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    La Fille de Ryan
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    4,3
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    74 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 novembre 2014
    Très bon film si on aime les histoires d'amour et les beaux paysages !!
    Bernard M
    Bernard M

    25 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2014
    Après l'inoubliable " Docteur Jivago" , il paraissait difficile de faire mieux...Il est vrai que la domination anglaise en Irlande pendant la première guerre mondiale est moins connue, a été moins le fond de décor que la révolution russe, mais Sr. David Lean réussit de nouveau un film admirable avec une photographie sublime des décors naturels, un film habillé par la superbe musique de Maurice Jarre, des acteurs remarquables parmi lesquels John Mills donne une note attachante à l'idiot du village. On peut comme moi préféré " le docteur Jivago", mais ce film, dans ce cas, le suit de très près!
    Léa H.
    Léa H.

    32 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Du cinéma total : ce à quoi Lean a toujours aspiré, prend ici peut-être sa forme la plus aboutie. Car sa plus paradoxale : contrairement à ses grandes fresques historiques, le cinéaste part ici d’une matière modeste, un mélodrame intimiste, l’histoire d’une passion à ciel ouvert, sur les côtes sauvages d’Irlande. Mais par la puissance hallucinante de sa mise en scène et par la dimension symbolique de son récit, il trouve ici une ampleur romanesque inédite, quasi métaphysique (une sorte de symphonie pour orchestre de chambre, à la manière d’un Tarkovski). Plus panthéiste que jamais, Lean filme le dialogue lyrique et cruel de l’homme et de la nature, à la fois creuset et témoin muet de ses passions les plus violentes. Plus humaniste que jamais, Lean part de l’homme et de son combat contre les forces aliénantes du carcan social pour magnifier sa grandeur fragile, son courage d’airain. Plus sensuel que jamais, Lean filme les passions humaines comme des épiphanies panthéistes (la séquence d’union charnelle au sein d’une nature frémissante et la tempête finale compte parmi les plus beaux moments de son cinéma). Le cinéaste parvient à saisir avec une acuité incroyable les élans les plus intimes, dont il fait l’essence même de sa forme cinématographique. Cela s’appelle de la poésie.
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2014
    Période faste de David Lean, qui vient d'être encensé par le public et la critique pour "Lawrence d'Arabie" et dont le succès de "Docteur Jivago" a tout simplement permis à la MGM de réaliser son plus gros succès depuis "Autant en emporte le vent".
    Avec "La Fille de Ryan", sorti en 1970, il adapte très librement "Madame Bovary" de Gustave Flaubert et nous emmène dans un village sur la côté Irlandaise durant la première guerre mondiale et surtout l'insurrection de Pâque où une jeune femme qui rêve et s'ennuie Rosy Ryan fini par épouser un instituteur de quinze ans son ainé mais va tomber amoureuse d'un officier Anglais en convalescence et de passage...

    Dès le début et les premières scènes sur la plage, on est immergé avec les protagonistes et surtout Sarah dans cette histoire et notamment grâce à la réalisation de David Lean. C'est esthétiquement magnifique, il sublime les paysages Irlandais (qui sont déjà magnifique !) et nous offre de superbes images et scènes grâce à ses plans et son utilisation de la luminosité.

    Ensuite, il prend le temps de nous présenter les personnages et de mettre en place le récit et l'histoire, notamment sa relation avec cet instituteur qui laissera place à la passion aussi intense que fulgurante et impossible avec "l'ennemi Anglais" et il donne un côté romantique et lyrique qui en devient émouvant et nous emporte.

    Mais dans le même temps, il décrit la résistance interne des Irlandais face aux Anglais, mais de manière juste et subtile sans tomber dans l’héroïsme bêta et le manichéisme à l'image de cette foule nationaliste et héroïque lorsqu'il s'agit de repousser et contester l’ennemi mais prêt au plus lâche des lynchages lorsqu'il faut trouver un coupable et accepter une autre façon de penser que la leur.

    David Lean maitrise tous les éléments de la fresque, que ce soit à travers sa puissante mise en scène, le rythme du récit, l'utilisation de la superbe musique ou encore les images et scènes marquantes que ce soit celle sur la plage, durant la tempête ou ce lynchage.

    En plus d'être bien écrit et passionnant, les personnages sont aussi bien interprétés et notamment Robert Mitchum dans un rôle à contre-emploi, Sarah Miles dans celui de cette jeune femme rêveuse, sensuelle, romantique et inoubliable notamment sur cette plage ou encore Trevor Howard dans celui du père Collins.

