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Votre avis sur Batman, le défi ?
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Après un premier Batman désastreux,Tim Burton se ressaisie avec Batman le dé casting de choix,une musique digne du film,et des effets spéciaux plus ou moins ratés c'est ce qui fait e succès de cet opus.
ConFucAmuS
La première séquence du nouveau volet des aventures de l'homme chauve-souris synthétise parfaitement l'oeuvre entière. Dans cette séquence, on assiste à l'abandon d'Oswald Cobblepot, par ses parents dans un égout, où il sera élevé par et avec des pinguins. Ce sera d'ailleurs son nouveau nom pour les habitants de Gotham. Poétique, très sombre, elle s'attache longuement à la "naissance" d'un des plus célèbres ennemis de Batman. Et c'est en cela que ce deuxième volet coince, à mon goût: Burton fait toujours autant d'étincelles quand il s'agit d'habiter une oeuvre, mais cette fois, il va un peu trop loin. On ne voit pas beaucoup Batman dans ce volet, très en retrait, pour mieux mettre en valeur ses deux nemesis: le Pinguin et Catwoman. Ces deux derniers sont à la hauteur du Joker, présent dans la première aventure. Danny DeVito est méconnaissable en Pinguin, dangereux enfant psychopathe; mais c'est Pfeiffer qui en impose le plus en Selina Kyle, alias Catwoman. Entre gothisme et sado-masochisme, elle fait rentrer le personnage dans la légende, au même titre que Jack Nicholson l'avait fait du clown meurtrier. Le score, une nouvelle fois signé Danny Elfman, est toujours aussi magique. Mais, selon moi, cette mouture s'avère inférieure à la première, car trop gothique et presque désintéressée du héros. Elle reste tout de même une adaptation très prenante et peu avare en scène d'action. Fan de Burton, vous adorerez; fan de Batman, vous pourriez être un poil déçu. C'est tout le paradoxe de ce film.
3 ans après son premier Batman, Tim Burton remet le couvert en 1992 avec Batman, le défi. Toujours Michaël Keaton alias Julien Lepers dans le rôle de la chauve-souris masquée. Toujours la même noirceur, les mêmes décors gothiques pour Gotham City et un Batman toujours aussi enfermé dans sa solitude et sa schizophrénie (Chacun de nous est deux dira-t-il à Catwoman). Outre la faiblesse des scènes d'action, ce qu'on peut reprocher aux Batman de Burton, c'est que les méchants charismatiques prennent le pas sur le héros. On attend même pratiquement la première demi-heure pour apercevoir le chevalier noir. Dans le premier épisode, on voyait Jack Nicholson en Joker danser sur du Prince, ici c'est Michelle Pfeiffer moulée dans une combinaison en latex et Danny DeVito métamorphosé en Pingouin qui dament le pion à Keaton. Et on ne peut s'empêcher d'avoir de l'empathie pour Oswald Cobblepot enfant difforme abandonné par ses parents qui dans un premier temps, après avoir passé les trente premières années de sa vie dans les égouts ainsi que comme une attraction dans un cirque, se met en quête de retrouver ses parents et de leur pardonner devant leurs tombes puis dans un second temps lorsqu'il se rend compte qu'il est différent des autres et qu'au fond il est mieux avec les pingouins sa seule famille. Car c'est ce qui caractérise l'ensemble des personnages de ce Batman. Ce sont tous des laisser pour compte. Walken est à nouveau machiavélique à souhait dans la peau de Max Shreck un industriel véreux. Les meilleurs Batman sont ceux de Burton et Nolan, il n'y a pas de doute. Maintenant lequel est le meilleur, c'est une question de goût.
