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5 critiques presse
Positif
par Olivier De Bruyn
Le réalisateur filme de façon mimétique le conflit inaltérable de l’ordre et du délire : avec un mélange de précision clinique et d’embrasement baroque. Positif 378, juillet 92
Le Monde
par Danièle Heymann
(…) on navigue et l’on se noie dans un capharnaüm érotico-onirico-cradingue, où Lynch bouscule tout, le temps, l’espace, la logique et le bon goût avec une virtuosité hautaine, une désinvolture glacée. Le Monde, 19 mai 92
Cahiers du Cinéma
par Antoine de Baecque
Comment expulser le mystère d’un film qui se fonde sur lui ? C’est à cette expérience souvent pitoyable que se prête David Lynch avec une conscience professionnelle presque suicidaire. Cahiers du cinéma 457, juin 92
Libération
par Gérard Lefort
Intellectuellement, c’est un projet excitant. Cinématographiquement, c’est un résultat décevant. Libération, 5 juin 92
Télérama
par Pierre Murat
Tel un savant rendu fou par la certitude de son génie, Lynch confectionne désormais ses films comme le docteur Frankenstein sa créature : de petits bouts disparates, cousus à la hâte avec de grosses ficelles. Télérama, 4 juin 92
Positif
Le réalisateur filme de façon mimétique le conflit inaltérable de l’ordre et du délire : avec un mélange de précision clinique et d’embrasement baroque. Positif 378, juillet 92
Le Monde
(…) on navigue et l’on se noie dans un capharnaüm érotico-onirico-cradingue, où Lynch bouscule tout, le temps, l’espace, la logique et le bon goût avec une virtuosité hautaine, une désinvolture glacée. Le Monde, 19 mai 92
Cahiers du Cinéma
Comment expulser le mystère d’un film qui se fonde sur lui ? C’est à cette expérience souvent pitoyable que se prête David Lynch avec une conscience professionnelle presque suicidaire. Cahiers du cinéma 457, juin 92
Libération
Intellectuellement, c’est un projet excitant. Cinématographiquement, c’est un résultat décevant. Libération, 5 juin 92
Télérama
Tel un savant rendu fou par la certitude de son génie, Lynch confectionne désormais ses films comme le docteur Frankenstein sa créature : de petits bouts disparates, cousus à la hâte avec de grosses ficelles. Télérama, 4 juin 92