Mon compte
    Froid comme la mort
    Note moyenne
    2,2
    33 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Froid comme la mort ?

    9 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    1 critique
    3
    3 critiques
    2
    1 critique
    1
    3 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    599 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 décembre 2007
    Qu'est ce que Arthur Penn est allé faire dans cette galère? je pense que le scénario en tous points remarquables à du lui plaire et qu'il s'est bien amusé en réalisant ce petit film du genre horrifique.
    Le resultat cinématographique n'est pas terrible et on ne retrouve la patte de l'auteur que dans les jeux des miroirs de la scéne finale.C'est vraiment insuffissant pour l'auteur de "miracle en alabama" et du "gaucher".
    Froid comme la mort se voit cependant avec l'estomac de plus en plus serré car la progréssion du recit est impéccable et le titre est absolument parfait.Pour les amateurs du genre.
    AMCHI
    AMCHI

    5 902 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Arthur Penn est un grand réalisateur mais Froid comme la mort est un thriller totalement raté, cette histoire de femme qui a plusieurs sosies ne prend à aucun moment, les invraisemblances y sont nombreuses.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    Au sein de la filmographie d'Arthur Penn plutôt classé ans la catégorie des cinéastes intellectuels à la filmographie parcimonieuse (treize longs métrages en trente ans de carrière), "Froid comme la mort" (1987) qui se situe en toute extrémité de celle-ci, fait assurément figure de parent pauvre. Certains esthètes reprochent sans doute au réalisateur du « Gaucher » (1958), de "Miracle en Alabama" (1962), de "La poursuite impitoyable" (1966), de "Bonnie and Clyde"1967) de "Little big man" (1970) ou encore de "Georgia" (1981) de s'être abaissé au film de genre de série B. Le projet conçu par Marc Shmuger, un ami du fils d'Arthur Penn (Matthew Penn) qui devait lui-même le réaliser était à l'arrêt quand Alan Ladd Jr, producteur de la MGM demanda à Arthur Penn de sauver l'entreprise. Remake d'un film de Joseph H. Lewis (" My name is Julia Ross") datant de 1945, "Froid comme la mort" s'avère être en réalité un thriller tout à fait roboratif, s'appuyant sur la soif de réussite d'une actrice en galère qui accepte imprudemment de s'engager dans un projet aux contours très flous qui va la conduire aux confins de la folie et de la mort. Quelques invraisemblances et boursouflures sont certes à déplorer pour que l'on puisse parler d'une réussite totale mais le trio composé par Mary Steenburgen gracile à souhait, Jan Rubes onctueux au possible et Roddy MacDowall halluciné comme pas permis suffit largement à notre bonheur dans cette luxueuse demeure enfouie sous la neige de l'Ontario. On passe donc un bon moment en se plaisant à penser que le très raffiné Arthur Penn pouvait aussi mettre les mains dans le cambouis. On notera au passage un clin d'œil à Malcom McDowell, l'époux d'alors de Mary Steenburgen dont une photographie passe entre les mains de l'horrible psychiatre interprété par le génial Jan Rubes tout comme le personnage maléfique interprété par Jan Rubes nommé Joseph Lewis en hommage au réalisateur du film séminal.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Le scénario ne tient pas debout, mais Arthur Penn a suffisamment de métier pour nous le faire oublier. Les trois interprètes principaux de ce suspense hitchcockien sont excellents. Seul le personnage de l'amant de l'héroine est un peu fade. Mais le suspense ne faiblit jamais.
    mx13
    mx13

    248 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    Un thriller qui nous empêche d avoir accès à la différenciation entre la réalité et la fiction. Arthur Penn nous sort un film sympathique à voir si on est en recherche de sensations. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2010
    Une fois n'est pas coutume, Arthur Penn change de registre et aborde cette fois le thriller... Avec quel bonheur et quelle maîtrise de l'intrigue. Méconnu, ce film est pourtant un vrai petit bijou, peut-être mieux réussi que le fameux "Misery" auquel on pense forcément dans ce huis clos glacé et glaçant. Penn signe là une réalisation sobre et efficace laissant peu de place à l'improvisation et aux artifices. Et c'est tant mieux ! Seul petit bémol, l'interprétation qui n'est pas à la hauteur du monstre sacré qui dirige les débats.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 février 2018
    Au cœur des années 1980, Arthur Penn termine anonymement sa carrière, avec d'abord un thriller, Dead of Winter où il va étrangement tenter de se renouveler, misant sur un mystère fort, un jeu de faux-semblant et une ambiance froide voire angoissante.

