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Alasky
346 abonnés
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3,5
Publiée le 2 décembre 2020
Voici une animation attachante et haute en couleurs qui ravira les tout petits. Que d'aventures en compagnie de cette bande de personnages rigolos et mignons. Eddy Mitchell très efficace dans le doublage de Chantecler.
Un dessin animé qui m'avait marqué quand j'étais enfant. Je viens de le redécouvrir et bien qu'il soit loin d'être parfait il est plein de charme. Musicalement c'est vraiment bien, heureusement pour un film dont c'est le principal thème. L'univers visuel est réussi et à vraiment quelque chose à part. Les héros sont attachants et les méchants détestables. Bluth a voulu mélanger des prises de vue réelles à son film d'animation, c'est bien sur le papier mais dans les faits y a de véritables problèmes d'incrustation. De plus le scénario, non pas qu'il soit léger, est maladroit.
J'adore ce film : la musique, les chansons, les voix françaises. Malgré une histoire un peu simple, je l'aimais, je l'aime et je pense l'aimer dans le futur
Un Don Bluth, avec un coq, un hibou, un chien, et plein d’autres animaux personnifiés. Une animation traditionnelle, ainsi que quelques séquences avec de véritables acteurs, dans un décor moderne, possédant un scénario audacieux. Une histoire très étrange, un coq, ayant oublié de chanter pour réveiller le soleil, doit faire face au désamour de sa basse-cour. Ce coq s’en va chercher une nouvelle vie, dans une grande ville, ou il devient une star de la chanson. Une histoire surprenante qui ne fonctionne pas toujours et se perd dans les méandres de ses nombreuses idées développés. Une animation raisonnable, une bande-son décevante, des personnages pas tout à fait aboutis. Un film en demi-teinte, finalement, mais qui possède les moyens de vous divertir.
Cooo cocoricooo, beau coco j’fais lever, le soleil sur les poulettes, beau coco faut chanter, pour se faire bronzer la tête. Chantecler chante chaque matin pour que le soleil se lève. Chantecler a oublié de chanter un matin, mais le soleil s'est quand même levé. Ridiculisé, il quitte la ferme. Film d’animation totalement oublié des années 90, le distributeur Splendor Films ressort cette comédie qui swingue pour les petits et les grands dans une version restaurée. Bien que d’origine britannique, la version française portée par les voix d’Eddy Mitchell, Lio ou Tom Novembre a de quoi nous donner la pêche pour un moment. Si le film part parfois en cacahuète à vouloir traiter les faits avec de nombreux points de vue et que l’animation reste moyenne, le rythme est prenant et le vocabulaire suffisant pour les enfants. Signé du cinéaste d’« Anastasia », « Rock-O-Rico » a été un désastre à l’époque mais s’offre une nouvelle chance sur les écrans. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Le genre de film qu'on ne devrait jamais revoir ! Je l'avais adoré plus jeune et je me suis remis devant tout excité de retrouver mes yeux d'enfant mais j'ai été affreusement déçu ! A part les deux ou trois moments chantés le scénario est creux et brouillon et je trouve l'ensemble du film inabouti. Je ne m'y attendais pas du tout et je suis tombé de haut. Souvenirs gâchés..
Un des dessins animés de mon enfance dont je me suis souvenu il y a pas longtemps! Vraiment un bon film, pas très connu mais à ressortir aux enfants. Le personnage principal est plein de charisme, l'histoire est drôle et touchante!
Rock-o-Rico est un film d’animation moyen de Don Bluth. Je dirais que du côté de la réalisation, c’est presque un sans-faute. Les images sont belles et sur le plan technique, c’est correct (malgré quelques anomalies). Le doublage avec des voix comme Eddy Mitchell et Tom Novembre est irréprochable et le film est divertissant pour les enfants. Néanmoins, le scénario aurait pu être amélioré sur plusieurs points et je ne l’ai pas trouvé très recherché.
On est quand même loin de "Brisby" mais le film est sympathique. Résolument plus naïf, il s'adresse aux tout petits. L'animation est également un cran en dessous.
Un film que j'ai beaucoup regardé étant petit et qui reste un bon souvenir. Rien de bien exceptionnel mais assez de magie pour égailler toutes la famille.
Pour son deuxième long-métrage en collaboration avec Gary Goldman, le brillant Don Bluth nous livre une adaptation très libre de la pièce d'Edmond Rostand "Chantecler", qui voyait un coq prétentieux croyant faire lever le soleil grâce à son cocorico et qui allait vivre une petite mésaventure faire d'amour, de haine et de rédemption. Si bien évidemment la suite de l'aventure n'est pas totalement identique à la pièce française du début du siècle, il en résulte pourtant un magnifique dessin animé, bien rythmé et aux couleurs flamboyantes, qui bénéficie de cette qualité d'animation propre aux deux metteurs en scène... La trame de cette adaptation commence à l'identique comme la pièce originale, avec ce coq adulé de tous croyant faire lever le soleil avec son fameux chant mais qui, suite à un piège tendu par son ennemi juré le Grand Duc, va être dupé et rejeté de la basse-cour lorsque le soleil se lèvera sans lui. La suite de l'aventure est donc ici purement inventée et va nous entraîner dans une folle épopée où un petit garçon transformé en chat va, accompagné d'une bande d'animaux souhaitant voir revenir leur ancien coq, partir à la ville afin de retrouver le chanteur à plumes devenu depuis une véritable star du rock. On est immédiatement conquis par cet univers déjanté et coloré aux rebondissements nombreux chansons mémorables chantées en Français par Eddy Mitchell (un choix contre toute attente épatant) et inspirées par les tubes d'Elvis Presley, dont Chantecler emprunte clairement le look et le style. Les différents personnages sont tous très travaillées et incroyablement attachants, d'Edmond le petit garçon changé en chat à Patou le chien qui ne sait pas faire ses lacets en passant par Long-Bec l'hystérique pie claustrophobe, Couinie la souris bienveillante et surtout Dos-Rond, le neveu du méchant Grand-Duc, un minuscule hibou aussi diabolique que maladroit. Le long-métrage est ainsi l'un des plus réussis de Don Bluth, ponctué de personnages délirants, de gags drôlissimes et de séquences inoubliables, faisant de Rock'O'Rico l'un des films les plus mouvementés de l'auteur et un sublime dessin animé des années 90 comme on n'en fait hélas plus.