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yayo
62 abonnés
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4,5
Publiée le 26 mars 2012
Après avoir affronter le joker (excellent Nicholson) Batman se devait d'avoir des méchants à la hauteur pour la suite. C'est chose faite avec l'excellent pingouin et la plantureuse Catwoman interprété par une Michelle Pfeiffer ensorcelante.
Batman Returns de son vrai nom et pour moi le meilleur opus de la quadrilogie l'ambiance imposée par Tim Burton et vraiment sublime les acteur joue très bien surtout Christopher Walken et Danny De Vito quand a Michelle Pfeiffer elle joue très bien aussi seul point noir au tableaux la performance de Michael keaton et vraiment très moyenne mais y'a pire en bref je vous conseille de voir Batman Returns qui reste pour moi l'un des meilleur film Batman sortie au cinéma.
Moins convaincant que le premier opus de Tim Burton celui-ci ajoute deux personnages certes intéressant mais l'histoire n'avance pas. Batman n'a quasiment pas sa place au premier rang. Se laisse regarder quand même.
Deuxième volet des aventures du justicier masqué, Batman, le défi constitue un suite de qualité au premier, amenant de nouveaux méchants (le Pingouin interprété par le très bon Danny DeVito et Catwoman, ici sous les traits de Michelle Pfeiffer) et une histoire plus aboutie, poétique parfois mais aussi plus sombre.
Batman Le Défi, 2ème opus de Batman réalisé par Tim Burton et qui continue d’apporter l’ambiance sombre et glauque sur l’univers de Batman. Cette fois-ci le justicier devra affronter 2 ennemis populaires des comics. Le Pingouin, alias Oswald Cobblepot, un homme au physique difforme ayant l’apparence d’un pingouin (en réalité un manchot) et qui a été abandonné durant son enfance dans les égouts de Gotham. Pendant les fêtes de Noël, Le Pingouin kidnappe Max Shreck, homme d’affaire peu scrupuleux, afin d’obtenir son appui auprès de l’opinion publique de Gotham City. Plus tard, Selina Kyle, la secrétaire introvertie de Max Shreck, découvre les magouilles de son patron et se fait assassinée par ce dernier. Revenue subitement à la vie, elle se transforme en Catwoman et réclame vengeance. On remarque que le thème approprié au film, est la double identité entre l’homme et l’animal, caractérisé par 3 personnages : Bruce Wayne qui devient Batman l’homme chauve-souris, Selina Kyle alias Catwoman déguisé sous les traits d’une chatte possédant 9 vies. Et Oswald Cobblepot, ou Le Pingouin ayant l’apparence physique d’un homme-oiseau. La forme bestiale représente le coté obscur et torturé de leur personnage. On peut souligner que Tim Burton exerce davantage d’attachements aux ennemis de Batman, chose que j’ai apprécié. Ce que j’ai bien aimé est le casting et surtout le jeu d’acteur que possède ce film. Danny DeVito interprète à merveille le rôle du Pingouin, un personnage repoussant et fourbe, Christopher Walken est également très bon en interprétant Max Shreck, personnage inédit de l’univers Batman, bien que l’intérêt du film ne soit pas centré sur lui. Mon gros coup de cœur est surtout envers Michelle Pfeiffer, actrice qui apporte une touche plus sexy et femme fatale à Catwoman, mais aussi un coté plus torturés à Selina Kyle, elle a une interprétation très juste et brillante du personnage. De même que le costume en cuir de Catwoman qui est magnifique, est en accord avec ce coté sombre. Les effets spéciaux sont pas mal, le débarquement des centaines de pingouins reste impressionnant. J’ai bien aimé la fin du film, bien triste et éloigné des happy end classique. Tim Burton apporte encore une fois une très bonne adaptation de l’univers Batman.
Batman : Le Défi est un échec puisqu'un trop plein de bruit et d'action associé à un scénario improbable ne font jamais bon ménage. Il faut savoir prendre de la distance et ne pas s'enfermer dans le burlesque et l'absurde tout du long. En effet, le film durant plus de deux heures, un peu de finesse et de recul auraient été plus que les bienvenus. Malheureusement, Tim Burton a délibérément choisi de privilégier la musique, les décors et la folie ambiante au détriment d'un scénario plus abouti et plus complexe. Du coup, on a vraiment cette impression de fouillis et de brouillon. Dommage car le film reste tout de même très bon du point de vue de la prestation du trio de tête. Michael Keaton et Michelle Pfeiffer forment, par leur personnage, ce duo fusionnel et platonique transcendé par leur irréprochable jeu d'acteur. Danny DeVito est carrément impressionnant. Quant à Christopher Walken, dire de lui qu'il a du talent relèverai presque de l'euphémisme tant son interprétation est saisissante. Un personnage froid et énigmatique pour un acteur de génie. Mais le résultat reste moyen car il n'y a, hélas, que cela à retenir du film. Restent peut-être de beaux costumes, mais ça s'arrête là. Même la photographie n'arrange rien et la musique assourdi plus qu'autre chose. Désordonné et bruyant, cet opus déçoit par son aspect brouillon, farfelu et agressif. Bref, le film part dans tous les sens ce qui est très franchement dérangeant. Cet opus est donc nettement moins bon que le précédent.