    A première vue, Dead of Winter me fait plus penser à un De Palma, Hitchcock ou Cronenberg qu'à un Arthur Penn, ce dernier prenant son temps, avec l'aide d'une étrange bande-originale, pour créer un parfum de suspense, de doute ou encore de faux-semblants, en s'appuyant sur un scénario où les apparences sont trompeuses et l'on ne sait pas vraiment qui est qui. Le début est plutôt intriguant, l'histoire évoque à la fois des jumelles, des meurtres ou encore le cinéma, on baigne dans une atmosphère plutôt prenante, avec un personnage central intéressant et dont on ne veut plus rien savoir.

    Pourtant, plus le film avance, moins il présente d'intérêt, l'ambiance perd en puissance, à cause notamment d'un scénario confus et guère transcendant, et d'un Arthur Penn qui finit par tourner en rond. Il ne parvient plus à maîtriser le rythme et à garder un intérêt fort sur les enjeux et personnages, qui eux finissent par s'enliser dans la caricature et même les retournements de situation un peu faciles, virant même, à de rares moments toutefois, au ridicule.

    Evidemment tout n'est pas à jeter, Arthur Penn garde une certaine maîtrise de sa caméra, notamment dans ses plans et sa façon de capter la détresse de son personnage principal. De plus, Dead of Winter bénéficie d'un cadre assez beau, participant pleinement à l'ambiance un peu froide du film et rehaussant parfois le climat sombre du film. Devant la caméra, Mary Steenburgen s'en sort plutôt bien dans un triple rôle, malgré quelques sautes d'excentricité qui ne sont pas toujours les bienvenues, tandis qu'aucun comédien ne se montre réellement impérial, bien qu'ils évitent tout de même de trop sombrer.

    Arthur Penn livre un décevant chant du cygne, une oeuvre surprenante mais ne provoquant jamais les effets voulus, avec une ambiance perdant peu à peu de sa puissance et ne rehaussant jamais ce Dead of Winter, qui demeure tout de même intéressant dans ses pistes explorées.

    A l'exception d'un inédit en France, Arthur Penn ne fera plus de film pour le cinéma par la suite, se contentant juste de deux téléfilms et quelques participations pour des documentaires et émissions, avant de s'éteindre en 2010. Alors que j'en ai fini avec sa filmographie, je reste admiratif de son oeuvre, de sa capacité à renouveler les genres qu'il a abordés, tout en proposant une vision pertinente et personnelle de son pays, parfois violente mais toujours intelligente, toujours avec une incroyable maîtrise de la caméra et des atmosphères.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2021
    L'actrice Mary Steenburgen a désespérément besoin de travail. Elle accepte un poste de comédienne pour un couple vivant dans un manoir isolé. Il s'avère qu'ils ont besoin d'elle pour mener à bien un étrange complot de chantage qui laissera leur victime engagée à l'abandon. Un bon casting et un bon réalisateur finissent par patauger dans une histoire sombre qui est tour à tour manipulatrice et carrément mauvaise. Le film est librement inspiré du légendaire court-métrage My Name Is Julia Ross qui a fait beaucoup mieux en deux fois moins de temps et avec deux fois moins de budget...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 avril 2011
    Kathie court les casting. Un jour elle obtient un rôle sans avoir eu à passer l'audition et se retrouve chez l'étrange vieux Lewis et son acolyte Murray".Dead of winter" a très mal vieilli. On se retrouve pris dans un thriller de sosies, de jumelles... sans étoffe. L'excentricité de Roddy Mc Dowall et de son patron offre quelques passages sympa, mais plus amusants que terrifiants. Bref, la jaquette est très alléchante mais on est loin de l'ambiance noire à suspens qu'elle suggère. Un film léger, dépassé.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top