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Un tres tres bon film de René Clément, qui s'associe a Alain Delon pour la troisième fois, montrant une fois de plus qu'il dirige cet acteur a merveille. Cette histoire de meurtre, de manipulation et de poursuite est absolument fascinante et brillamment introduite, en effet on ne sait pas des le début où veux en venir le réalisateur, ces gangsters qui se pourchassent, puis cet asile, ces deux femmes, ces quelques mystères... On voyage un petit moment avant de rencontrer l'élément phare du scenario, plus ou moins engendré par les faits précédents. "Les Félins" est un tres beau film de la nouvelle vague, et un exemple du talent de René Clément. A ne pas manquer.
Rene clément était un brillant metteur en scène des années 50-60, dont plein soleil fût son chef d œuvre, pour les félins il réengage Alain Delon qui joue un petit escroc séduisant qui est recherché par un grand truand, sa plus grande faute avoir séduit sa fiancée.
Dans sa fuite, Il rencontre deux femmes dont l une manifestement riche vont l engager en tant que chauffeur, il décide de séduire cette veuve riche joue par la très belle lola albright, il ne sait pas encore qu il est pris au piège.
Une œuvre très en dessous de plein soleil, on s y ennuie un peu de.plus la chute est assez décevante.pour ma part.
Mention spéciale à jane fonda qui est magnifique
Dans sa fuite, Il rencontre deux femmes dont l une manifestement riche vont l engager en tant que chauffeur, il décide de séduire cette veuve riche joue par la très belle lola albright, il ne sait pas encore qu il est pris au piège.
Une œuvre très en dessous de plein soleil, on s y ennuie un peu de.plus la chute est assez décevante.pour ma part.
Mention spéciale à jane fonda qui est magnifique
Le début laisse penser que l'on va avoir affaire à un film de gangster plan-plan mais rapidement le film change carrément d'aspect pour devenir un thriller assez intéressant.
Ce film est un joli petit thriller de René Clément.
L'histoire est bien ficelée et les acteurs de premier plan.
Notamment Alain Delon, à peine 30 ans, qui plein d'énergie, court sur les scènes.
Et la sublime Lola Albright.
C'est sur fond américain, comme dans beaucoup de films de ces années-là.
Sans prétention, je dirais, ce film se regarde bien.
L'histoire est bien ficelée et les acteurs de premier plan.
Notamment Alain Delon, à peine 30 ans, qui plein d'énergie, court sur les scènes.
Et la sublime Lola Albright.
C'est sur fond américain, comme dans beaucoup de films de ces années-là.
Sans prétention, je dirais, ce film se regarde bien.
C'est le premier film de René Clément que je vois et je dois avouer que c'est une excellente surprise. Le suspense est excellent, le scénario et les dialogues de même, et les acteurs empêchent le moindre temps mort, notamment Jane Fonda dans le rôle de Melinda, splendide...
Je le conseille vivement à tous ceux qui aiment Hitchcock, le film étant à valeur de certains de celui-ci.
Je le conseille vivement à tous ceux qui aiment Hitchcock, le film étant à valeur de certains de celui-ci.
Pas à la hauteur de Plein Soleil (1960) mais bon film tout de même, avec Alain Delon et Jane fonda dans des rôles sensuels et troublants.
Une intrigue confuse et très mal racontée, des personnages sans aucune psychologie qui s'gitent comme des pantins. On finit par s'ennuyer. Les deux vedette féminies sont le seul véritable atout du film, quand à Delon qui a démontré qu'il peut être très bon, il est ici constamment dans le surjeu. Bref une déception
Pourchassé sur la Côte d'Azur par les hommes de main d'un mari jaloux, le beau Marc trouve refuge chez une riche et non moins belle veuve dont il devient le chauffeur et, peut-être, l'instrument d'un projet criminel.
Pour l'essentiel, le film de René Clément est un huis-clos dans la résidence de cette Barbara américaine et de sa séduisante cousine Melinda (Jane Fonda). Au comportement suspect de la propriétaire s'ajoute bientôt une rivalité amoureuse -sans éclat- entre les deux femmes. La situation introduit- du moins René Clément le croit-il- un sentiment de malaise et de mensonge que Marc tente de débrouiller et dont on peut penser qu'un cinéaste comme Losey aurait tiré meilleur profit.
Car le sujet n'inspire à Clément qu'une mise en scène grossière et bavarde, avec des effets de polar pesants et démonstratifs. D'abord, le scénario est médiocre, artificiel, où l'on peut s'agacer de voir qu'à chaque fois que Marc-Delon descend à Nice, il s'y fait immanquablement repéré par les types qui le traquent. C'est pas de de chance. Ensuite, les personnages ne sont pas à la hauteur; ils sont sans réelle étoffe et, pour ce qui est de Delon et Jane Fonda, n'ont que leur beauté à faire valoir. La promiscuité et l'ambiguité auxquelles les expose le huis-clos n'introduisent ni l'intensité dramatique ni la dimension psychologique nécessaires au polar vénéneux que le film voudrait être.
Pour l'essentiel, le film de René Clément est un huis-clos dans la résidence de cette Barbara américaine et de sa séduisante cousine Melinda (Jane Fonda). Au comportement suspect de la propriétaire s'ajoute bientôt une rivalité amoureuse -sans éclat- entre les deux femmes. La situation introduit- du moins René Clément le croit-il- un sentiment de malaise et de mensonge que Marc tente de débrouiller et dont on peut penser qu'un cinéaste comme Losey aurait tiré meilleur profit.
