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    Ragtime
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    Alain D.
    Alain D.

    583 abonnés 3 278 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Réalisé par Milos Forman en 1981, « Ragtime » est un vrai petit bijou. Un drame de fiction traitant du racisme dans l’Amérique au début du siècle dernier. La mise en scène à grand spectacle nous offre des portraits de personnages hautement charismatiques dans des décors somptueux d’époque 1900. Sur une excellente bande son d’Andy Newman, le bon scénario nous propose une histoire émouvante, très joliment interprétée par une pléiade d’acteurs de talent avec une attention particulière pour Brad Dourif, étonnant dans le rôle du plus jeune frère, et de Howard E. Rollins tout simplement époustouflant. Après « Vol au-dessus d'un nid de coucou » en 1976, « Amadeus » en 1984 et « Les Fantômes de Goya » en 2005, « Ragtime » est une autre pépite du réalisateur Tchèque.
    Le pitch : Mr Wlaker a trouvé une place de pianiste dans une formation. Il va pouvoir épouser Sarah qui vient de donner naissance à leur enfant. Mr Wlaker et sa toute nouvelle voiture sont bloqués devant la caserne des pompiers ; les ennuis commencent …
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2021
    C’est Dino de Laurentiis lui-même qui a eu l’idée d’adapter « Ragtime », le livre de E.L Doctorow, énorme succès de librairie en 1975. Le livre est une transposition du court roman « Michael Kohlhaas » de l’écrivain allemand Heinrich von Kleist (1777-1811) narrant le combat d’un marchand de chevaux victime d’une injustice qui tente d’obtenir réparation par tous les moyens. Selon sa règle habituelle d’alterner films commerciaux et projets ambitieux, De Laurentiis pense d’abord faire appel à Robert Altman pour porter « Ragtime » à l’écran. Les deux hommes ne s’entendant pas, le producteur fait appel à Milos Forman qui vient d’obtenir un succès d’estime un peu décevant avec « Hair ». Le Ragtime est à l’origine une musique apparue à la fin du XIXème siècle (1897) et qui jusqu’en 1918 fera office de précurseur du jazz. Le morceau le plus célèbre de ce mouvement éphémère essentiellement joué au piano est «Mapple Leaf Rag » de Scott Joplin. L’intrigue située exactement à cette période et le personnage central étant un pianiste noir (Edward E. Rollins Jr.) se rebellant par les armes après qu’il n’a pas pu obtenir réparation de la souillure de sa Ford Model T, on comprend mieux le titre du film comme du roman. L’intrigue imbrique l’un dans l’autre deux faits divers significatifs du climat sociétal de l’époque aux Etats-Unis à propos de la faculté des dominants à se sortir sans dommage de tous les obstacles y compris d’un meurtre sordide et de l’impossibilité des noirs à faire valoir leurs droits quand ils sont victimes d’une injustice flagrante. Une dénonciation du racisme et de la domination de l’homme blanc qui passerait sans encombre la censure des comités auto-proclamés de bien-pensance actuels. Mais Milos Forman qui a bien connu les affres de la censure et de la vindicte politique quand il œuvrait encore en Tchécoslovaquie au moment du printemps de Prague (1968) , apporte au traitement de son histoire l’indispensable nuance qui ferait sans doute défaut aujourd’hui si l’adaptation du roman de E.L Doctorow était à nouveau d’actualité. Il trouve cette nuance en faisant le joint entre les deux intrigues grâce à une famille de la haute-bourgeoisie résidant à New Rochelle (banlieue nord de New York) qui apporte la démonstration avec le couple humaniste interprété par James Olson et Mary Steenburger que si la société américaine était bien sûr raciste, l’essentialisation n’est jamais probante spoiler: .Le pianiste noir qui finit par prendre les armes dont on peut comprendre le ressentiment légitime ne semble mu que par sa propre soif de vengeance, faisant peu de cas du sort de son jeune fils généreusement recueilli par la famille citée plus haut. Les questions posées par Milos Forman dépassent donc le seul problème du racisme, les pompiers ayant dégradé la voiture du pianiste avec à leur tête un rustre interprété avec force par Kenneth McMillan, paraissant plus bêtes que réellement méchants
    . L'ensemble rythmé par la musique de Randy Newman est très finement orchestré par un réalisateur au mieux de sa forme qui démontre en sus sa capacité à proposer une reconstitution historique très fluide et soignée sur plus de deux heures trente. L’intervention de James Cagney faisant sa première apparition devant une caméra depuis vingt ans dans le rôle du préfet de police goguenard qui doit stopper l’insurrection du petit groupe armé, retranché dans la bibliothèque municipale est succulente. Les cinéphiles apprécieront aussi l’apparition de Bessie Love, ex-star du muet un peu oubliée qui fut pourtant la sœur d’armes de Marie Pickford et des sœurs Gish auprès du grand D.W Griffith. Milos Forman disparu en 2018 qui a œuvré pendant 40 ans dans deux cinémas très différents ne laisse jamais le spectateur à distance, s’étant emparé avec force et humanité de tous les sujets qui lui tenaient à cœur.
     Kurosawa
    Kurosawa

