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Un visiteur
3,0
Publiée le 28 janvier 2012
Légèrement moins bien que le précédent, il fait tout aussi enfantin selon moi. Mais la prestation de DeVitto est très bonne, mais le film reste en lui-même acceptable. Tim Burton signe une bonne suite de Batman, mais il y a pas de quoi non plus casser trois pattes à un canard ^^3/5
La patte de Tim Burton est posée sur Gotham City. Et c'est tant mieux (des jours sombres seront à venir avec son remplacement par le pathétique Joel Schumacher pour les films suivants). L'ensemble est gothique et ambigüe comme les différents protagonistes qui cherchent chacun leur voie. Miaouhhh !!!
Le meilleur Batman à ce jour qui nous rappelle que Burton était un grand réalisateur (à quand remonte son dernier grand film ?). Il relègue Batman en arrière-plan et révèle un génial De Vito qui incarne un émouvant Pingouin et surtout, donne à Michelle Pfeiffer son meilleure rôle en Catwoman déjantée et érotique en diable. Walken reste égal à lui-même c'est-à-dire formidable. S'ajoutent des dialogues remarquables, souvent très drôles et touchants à la fois, une excellente musique d'Elfman : on obtient un divertissement mature, chef d'œuvre du genre.
Un très bon batman. Cela en est presque surprenant puisqu'il respecte moins bien les comics que le 1er film du même réalisateur, qui, une fois de plus, nous montre toute la fantaisie et l'imagination de son univers sombre et lugubre. Mais le Batman Returns de Tim Burton réussi néanmoins à surpasser son prédécesseur grâce à un scénario ainsi qu'une psychologie des personnages plus approfondis. Ce sont justement ces personnages qui donnent tout son charme à ce deuxième volet: ainsi, Danny DeVito et Michelle Pfeiffer nous livre ici une perfomance remarquable jusqu'à faire de l'ombre au personnage central qui, selon moi, n'est pas assez approfondi dans ce volet. Cependant, il s'agit surement de mon volet préféré de "l'ancienne" saga du chevalier noir!
Le meilleur opus de l'ancienne saga selon moi. Les décors, les acteurs, la mise en scène, tout est quasi-parfait, Gotham est plus vraie que nature et correspond parfaitement à la vision que j'en avais en lisant le comics. Du grand Burton.
Batman le défi, reste pour moi le chef d'oeuvre de Tim Burton. Magnifiquement bien joué, univers hyper sombre voire très violent pour un BATMAN. C'est totalement un autre univers, ne respectant pas forcément le comics, mais quand on voit un film de cette qualité on s'en fiche un peu. On ressentira cela de nouveau dans The Dark Knight et The Dark Knight Rise.
Un bon Batman, loin de l'excellence de Nolan il est vrai, mais néanmoins agréable à regarder. L'univers gothique de Tim Burton est toujours aussi bon à visiter. Ces personnages sont comme souvent charismatiques et bien présentés. Cette fois, on a droit au Pingouin, très bien interpréte par Danny DeVito, et assez fou lui-aussi. Catwoman est également un personnage bien développé, surtout sa relation avec Batman, assez ambigüe et intéressante. Les quelques jeux de mots que ces deux personnages échangent entre eux sont également bien pensés, et surtout assez drôles. Après, le scénario a ses limites, mais il est plutôt correct, même si assez prévisible. Pour le reste, je dirai quelques plans sont très beaux, et qu'on reconnaît incontestablement la patte de Tim Burton dans le film. Comme conclusion, je dirai donc que Batman, le défi est un film sympathique, avec son ambiance si particulière des oeuvres de Burton, toujours aussi plaisente, ces personnages charismatiques et bien développés, ainsi que quelques idées plutôt originales. Après bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais tout juste un bon film sympa. A voir.
Voila bien le film le plus difficile à regarder... autant le premier j'avais aimé à l'époque quand j'étais gosse, mais cet opus la, ne m'avais jamais tenté ; une bande annonce suffit à me donner une idée sur un film, s'il va me plaire ou non, et celui la était catalogué direct ! Aujourd'hui j'ai beau me forcé, impossible de passer les 40 minutes de film : ce soir j'ai battu mon record absolue, je me suis forcé mais, je n'ai pas tenue le coup ! Ce film est une vraie daube ; déjà je n'aime pas l'ambiance des films de Burton mais la il a mit le paquet quoi ; la musique nous sort par le nez, et les longueurs par les oreilles ! Trop bizarre comme univers, ils sont tours complètement space ; entre les costumes du riche débile, le pingouin aussi nul comme personnage que Catwoman est ratée ! C'est pas un film d'action, c'est un ersatz des feux de l'amour.
A nouveau, après le joker, les vilains sont au centre du film. L'ambiance s'en ressent et globalement le travail de Burton est brillant. Surtout quand on sait ce qui va suivre...