    Comme il savait si bien les faire, David Lean nous livre une grande et magnifique fresque mais cette fois-ci, le succès ne sera pas au rende-vous, notamment de la part de la critique qui l’assassinera. Il attendra une quinzaine d'années pour tourner un nouveau et dernier film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Vraiment un très beau film signé par le grand David Lean ("Le pont de la rivière Kwai", "Lawrence d'Arabie"..). Un souffle épique et romanesque, des paysages somptueux et des acteurs éblouissants.
    Truman.
    Truman.

    227 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    Oh David Lean si j'avais bien une chose a te reprocher dans ton grandiose "Lawrence d'Arabie" c'était la durée, et là tu refais la même erreur comme si tu ne savais pas passer par la case "montage" et couper toute les "saloperies" superflue qui rallongent inutilement le film .
    Durant ces 3h ( que j'ai bien sentis passer ) il y a facilement 30/40 minutes voir UNE heure que j'aurais pu couper . Pas forcément que ce soit des scènes inutile mais souvent ça ne bouge pas et ceci fait qu'une scène qui aurait pu durer 5 minutes en dure 15 .

    Voilà c'est mon unique coup de gueule face au film, a devenir trop long le film offre un rythme mal soutenue et ceci est souvent ennuyeux .
    Si ça avait duré 2h30 j'aurai offert un joli 8/10 mais là non j'y arrive vraiment pas .

    Bon sinon la première chose qui frappe et ceci dès le premier plan, c'est sa magnifique réalisation . Une réalisation qui offre un cadrage, une luminosité et des images splendides rempli de paysages vraiment beaux et l'on ressent comme un certain soucis de la perfection face a la nature .
    Tout ceci baignant dans une certaine légèreté avec des passages humoristique .

    Les acteurs sont excellents et font leur boulot, on nous dévoile un peuple Irlande qui se sent opprimé par les Anglais, et l'on a une histoire d'amour sur fond d’adultère .
    Alors j'ai trouvé le film intelligent, lyrique, beau et magnifiquement réalisé mais bien trop long pour crier au chef d'oeuvre et a la perfection absolu .
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    181 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mars 2014
    Quasi chef d'oeuvre d'une beauté picturale propre à David Lean et faisant la promotion des paysages de carte postale de l'Irlande. Un romantisme somptueux sous fond de tension anglo-irlandaise aux temps sulfureux de l'IRA, entre une épouse trop vite tombée amoureuse du professeur local, qui succombera au charme d'un officier britannique de retour du front, mis en poste dans la région. Toutes les bassesses et ragots de village dénoteront une violence bien plus forte que la haine féroce entre les 2 nations belliqueuses. Une œuvre remarquable.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 janvier 2014
    Un superbe film de la part de David Lean qui, s’il n’atteint peut-être pas le niveau de ses trois œuvres précédentes, conserve son talent pour retranscrire des scènes lyriques dans lesquelles se confrontent la sauvagerie d’un environnement hostile et les cœurs de personnages endurcis. Ici, le cadre ainsi que l’histoire sont romantiques : une Irlande isolée, occupée, battue par les vents, qui sert de lieu de vie à une jeune femme mélancolique qui cherche un idéal sans même le reconnaître. C’est dans l’amour qu’elle croit le voir, mais à qui offrir cette passion ? Rosy va d’emportements en désillusions, brisant le cœur de ceux qui l’aiment sans s’empêcher de commettre ce mal tout en réjouissant les villageois rustres et cruels qui la détestent et sont à l’affût du moindre malheur. Et si les portraits de personnages sont éminemment beaux, c’est aussi le cas des paysages : le vert des prairies, le gris des falaises, du ciel et des pierres du village, le jaune de la plage, le bleu de l’océan sont autant de moyens de peindre des tableaux monochromes ou de souligner l’interaction entre le cadre et ses occupants. Lean accorde ainsi une grande place à la nature, qui peut être aussi paisible lors des scènes d’amours en forêt – l’une des plus belles du long-métrage, tellement douce dans son silence – que violente, à l’image de la tempête qui règne dans les cœurs humains. Une autre grande scène représente un coucher de soleil d’une irradiante beauté qui évoque la magnificence autant que la vacuité de la vie. spoiler: Et chez les âmes mélancoliques, quelle solution autre que la mort apporter à cette dichotomie ? Rosy ne choisira pas cette voie, elle préfèrera se relever dans la douleur, continuer son chemin dans la peine pour peut-être continuer à être aimée, vivre dans le doute, mais vivre tout de même.
    Elle n’est pas Scarlett O’Hara mais elle en possède certains traits, assez pour illuminer ce grand film romantique.
    No Spoiler
    No Spoiler