    580 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2020
    "Ragtime" est une fresque puissante sur les tensions raciales aux Etats-Unis au début du XXe siècle; toutefois, le film met du temps à dévoiler sa nature. Sa première partie est d'ailleurs déroutante en ce qu'elle présente un certain nombre de lieux, de personnages et de relations sans pour autant fixer un enjeu très net. Cette manière de procéder par petites touches donne à cette écriture sa singularité : on suit entre autres une famille bourgeoise abritant une jeune femme noire et son bébé qu'elle avait abandonné, le procès d'un milliardaire qui a tué un architecte, lé début d'une histoire d'amour entre un jeune homme timide et une future actrice. Forman ne réalise donc pas le grand portrait de l'Amérique sous un angle prudent et didactique; il croque une galerie de personnages saisis dans tout ce qu'ils peuvent avoir de sensible, de ridicule et de rageur. En se focalisant sur des émotions variées, Forman évite non seulement le piège de l'académisme mais fait encore mieux : il saisit le caractère intolérable et cruel de certaines situations, en particulier dans une seconde partie beaucoup moins éparse où le racisme provoque au premier degré une colère naturelle mais les situations qu'elle engendre possèdent quelque chose de tout à fait burlesque que le cinéaste n'atténue pas, bien au contraire. Après que la voiture de Coalhouse Walker Jr a été endommagée par une bande de pompiers racistes, le pianiste noir tente de se plaindre auprès des autorités locales mais se trouve renvoyé telle une balle de ping-pong de bureau en bureau. Le burlesque est présent dans l'injustice mais aussi dans la vengeance orchestrée par la communauté noire. Alors que Coalhouse se barricade avec quelques-uns de ses acolytes dans une bibliothèque, ceux-ci se déguisent à l'aide de masques blancs qui ne sont pas sans rappeler ceux utilisés par les membres de Ku Klux Klan : renversement politique provocateur ou simple clin d’œil ironique ? Farceur, le cinéaste sait interrompre le rire par une violence froide tout en désamorçant celle-ci dans la seconde qui suit par une réplique comique ou un plan incongru. Mais pour avoir une telle habileté dans cette variation de tonalités, pour être aussi inventif à travers une écriture d'abord très dense avant qu'elle ne se resserre, il faut avoir une vraie hauteur de vue sur le sujet abordé. C'est peu dire que Milos Forman est à son affaire et qu'il ne traite pas son histoire en touriste : il a un parti pris très clair et la connaissance pointue qu'il a de son propre art lui permet de déployer ses digressions comme bon lui semble (il se permet même une belle parenthèse personnelle et décalée à travers un personnage de cinéaste) avant de finir sur un suspense redoutable. Un très beau film à travers lequel le cinéaste peut étaler tout son talent et son originalité.
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    56 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2014
    Sacré Milos. On devrait l’appeler Midas, car il transforme en or tout ce qu’il touche. Film magnifique, injustement méconnu. Jamais on n’avait vu l’Amérique de la conquête comme ça, avec une sorte de nostalgie éclairée, une admiration lucide. C’est vrai qu’il choisit une époque charnière. On voit la boue, et les rues qui reçoivent les flots d’immigrés qui ne tarissent pas, on voit le cinéma avant le muet, les actualités accompagnées par le ragtime dans les théâtres, les débuts du music-hall. Il s’attache à ses personnages, ce qui nous les rend très proches, leurs défauts, leurs faiblesses. Ce self-made man, cette success-story, cette discrimination, cette misère morale. Plusieurs histoires croisées, plusieurs destins mélangés, des acteurs excellents, et ils ont tous des sacrées « gueules », beau casting. Et surtout pas de conte moralisateur sur la lutte des classes. Tableau néoclassique virtuose qui décrit la création d’une nouvelle Amérique, et en-dessous un chant d’espoir. Comme toujours, il est lumineux Milos. Et que dire de cette fin géniale, avec cette famille recomposée avant l’heure, cette bourgeoise qui part avec les enfants et un saltimbanque vers de nouvelles aventures, elle laisse son mari loin derrière. Rien qu’à voir sa tête derrière la fenêtre, le gars, on sent qu’il est cocu et qu’il représente le passé. Sacré Milos, on lui demanderait de faire le portrait de Satan en personne, il serait capable de montrer ce qu’il y a d’humain en lui. C’est sans doute pour ça qu’on dit que c’est un cinéaste humaniste.
    titusdu59
    titusdu59