Car le sujet n'inspire à Clément qu'une mise en scène grossière et bavarde, avec des effets de polar pesants et démonstratifs. D'abord, le scénario est médiocre, artificiel, où l'on peut s'agacer de voir qu'à chaque fois que Marc-Delon descend à Nice, il s'y fait immanquablement repéré par les types qui le traquent. C'est pas de de chance. Ensuite, les personnages ne sont pas à la hauteur; ils sont sans réelle étoffe et, pour ce qui est de Delon et Jane Fonda, n'ont que leur beauté à faire valoir. La promiscuité et l'ambiguité auxquelles les expose le huis-clos n'introduisent ni l'intensité dramatique ni la dimension psychologique nécessaires au polar vénéneux que le film voudrait être.
selenie
Le vrai soucis est qu'on peut trouver étonnant que les sbires du cocu sont un paramètre qui va s'avérer superflu. En effet, au centre du film au départ, la traque va offrir des situations involontairement cocasses avant que les sbires du cocu ne disparaissent peu à peu du récit de façon illogique. Le charme de Marc/Delon fait son effet et ouvre une rivalité amoureuse entre Barbara/Albright et sa nièce Melinda/Fonda. La beauté froide très hitchcockienne de la première n'a d'égale que son ambiguïté face à l'ingénue mais sensuelle nièce. L'histoire devient un jeu du chat et de la souris dans un (presque) huis clos. Les excursions à Nice reste anecdotique, seul nous intéresse ce jeu psychologique entre les protagonistes au sein du manoir qui cache bien des secrets. On aurait aimé justement une psychologie sur les personnages, et surtout des femmes, un peu plus fouillée et/ou complexe ; par exemple Barbara/Albright aurait pu être plus ambigüe encore notamment sur ses sentiments, Melinda/Fonda aurait pu être plus sensuelle encore et surtout plus vénéneuse. Un très bon moment même si René Clément a fait mieux.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
Voilà un film comme je les aime : une très bonne histoire, issue d’un roman américain de série noire, une bande son accompagnatrice au top (par le compositeur de Bullit, Mission Impossible, Inspecteur Harry…excusez du peu) et de jeunes acteurs à l’époque, Alain Delon , Jane Fonda, cette dernière d’une beauté à tomber par terre. Ajouté à ça une photographie noir et blanc superbe, et on obtient un cinéma de divertissement vraiment parmi les meilleurs. J’ai bien aimé aussi l’ambiance très américaine du film qui, du reste, a été tourné en Anglais (mouvement des lèvres…). Décidément, René Clément est le réalisateur à découvrir (il n’y a pas que le chef d’œuvre Plein Soleil).
Une superbe villa pleine de mystère est le théâtre de ce huit-clos oppressant. Un thriller virtuose servi par une interprétation géniale.
ManoCornuta
Une intrigue de polar quelque peu confuse et dévoilant parfois trop vite ses cartes, heureusement embellie par son casting. Il faut dire qu'entre Alain Delon en pleine période de gloire, Jane Fonda et Lola Albright, nous avons droit à un festival dans un perpétuel jeu du chat et de la souris, avec renversements et coups de théâtre, une entreprise de séduction quasi animale et une performance d'acteurs parfaitement calibrée. C'est parfois un peu tiré par les cheveux mais indéniablement attractif.
C'est un départ surprenant. Mais bon le scénario reste irréaliste mais magnifique. C'est un chef d'oeuvre, un scénario très Bic ficelé. C'est un grand chef d'oeuvre. L'histoire compliqué entre deux femmes et un homme, Alain Delon, des rôles gigantesques. Des acteurs et actrices magnifiques. Une belle intrigue.
Redzing
Poursuivie par des gangsters américains, une petite frappe se réfugie en acceptant un emploi de chauffeur dans une villa du Sud, qui va lui réserver des surprises. "Les Félins" est un étrange polar, à l'atmosphère intrigante et à la BO proche de l'expérimental inquiétante. Les péripéties de départ semble un peu tirées par les cheveux, mais contribuent finalement à cette curieuse ambiance. La mise en scène de Clément est plutôt inspirée, et côté acteurs, on a le droit à une superbe Jane Fonda et à une Delon parfait en jeune séducteur arrogant. A découvrir.
TTNOUGAT
René Clément est un grand metteur en scène,pas suffisamment connu à mon avis,ses films sont forts différents mais tous intéressants. Il a beaucoup changé au fur et à mesure qu'il réalisait sa vingtaine de longs métrages. Il s'est de plus en plus servi de la mise en scène pour créer l'ambiance quitte à sacrifier à toute vraisemblance. C'est exactement le cas ici,il use et abuse même parfois de sa virtuosité et profite au maximum de la beauté des décors ainsi que de ses 3 personnages principaux. J'admire assez « les félins », mais je ne l'aime pas beaucoup. A sa première vision,il m'avait provoqué un grand malaise car j'étais rentré naïvement dans cette histoire. Aujourd'hui,je ne marche plus et je n'arrive plus à aimer ce film ne traitant les rapports humains qu'avec cynisme et absence totale d'amour. Il n'y a que des méchants,des manipulateurs,des tricheurs,des lâches qui sont en plus plein d'argent au point d'en jeter par dessus les portières d'une décapotable. Quel dommage que Alain Delon n'est pas poursuivi sa carrière en développant les qualités qu'il montre ici comme acteur...A cette époque ,il était vraiment au service du cinéma alors que cela a été l'inverse passé la cinquantaine.
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