    19 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    La Fille de Ryan est un film à part qui fascine à plusieurs titres. Sur le plan esthétique d'abord: comment rester insensible aux paysages irlandais qui découpent merveilleusement la soutane du prêtre incarné par Trevor Howard ou les robes de Sarah Miles (Rosy Ryan)? Sur le plan narratif évidemment avec des scènes de folie comme celle où les paysans récupèrent en pleine tempête des caisses d'armes venues s'écraser contre les rochers. La Fille de Ryan intrigue également par son propos: la population locale apparaît tantôt héroïque quand il s'agit de lutter contre l'envahisseur anglais...tantôt prisonnière de son traditionalisme et étroite d'esprit quand il s'agit de s'ouvrir à la différence. C'est justement ce refus de tout manichéisme qui fait la grande valeur de ce film.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2013
    En Irlande en plein milieu de la première guerre mondiale mais aussi du conflit contre l’occupant anglais, chaude période, Sarah attend que quelque chose arrive dans sa vie. Et c’est l’instituteur du village de 15 ans son aîné sur lequel elle jette son dévolu. Il est le seul du village à voyager hors du village ; l’aventurier va même jusqu’à Dublin. Wouah ! Lui sent bien qu’il aura du mal à contenter la jeune pousse pleine de vie et partante pour une vie pétillante. Dès la nuit de noce, on voie bien que çà ne va pas coller. Il honore sans conviction la belle et les voilà tous deux dans une vie de vieux couple dès les premières soirées. Mais l’aventure est au bout du chemin, ou plutôt dans la caserne de l’occupant anglais où un jeune officier charmant vient d’arriver. Et là, la boulette, cette relation adultérine ne colle pas avec les valeurs puritaines de cette petite communauté enfermée sur elle-même autour de sa rue principale et de son curé autoritaire. Mais surtout elle couche avec l’occupant ; la fille de Ryan, un résistant à la mord moi le nœud, verra la fureur de la population lorsqu’elle sera accusée de traitrise… çà rappelle des images de la libération en France.
    David Lean est un spécialiste des épopées lyriques (Lawrence d’Arabie, Le pont de la rivière Kwaï, Le docteur Jivago), et pour son avant dernier film il livre à nouveau un film fleuve de plus de 3 heures. Le tournage dura même 52 semaines ; perfectionniste de l’image, il vient de la photographie, il est capable d’attendre des heures avec les comédiens voire des jours pour avoir la bonne lumière, le bon nombre de mouettes,… Le résultat est grandiose, impressionnant ; de vrais images de cinémascope. Son film est une ode à l’Irlande. Il obtint même l’Oscar de la meilleure photo et c’est amplement mérité. Pour la scène de la tempête, il délocalisa même le tournage en Afrique du Sud, fit prendre des risques inconsidérés à ces acteurs et techniciens…Un bras et une jambe furent même emportés par les flots… Oulala un métier à risques. Par contre en directeur d’acteurs, le résultat est médiocre. Donnant peu d’instruction à ces comédiens, les intentions de jeu sont parfois imparfaites et télécommandées. Il s’appuie pourtant sur un immense comédien dans un rôle émouvant de retenue et de romantisme Robert Mitchum, une première et une dernière pour lui. Immense, lui tient bien la séquence. Ensuite, ce film se veut une version revisitée de Mme de Bovary. Mais la caricature trop présente pénalise sérieusement le film : le hameau est peuplé d’analphabètes cruels et sales, mangeurs de patates et buveurs de Guiness. La vertu de ce parti pris permet de montrer au combien la foule est un individu à part entière et comment elle peut enfermer les gens et les priver de liberté. Sortir du lot est difficile. Condamné fortement à sa sortie par la critique, David Lean mettra 14 ans avant de faire le suivant et dernier. Injustement malgré tout, même si on s’ennuie un peu et qu’il n’a pas le souffle épique des précédents, il a énormément de qualité esthétique proche de Terrence Malick.
    Injustemment lapidé lors de sa sortie, vaut le détour pour sa beauté picturale
    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Je n'avais jamais vu ce film et, franchement, je ne perdais pas grand chose. Tout d'abord, c'est beaucoup trop long : de nombreuses scènes s'étirent mollement sans que cette longueur apporte quoi que ce soit au film, bien au contraire. Malgré la longueur, c'est extrêmement décousu. Ensuite, c'est totalement prévisible : on sait longtemps à l'avance comment cela va finir. C'est, enfin, truffé de scènes de foule totalement caricaturales, sans aucune nuance. Restent la beauté des paysages et le jeu de Robert Mitchum et Christopher Jones pour remonter un peu le niveau du film. Sarah Miles, elle, n'est pas très convaincante.
    Akamaru
    Akamaru