    71 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 août 2011
    "Ragtime" n'a peut-être pas la grandeur de "Vol au-dessus d'un nid de coucous", mais en tout cas pas loin. Milos Forman y dépeint les mœurs de la belle-époque, son racisme, son injustice, ses cruelles inégalités sociales, sa décadence, mais aussi sa richesse, et sa grandeur, qui malgré tout, malgré ces personnages imbuvables (la palme revient quand même à celui de Elizabeth McGovern, qui excelle dans son rôle odieux!), malgré cette iniquité, malgré les défauts de cette Amérique changeante, est toujours présente dans ce portrait aussi passionné que réaliste. Car l'une des autres grandes forces de ce film, c'est aussi la distanciation que Forman crée par rapport à son univers. Il ne prend pas de parti, et s'abstient de tout manichéisme: chaque personnage de cette fresque est un être complet, qui a ses raisons de mener son combat. Bien sûr, l'ensemble est orienté, mais pas imposé, et nous laisse juges: ça n'en est que plus émouvant. Quant aux qualités techniques, pas besoin d'en dire trop, c'est superbement mis en scène, la musique est magnifique, les décors somptueux, la reconstitution parfaite... Bref, grand film.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2019
    Parmi les films réalisés par Milos Forman, Ragtime (1981) n’est pas le plus connu. Ce n’est pourtant pas le moins ambitieux. La fresque déployée durant deux heures et demi en CinemaScope (photogrammes au format 2,35) donne à voir l’Amérique de la Belle Epoque. La ressortie simultanée en salles et en Blu-ray du quatrième film américain de Forman offre l’opportunité de le découvrir ou le redécouvrir. Le cinéaste filme une société américaine en construction sur fond de discrimination raciale. Près de quarante ans après sa réalisation, Ragtime garde toute sa pertinence. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2019
    Colosse aux pieds d'argile, ce grand film a un scénario digne d'une série B, complètement invraisemblable, on n'y croit pas un instant
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 511 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2021
    Ragtime est trop hétérogène bien que sur le papier presque tout semble correct. Les valeurs de production sont de premier ordre et la distribution est excellente. On ne peut pas non plus critiquer la mise en scène mais il manque quelque chose d'important. Il y a quelque chose dans le ce film de Foreman qui ne sonne tout simplement pas vrai. Tout semble tellement mis en scène et délibéré et il manque tout simplement un sentiment de réalité. Cela me rappelle l'un de ces films historiques indigestes que j'ai dû regarder à l'école primaire dans les années 1970. Ces films montrant les progrès de l'Amérique étaient divertissants mais jamais crédibles même pendant une minute. C'est le cas de Ragtime plutôt que de ressentir quelque chose pour l'un des personnages le film est présenté comme une sorte de spectacle historique. C'était peut-être le but de Foreman mais le film ne fonctionne pas comme un drame et ne m'entraîne jamais dans son univers...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2010
    Un beau film parlant de l'immigration et du rascisme aux états-unis, sans manichéisme comme dans beaucoup de productions américaines se voulant réactionnaires. D'un côté l'émigrant qui réussit, de l'autre celui qui se retrouve bloqué par les humiliations et qui ne savent pas dépasser leurs rancoeurs. D'un côté les membres du monde s'entre-déchirant, de l'autre ceux au contraire qui cherchent à aider leurs prochains. A chacun son rôle au départ, mais très vite, les rôles s'inversent, les gens se révèlent, en bien ou en mal, autres que ce que l'on pensait. Une évolution très tendue jusqu'à un dénouement pour le moins étonnant et tellement décevant dans son réalise cru! Un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le Ragtime (avec un R majuscule, le premier qui l'oublie, je le pogne :p ) est un de mes genres musicaux préférés.

    Mais en plus de la musique extraordinaire ("I could love a million girls", "Teteh's Picture Book", "One more hour"(y a que moi que cette chansson déprime au plus haut point????), Clef Club#1 et #2, le End Title, mais surtout le "Coalhouse and Sarah", le jour où Randy Newman a fait ce morceau, il a du être touché en plein par un dieu de la musique quelconque qui aura décidé que le monde méritait, enfin!, un morceau tel que celui-là...), l'histoire est... géniale? Terrible? prenante? triste? une histoire qui prend aux tripes???

