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4 critiques presse
Positif
par Yann Tobin
La mise en scène de Cukor étincelle par la grâce d'un scénario extraordinairement tenu et d'une interprétation parfaitement homogène. Positif 291, mai 85
Cahiers du Cinéma
par Jean-André Fieschi
Le réalisme de Cukor oscille entre ces pôles : si le rire de Katharine Hepburn est souvent un faux rire, ses larmes sont bien de vraies larmes et le passage à la gravité n'est pas rupture, mais glissement imperceptible sous la lumière de diamant de Joseph Ruttenberg qui pare d'un halo d'étincelante futilité les choses les plus sérieuses. Cahiers du cinéma 140, février 63
L'Express
par François Giroud
"Philadelphia Story", chef-d'œuvre en son genre, montre aussi, il faut le dire, pourquoi le genre, une fois abouti, a disparu. L'Express, 11 novembre 62
Télérama
par Gilbert Salachas
George Cukor (…) a mis en scène cette aimable comédie dans le style anonyme, mais efficace, du divertissement, cher aux cinéastes américains. Télérama, 11 novembre 62
Positif
La mise en scène de Cukor étincelle par la grâce d'un scénario extraordinairement tenu et d'une interprétation parfaitement homogène. Positif 291, mai 85
Cahiers du Cinéma
Le réalisme de Cukor oscille entre ces pôles : si le rire de Katharine Hepburn est souvent un faux rire, ses larmes sont bien de vraies larmes et le passage à la gravité n'est pas rupture, mais glissement imperceptible sous la lumière de diamant de Joseph Ruttenberg qui pare d'un halo d'étincelante futilité les choses les plus sérieuses. Cahiers du cinéma 140, février 63
L'Express
"Philadelphia Story", chef-d'œuvre en son genre, montre aussi, il faut le dire, pourquoi le genre, une fois abouti, a disparu. L'Express, 11 novembre 62
Télérama
George Cukor (…) a mis en scène cette aimable comédie dans le style anonyme, mais efficace, du divertissement, cher aux cinéastes américains. Télérama, 11 novembre 62