    3 090 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Si l'on connaît évidemment David Lean pour ses grandes épopées lyriques romanesques,on oublie trop souvent de citer "La Fille de Ryan"(1970)parmi ses œuvres majeures. Et pourtant,on est emporté dans un tourbillon d'émotions grâce en grande partie aux sublimes paysages irlandais et à une reconstitution minutieuse d'une petite ville très catholique de 1916. Une jeune femme en mal d'amour(Sarah Miles,intense)tombe aisément sous le charme du placide instituteur du village(Robert Mitchum,intimidant). Mais celui-ci la délaisse pour ses activités,et elle chavire pour un officier anglais écorché vif qui répond à ses désirs. Le drame est en place,entre le triangle amoureux et le jugement impitoyable des villageois intolérants et bigots. Certains personnages restent mémorables comme le prêtre aux actes contradictoires ou l'idiot grimaçant et boiteux. Lean peut établir le parallèle entre la tempête métaphorique et la véritable tempête,dantesque qui apparaît au milieu du film. La musique de Maurice Jarre est formidablement romanesque,même si elle est parfois en décalage avec ce qui se passe à l'écran. Une œuvre à reconsidérer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    Beau spectacle
    ***
    Réalisateur, producteur, scénariste britannique, David Lean propose, avec la Fille de Ryan (1970), un tableau romantique, poétique, nostalgique, métaphorique, historique, doté d’une singulière douceur.
    ***
    En harmonie avec la beauté des paysages filmés, la musique du générique d’ouverture donne immédiatement le ton de l’histoire. L’insouciance côtoie l’inconnu; l’innocence, l’amour; les rêves, la désillusion; la beauté, le lugubre; le bonheur, le drame; le calme, la tempête. Le talent du compositeur français, Maurice Jarre, s’accorde indéniablement avec celui du réalisateur. En effet, le travail des deux hommes participe au mariage de contrastes envoûtants tout au long de l’aventure. Adaptée à la situation, aux ressentis des personnages, la bande originale permet aux éléments du décor de prendre vie. La nature s’éveille sous le regard du spectateur émerveillé par la mise en scène, dévoilant une réalité à la frontière du chimérique, notamment lors des scènes sur la plage. Immergé dans un univers aux couleurs enchanteresses, qui ne sont pas s’en rappeler celles de certains dessins animés, il assiste à un véritable spectacle d’émotions discrètes. La chaleur du soleil, l’odeur iodé de l’air marin, la menace des nuages, la violence ou la quiétude des vagues, traversent l’écran. La prestation sobre des acteurs n’en est pas moins efficace. Les pensées des héros se devinent sans un mot, sans un geste. Le silence en dit long, un simple regard raconte la vérité. Ce merveilleux langage muet séduit.
    ***
    La longueur du film ne semble cependant pas justifiée au regard des événements qui s’y déroulent. L’absence de péripéties secondaires, d’un contexte d’époque davantage marqué, de lieux de tournage davantage diversifiés, peuvent déranger. Pourtant, rien n’est indigeste, superflu. Chaque détail détient son importance. David Lean prend le temps. Il expose, avec simplicité, goût et intelligence, les subtilités de l’existence, de l’amour, des sentiments, des passions humaines. Le public apprend alors à écouter, observer, apprécier la magie qui se dégage de son art.
    ***
    La Fille de Ryan évoque les tourments de l’âme, les élans du cœurs. Avis aux rêveurs en quête d’évasion.
    ***
    Pomacantha
    Pomacantha

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 août 2013
    Madame Bovary en Irlande... L'idiot du village amoureux d'elle va être le catalyseur de tous les évènements du film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2013
    j ai vu plusieurs fois ce film magnifique bien jouer par tous les acteurs
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