    Je ne sais comment décrire ce film tant il m'a ému dans tous les sens du termes. Les acteurs sont tous excellents (mention spéciale au chef des pompiers, alias le Baron Vladimir Harkonnen de Dune), la musique, est comme je l'ai déjà dit... Il n'y a pas de superlatifs pour la décrire...

    Mais le scénario... Ahlala... Encore une fois le scénario où l'on se retrouve à la fin du film avec une boule au ventre tellement on a été pris et tellement on voudrait pouvoir rentrer dans le film pour changer certaines choses. Ou alors rentrer dedans pour se mettre à gueuler à côté de l'un des héros "OUAIS!!!! VAS-Y!!!!!".

    Enfin bref, un film génial du début à la fin, sur tous les plans, que ce soit la réalisation, le jeu des acteurs ou la musique.

    Film culte : à voir!!!!
    selenie
    selenie

    6 202 abonnés 6 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2012
    Une histoire superbe et qui peut offrir tant de possibilité n'a pas eu le film qu'il méritait. Milos Forman sort de deux succès et se lance là dans un film où on trouve racisme, belle époque, guerre des classes, origine du cinéma, luxe, révolution technologique... etc... Une histoire très dense avec des personnages entiers et intéressants. Cependant si la reconstitution de l'époque est impeccable le vrai soucis réside dans le scénario... En effet jamais il ne réussit à faire un bon équilibre entre les protagonistes et les sous-intrigues. Au début le film est surtout focalisé sur la famille bourgeoise, on passe à l'histoire d'amour des deux "personnes de couleur" (rapidement, peu approfondie), on survole on père slave... Bref on devine les hésitations dans les choix à faire ; le montage n'est clairement pas au mieux non plus, les différences de traitement entre les parties prouve surtout qu'il n'y a pas eu de ligne directrice claire. Pourtant les acteurs sont très bons, on a envie de s'attacher aux personnages, et le film en lui-même a tout pour plaire. Le scénario passe donc trop vite sur certaine partie (la fiancée noire notamment) ce qui reste dommageable pour l'émotion. Un bon film mais certainement en-deçà des possibilités offertes.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    Après une première heure amorphe, « Ragtime » trouve enfin son rythme. Malgré des thématiques fortes, une reconstitution maîtrisée et une bonne interprétation, le film de Milos Forman ne m’a que moyennement convaincu.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 049 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2018
    J'ai vu ce film de Milos Forman en version restaurée dans le cadre du Festvlal Lumière 2018 et ce fut un vrai plaisir. Au départ c'est flamboyant, ça part dans tous les sens dans une Amérique du début des années 1900 , immigrants, familles bourgeoises, cabaret, salles de cinéma muet, assassinat, enfant abandonné par une jeine femme noire. On s'y perd un peu, puis le scénario se rétrécit, certains récits entamés disparaissent puis réapparaissent ça et là juste un peu, mais tout s'entrecroise.. Le thème principal devient celui de l'homme noir qui a été bafoué, humilié et demande une justice qui ne lui sera pas rendue dans un pays où les négros ne sont pas lés égaux des blancs. Il se lance alors dans ce qu'on appellerait aujourd'hui terroriseme, mais y gagne en humanité.
    L'intérêt du film est qu'il est traité sans militantisme. Les personnages ( à l'exception du capitaine des pompiers) sont complexes, ni tout à fait bons, ni totalement mauvais et donc on s'y attache
    La mise en scène est superbe. Chaque scène est pleine de détails; Les figurants sont nombreux. La musique extraordinaire. C'est long mais on ne s'ennuie pas
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    687 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2019
    Malgré sa durée excessive, Ragtime mélange les genres : le drame social, le message ethnique, la comédie et le drame avec beaucoup de facilité. Milos Forman démontre son talent de metteur en scène.

    https://www.facebook.com/la7emecritique/
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Un grand classique de cinema. Un sujet toujours d'actualité ( malheureusement ) ainsi qu'un scénario vaste qui présente bien cette Amérique controversée par sa propre immigration.
    Un beau panorama historique qui souffre pourtant de longueurs, quelques facilités et surtout un enchevêtrement des personnages et de situations croisées qui ratent l'émotion chez le spectateur.
    Cette violence pourtant justifiée par l'histoire parait à l'écran mal maîtrisée. Vraiment dommage !
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