Cette suite de Batman est tres réussi et qui introduit de nouveaux personnages ; Michael Keaton joue son rôle a sa perfection et c est également le cas de Danny DeVito ! Super film et super Batman
Artriste
Cette suite de l'homme chauve-souris nous plonge dans un Gotham City encore plus sombre et violent et nous livre une histoire un brin moins plaisante que son prédécesseur. En effet le personnage de Batman est mis en retrait et le film se concentre plus sur les méchants. La réalisation est un peut moins travaillé, les répliques moins bonnes et beaucoup plus cru ainsi que plus orienté vers le sexe qui sont assez limite mais les effets spéciaux et la b.o. reste de qualité. Pour ce qui est du casting on retrouve de très beaux noms avec un Michael Keaton toujours bon dans son rôle, un Danny DeVito brillant en Pingouin, un Christopher Walken au regard terrifiant, une Michelle Pfeiffer à qui le masque de Catwoman va à ravir et toujours un très bon Michael Gough en Alfred. Ce Batman Le Défi n'arrive pas à autant nous emporter que le premier mais les nouveaux personnages apporte assez au film pour que l'on se laisse tenté.
Batman Returns est tout aussi réussi que son prédécesseur : Tim Burton continue sur sa lancée et offre à nouveau une version très cartoon des aventures de l'homme chauve-souris. Le film bénéficie grandement de la présence d'acteurs confirmés (, er, ) dans des rôles déjantés qui lui permettent d'offrir un scénario plus imprévisible et encore plus barré que dans le premier épisode. L'aspect burlesque se marrie encore une fois très bien avec l'univers de Gotham City, et le génial réalisateur donne libre court à ses inimitables facéties visuelles pour notre plus grand plaisir ! Un très bon divertissement.
Pour moi Batman le défi est de loin la meilleure adaptation de comics. Tim Burton a su respecter l'oeuvre originale tout en la modelant avec son style si poêtique. Depuis les suites n'ont été que des déceptions. Je ne parle même pas du Catwoman de Pitof qui ne respecte pas du tout l'histoire du personnage. Personne n'égalera jamais la prestation de Michelle Pfeiffer et la réalisation de Tim Burton!
"Batman : Le Défi est donc un bon film, bien qu'un peu en dessous de son prédécesseur, principalement à cause du peu de temps de présence accordé à Batman. En dehors de ça, l'intrigue est vraiment captivante, les ennemis de chevalier noir sont très bien développés, l'ambiance est très bien maîtrisée, les nouveaux acteurs sont vraiment excellents et la bande originale est très bien réalisée. Pour sa deuxième aventure dans la franchise Batman, Tim Burton nous a donc proposé un bon film."
Critique complète sur cineomax.over-blog.com
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La Chauve-Souris, la Chatte et le Pingouin
"Batman Returns" est le film le plus personnel de Tim Burton avec "Edward aux mains d'argent" (1990).
Le génie de l'écriture, de la mise en scène, des performances d'une vie pour Michael Keaton, Danny DeVito et Michelle Pfeiffer, de la somptuosité des décors, du montage et de la partition de Danny Elfman – sans oublier 'Face to Face', une chanson écrite par le groupe Siouxsie and the Banshees et Elfman (la scène de spoiler: Bruce et Selina au bal de Shreck
) – se rejoignent pour former l'un des plus grands films (de super-héros) de l'histoire.
Le Pingouin – spoiler: un enfant monstrueux jeté dans les égouts et élevé par des pingouins dans un zoo – est utilisé par Max Shreck – un milliardaire diabolique qui veut monopoliser les réserves énergétiques de Gotham City –
trois décennies plus tard.
Shreck a d'abord l'intention de spoiler: fabriquer un dirigeant fantoche en la personne du "Maire Oswald Cobblepot" (le Pingouin). Mais, il abandonne sa bête politique et partenaire dans le crime lorsque le subterfuge est révélé par Batman
.
Tout comme il tente spoiler: d'assassiner sa secrétaire, Selina Kyle, en la jetant par la fenêtre lorsqu'elle découvre son schéma de conception trompeur. Survivant à la chute, Mlle Kyle est réanimée par des chats et Selina devient Catwoman
.
"Batman Returns" est un bal d'âmes perdues à la frontière entre humanité et bestialité, errant dans un labyrinthe gothique, miroir d'une société malade, dans lequel Tim Burton est à son zénith.
5/5
"Batman Returns" est le film le plus personnel de Tim Burton avec "Edward aux mains d'argent" (1990).