pour moi Tim Burton a réaliser la meilleur version de Batman et ce film reste pour moi le meilleur épisode de la saga avec un danny devito et un christopher wakken et j'oublié michelle pfeiffer au meilleur de leur forme
Après son premier Batman très cartoonesque, Tim Burton put incorporer son univers dans celui du Chevalier Noir, et nous offrir le meilleur épisode de la série. Ici, tout est affaire de masque : celui de Bruce Wayne que porte Batman (et non l'inverse), celui de Catwoman, du Pingouin, de Max Shreck. Les acteurs sont magnifiques, Michael Keaton donnant la meilleure interprétation du héros à ce jour, et Michelle Pfeiffer magnifiant ses personnages de Selina Kyle et Catwoman : à jamais elle restera la seule, l'unique. L'histoire ressemble à un conte, avec un enfant élevé dans les égouts, un amour impossible, des enfants volés dans la nuit... Avec une esthétique gothique superbe, Burton nous sert de sublimes scènes (la danse entre Bruce Wayne et Selina Kyle, les pingouins pleurant la mort de leur ami...), tantôt drôles, tantôt émouvantes. Et la musique de Danny Elfman est une pure merveille, comme toujours.
Avec une belle histoire, des acteurs épatants, des rôles en or et une caméra prodige, Tim Burton donne ici le meilleur de lui-même, son plus beau film avec Edward aux mains d'argent, et (encore une fois) le meilleur opus de la saga, et de loin.
"Batman, le défi" est la suite des aventures de Batman avec Michael Keaton. Ce second opus est d'ailleurs encore plus réussi que son prédécesseur. On trouve plus de méchants (et de méchantes) donc logiquement plus d'action, plus de rebondissements et un Tim Burton encore plus déchaîné. Michael Keaton livre une prestation assez équivalente à celle du premier épisode, c'est-à-dire plaisante sans forcément être fantastique. Michelle Pfeiffer, Danny DeVito et surtout Christopher Walken sont plus remarquables par leur rôle délirant ou tragique, voire les deux. Le scénario est plus développé et tient en haleine le spectateur du début à la fin. Tim Burton est toujours aux commandes pour un second opus toujours aussi déjanté et fantaisiste que le premier. Le réalisateur réussi le défi de faire mieux que "Batman.
Tim Burton revient avec son sombre Gotham et nous montre deux nouveaux mechants : le Penguin et Catwoman ! Encore une fois, un très bon casting, ces deux mechants sont vraiments extras. Batman est cette fois ci confronté à un probleme amoureux plus complexe que dans le premier fim. On aime le nouveau costume de Batman, où Keaton a plus d'aisance.
Au niveau de l'ambiance et des maquillages, il s'agit du plus "burtonien" des Batman réalisés par Tim Burton. Michael Keaton est toujours en forme, Danny DeVito est parfait en Pingouin, et Michelle Pfeiffer dans son rôle de Catwoman est... mraou ! Même s'il faut reconnaître que ses dialogues sont caricaturaux. Je lui accorde la même note que le précédent volet que j'ai légèrement préféré, sans doute parce qu'il comporte l'ennemi le plus connu de Batman. Mais cela n'enlève rien à la réussite de ce Pingouin.
Deux ans après transformer Jack Nicholson en un inoubliable Jocker, Tim Burton revient à Gotham City pour donner à cette suite encore davantage de l’esprit gothique propre aux prémices de sa filmographie. Jamais les rues de la ville n’auront en effet paru aussi obscures et effrayantes que dans ce second opus dont les décors macabres sont directement issus de l’expressionisme allemand. L’autre preuve de la touche "burtonesque" de cette aventure, et la principale différente avec le précédent film, vient de l’absence de ce manichéisme inhérent aux films de super-héros dans la caractérisation des personnages, puisqu’ici les méchants les plus monstrueux semblent être des humains en quête de vengeance alors que le valeureux Bruce Wayne est en pleine remise en question de sa lutte contre le mal. Que l’on apprécie ou non la prestation de Michael Keaton (visiblement moins impliqué que dans le premier Batman), on ne peut être qu’impressionné par celles de Danny DeVito dans la peau de l’irascible Pingouin, de la plus sensuelle que jamais Michelle Pfeiffer mais aussi de Christopher Walken dont justement le rôle de Max Shreck a beau ne pas être, à proprement parler, un monstre, est le personnage le moins humain du scénario.