La première séquence du nouveau volet des aventures de l'homme chauve-souris synthétise parfaitement l'oeuvre entière. Dans cette séquence, on assiste à l'abandon d'Oswald Cobblepot, par ses parents dans un égout, où il sera élevé par et avec des pinguins. Ce sera d'ailleurs son nouveau nom pour les habitants de Gotham. Poétique, très sombre, elle s'attache longuement à la "naissance" d'un des plus célèbres ennemis de Batman. Et c'est en cela que ce deuxième volet coince, à mon goût: Burton fait toujours autant d'étincelles quand il s'agit d'habiter une oeuvre, mais cette fois, il va un peu trop loin. On ne voit pas beaucoup Batman dans ce volet, très en retrait, pour mieux mettre en valeur ses deux nemesis: le Pinguin et Catwoman. Ces deux derniers sont à la hauteur du Joker, présent dans la première aventure. Danny DeVito est méconnaissable en Pinguin, dangereux enfant psychopathe; mais c'est Pfeiffer qui en impose le plus en Selina Kyle, alias Catwoman. Entre gothisme et sado-masochisme, elle fait rentrer le personnage dans la légende, au même titre que Jack Nicholson l'avait fait du clown meurtrier. Le score, une nouvelle fois signé Danny Elfman, est toujours aussi magique. Mais, selon moi, cette mouture s'avère inférieure à la première, car trop gothique et presque désintéressée du héros. Elle reste tout de même une adaptation très prenante et peu avare en scène d'action. Fan de Burton, vous adorerez; fan de Batman, vous pourriez être un poil déçu. C'est tout le paradoxe de ce film.
Chef d'oeuvre de TIM BURTON , dépassant même le premier BATMAN. DANNY ELFMAN toujours excellent et les acteurs très convaincants (mention spéciale à DANNY DEVITO et MICHELLE PFEIFFER).
C'est effectivement un défi de le regarder. J'avais trouvé le premier ennuyeux par moments. J'ai trouvé celui-ci ennuyeux tout court. Je respecte les fans et tous ceux qui trouvent que ce Batman vaut le coup d'être vu. Mais franchement, je l'ai trouvé d'un ennui mortel. Il ne se passe rien, où en tout cas rien qui m'est sorti de ma léthargie. Voilà je n'ai pas envie de m'étendre d'avantage, mais je ne peux résister à l'envie de critiquer les décors parfois affreux et le fait que Michael Keaton réalise l'exploit d'être encore plus transparent que dans le premier. Quant aux effets spéciaux, ils sont parfois affreux notamment quand la batmobile se "bunkerise" (comme dans le premier d'ailleurs). Voilà, c'est tout. Je trouve juste que Nolan à frapper très fort, j'attends maintenant avec impatience The Dark Knight Rises. Les éventuels futurs films sur le chevalier noir auront beaucoup de mal à égaler la trilogie de Nolan. Mais ça n'engage que moi.
Fort du succès du premier épisode, Tim Burton accepte trois ans plus tard de réaliser Batman, le défi. Pour sa dernière contribution en tant que réalisateur pour la franchise, le cinéaste américain va monter d'un cran dans la qualité. Fort d'un univers sombre et gothique qu'il a installé dans le premier long-métrage, Tim Burton exacerbe encore l'esthétique froide de Gotham City et habille avec minutie chaque détail de son film. Alors que la prestation de Jack Nicholson en Joker tenait déjà de la performance, le réalisateur va frapper encore plus fort. Ce n'est plus un mais trois ennemis que la chauve-souris va devoir affronter. Lié pour d'obscures raisons, ce trio infernal va mener la vie dure à Batman en l'attaquant sur tous les fronts. Tandis que le milliardaire Max Schreck tente de s'approprier l'énergie que produit Gotham City, Catwoman et Le Pingouin poursuivent tous deux des objectifs bien distincts. Obsédée par la vengeance, Catwoman va tomber sous le charme de l'homme chauve-souris et entamer avec lui un dangereux jeu de séduction qui ne sera pas sans conséquences. Le Pingouin, abandonné par ses parents à cause de ses difformités, va tenter de s'élever dans la société et quitter les égouts dans lesquels il vit depuis plus de trente ans. Si Jack Nicholson avait quelque peu tendance à faire de l'ombre à Michael Keaton dans le premier volet, Michelle Pfeiffer et Danny DeVito éclipsent totalement celui qui devrait être le principal attrait du film. L'une des raisons de cette main-mise des "supervillains" réside dans le fait qu'ils ne sont pas maléfiques naturellement mais que leur choix de vie émane d'une conjoncture d’événements, une manne scénaristique qui permet à Tim Burton de dévoiler le passé obscur de ces deux ennemis redoutables. Si l'on retrouve quelques ressemblances entres les hommes de main du joker et ceux du Pingouin, on sent que le réalisateur d'Edward aux mains d'argent maîtrise parfaitement son univers singulier et apporte sa touche personnelle à celui imaginé par Bob Kane, s'autorisant des libertés que les lecteurs fidèles du comics n'apprécieront peut-être pas. Mais qu'importe puisque le déferlement visuel auquel nous sommes conviés nous en met plein la vue et multiplie les trouvailles visuelles et scénaristiques. Dans cet ordre d'idées, l'utilisation des pingouins pour prendre l'assaut de Gotham City ou pour emporter le corps sans vie d'Oswald Cobblepot donnent lieu à une très belle mise en scène qui démontrent tout le savoir-faire de Tim Burton. On peut également mentionner les différentes confrontations entre Catwoman et Batman où la sensualité de Michelle Pfeiffer contribue à susciter le désir entre les deux créatures de la nuit et fait rapidement oublier la superficialité de Kim Basinger. Il ne faut pas non plus oublier Christopher Walken dont la coupe de cheveux surréaliste contribue à semer le doute autour de son personnage aussi ambitieux que machiavélique. Du point de vue de l'ambiance, de la personnalisation de l'histoire, Batman, le défi est assurément le meilleur film à ce jour sur l'homme chauve-souris même si la vision de Christopher Nolan, moins illuminé mais tout aussi pertinente, fait honneur au personnage créé par Bob Kane.