Le génie de l'écriture, de la mise en scène, des performances d'une vie pour Michael Keaton, Danny DeVito et Michelle Pfeiffer, de la somptuosité des décors, du montage et de la partition de Danny Elfman – sans oublier 'Face to Face', une chanson écrite par le groupe Siouxsie and the Banshees et Elfman (la scène de spoiler: Bruce et Selina au bal de Shreck
) – se rejoignent pour former l'un des plus grands films (de super-héros) de l'histoire.
Le Pingouin – spoiler: un enfant monstrueux jeté dans les égouts et élevé par des pingouins dans un zoo – est utilisé par Max Shreck – un milliardaire diabolique qui veut monopoliser les réserves énergétiques de Gotham City –
trois décennies plus tard.
Shreck a d'abord l'intention de spoiler: fabriquer un dirigeant fantoche en la personne du "Maire Oswald Cobblepot" (le Pingouin). Mais, il abandonne sa bête politique et partenaire dans le crime lorsque le subterfuge est révélé par Batman
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Tout comme il tente spoiler: d'assassiner sa secrétaire, Selina Kyle, en la jetant par la fenêtre lorsqu'elle découvre son schéma de conception trompeur. Survivant à la chute, Mlle Kyle est réanimée par des chats et Selina devient Catwoman
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"Batman Returns" est un bal d'âmes perdues à la frontière entre humanité et bestialité, errant dans un labyrinthe gothique, miroir d'une société malade, dans lequel Tim Burton est à son zénith.
5/5
J'ai trouvé cette version un peu moins bonne que la précédente tout simplement parce que le grand méchant de cet opus est "Le Pingouin" et non pas "Le Joker".Par ailleurs on retrouve ici Michelle Pfeiffer (Catwoman) qui apporte une touche de folie et de charme également.D'ailleurs elle joue le personnage à merveille.Et même si "Le Pingouin" est très bien interprété par Danny DeVito,il n'en reste pas moins que je préfère "Le Joker".
L'histoire aussi est un peu moins entraînante malgré tout mais heureusement les personnages sont là pour nous divertir.
En revanche je salue encore l'immense talent de Tim Burton,qui encore une fois est fidèle à lui-même.
L'histoire aussi est un peu moins entraînante malgré tout mais heureusement les personnages sont là pour nous divertir.
En revanche je salue encore l'immense talent de Tim Burton,qui encore une fois est fidèle à lui-même.
cette suite toujours dirigé par Tim burton est aussi bien que le premier du nom.La,ce n'est pas un mais deux ennemis que batman devrat affronter magnifiquement interpréter par michelle pfeiffer (catwoman) et danny devito (le pingouin).
une suite digne du premier film, monsieur burton demontre encore tous son talent et nous sort un episode plus sombre mais aussi avec sa part d'emotion, sublimé par le musiques de dany elfman.
"Batman, le défi" est le meilleur Batman (et de loin), parmi les films qui ont vu le jour avant la trilogie de Nolan. Tim Burton développe son univers gothique que j'aime tant et l'ambiance du film à quelque chose de particulier, entre rêve et cauchemar. Danny DeVito, excellent en Pingouin, de même pour Michelle Pfeiffer et Michaël Keaton. Des scènes cultes et des décors burtonnien déjà très soignés.
ManoCornuta
On aurait pu craindre de voir Tim Burton se perdre en route, après un premier Batman très réussi. Et pourtant... ici, avec deux méchants pour le prix d'un et un scénario parfaitement ajusté, Burton nous offre un nouveau grand spectacle tout en noir et blanc et atmosphère glaciale. Michael Keaton est décidément impeccable sous la cape de l'homme chauve-souris, Michelle Pfeiffer est une Catwoman inoubliable et Danny De Vito totalement bluffant. Le spectacle est au rendez-vous et la mise en scène de Burton parfaitement adaptée à l'ambiance crépusculaire de l'histoire. Du grand art, peut-être un cran au-dessus de son aîné.
Remarquable atmosphère, un batman avec deux adversaires cette fois-ci, CATWOMAN est absolument craquante, chef-d'oeuvre
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