstances tragiques va devenir Catwoman. Cette dernière veut éradiquer Batman et va donc s’allier avec le Pingouin pour le mettre hors course.
Tim Burton nous propose un film noir mais réalisé avec brio. Batman Returns nous permet d’assister à la naissance de personnages de premier plan : le Pingouin et Catwoman. Pour ce second opus, le réalisateur a encore fait appel à Michael Keaton pour revêtir le costume du justicier masqué. Du côté des méchants, Michelle Pfeiffer interprète Catwoman et Danny DeVito joue le Pingouin. Enfin pour interpréter Max Shreck on retrouve Christopher Walken. Bref un casting de stars pour un film qui a marqué l’enfance de beaucoup de personnes.
Réalisé en 1992, Batman Returns est bien sûr un peu dépassé que ce soit lors des scènes de bagarres ou encore pour les effets spéciaux. Toutefois, j’ai été agréablement surprise de voir que ce film avait très bien vieilli. Les acteurs sont convaincants, les costumes rudimentaires mais efficaces et les décors reflètent complètement l’univers de Tim Burton. Si Danny DeVito et Michelle Pfeiffer sont les deux personnages marquant de ce film, Batman Returns est aussi un film qui montre qu'il est possible d'être très ambitieux même à une époque où la technologie n'offrait pas les mêmes opportunités qu'aujourd'hui.
Un des meilleurs films Batman ex-aequo avec Batman de 1989 et The Dark Knight. Film sombre certes, "trop sombre" d'après la Warner Bros. mais c'est justement ce qui fait son succès (je rappelle que The Dark Knight est lui encore plus sinistre et pourtant quel succès !).
Ce Batman est génial tant dans les prestations de Danny DeVito, Michelle Pfeiffer et Christopher Walken. Michelle Pfeiffer est glamour en Selina Kyle et électrisante en Catwoman. Une très bonne bande originale orchestrée par Danny Elfman, avec le titre "Birth of Penguin" : la scène est digne de Moïse sauvé des eaux. La meilleure fin avec le décès du Manchot, très émouvante, avec les manchots qui avancent lentement vers le cadavre, sur fond de musique douce. Tim Burton signe là un chef-d'oeuvre, une référence du cinéma fantastique. À VOIR ET À REVOIR !!
Batman Returns avec une atmosphère encore plus gothique et une intrigue qui fait la part belle aux ennemis de Batman, plus qu'à lui. Le Pingouin prend un rôle majeur et est incarné de manière inoubliable par Danny De Vito dans un mélange de clownerie et de pathétique. Michelle Pfeiffer est une Catwoman écorchée vive et très ambigue qui donne beaucoup de profondeur à sa relation avec Bruce Wayne. Un tour de force de Tim Burton à nouveau que de réussir à imposer son univers.
Y a rien a faire je n'accroche vraiment pas aux batmans de Tim Burton !!! Le monde qu'il crée est vide pas beau du tout !! Batman n'a aucune prestance les méchants sont vraiment a mourir de rire!!! la seule chose qui en vaut la peine c'est le pingouin qui est très bien joué par Danny Devito sinon le film est très mauvais !! Franchement avec un budget pareil ils auraient pu mieux faire que ça!! Non franchement Tim Burton tu as fait du très mauvais boulot 3/10 !!! Voila une suite qu'ils n'ont pas améliorée aussi mauvais que le premier batman!!!