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    Course contre l'enfer
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    2,8
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    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 870 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2021
    Un film qui fleure bon les 70 s ! et plutôt très efficace dans la montée du suspens . Un survival un peu different qui tient vraiment ses promesses. Le rendu des États-unis profond est bien marqué et les comédiens sont bons .
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    140 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    Une bonne série B avec des acteurs de série A, la tension monte crescendo sans susciter le moindre ennui.
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 769 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2019
    Ce que nous avons là, c'est une petite série B, pouvant rappeler celles produites et/ou réalisées par Roger Corman. Petite série B, d'accord, mais nom de dieu, quelle efficacité. Il faut quoi, cinq à dix minutes maximum pour que les bases soient jetées et après, malgré un petit passage un peu lourd (même s'il sert d'introduction à la première vraie attaque), ça n'arrête plus. Tout le long, on nage dans une atmosphère un peu paranoïaque. Et on a droit à des scènes d'action. La mise en scène bien sèche, bien nerveuse de Starett les rend bien réjouissantes. Les courses poursuites sont franchement cool à suivre. Ça dégomme sec. Et la toute dernière scène, barrant l'accès à toute happy-end, est remarquablement filmée. Là dedans, Warren Oates et Peter Fonda sont comme dans poissons dans l'eau. Même si on a tout le loisir de constater que ce dernier est un peu plus à l'aise quand il faut cascader. Voilà un film qui fait plaisir et qui fait du bien par où il passe.
    Jérémie C-35
    Jérémie C-35

    1 abonné 129 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2019
    Course contre l’enfer, est un film intense qui installe un vrai suspens. Un road-movie de qualité qui nous plonge dans un certain malaise. Le scénario fonctionne, les acteurs convaincants. Un film méconnu, hélas passé inaperçu.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    755 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2018
    Excellente surprise que ce thriller qui raconte les mésaventures de deux couples qui se retrouvent pourchasser par les membres d'une secte satanique. Le film propose une bonne dose d'angoisse et de suspense, il y a des scènes d'actions qui ne manque pas d'efficacité et le casting est très convaincant. A noter certaines scènes assez marquantes, comme celle de la cérémonie satanique ou encore tout le passage qui concerne l'attaque des serpents dans le camping-car.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Comme l'annonce judicieusement son titre, "Course contre l'enfer", c'est un peu l'improbable croisement entre "Duel" et... "Rosemary's Baby" ! Au premier, il emprunte sa forme, celle d'un survival routier parsemé de poursuites et cascades ; au second, le thème de la secte satanique et le ressort de la paranoïa, sur lequel le film joue à fond. En effet, ce qui aurait pu se limiter à une course-poursuite entre le petit groupe de satanistes et les deux couples prend une dimension de plus en plus terrifiante à mesure que l'on découvre que le satanistes ont beaucoup de relais dans tout le pays traversé par les deux couples ! Le scénario distille habilement les détails alimentant le crescendo paranoïaque. Certes à certains moments on se dit que tout cela est tout de même difficile à croire. Mais le rythme est suffisamment haletant pour qu'on n'ait pas le temps de trop se laisser perturber par ces doutes.
    pierrot le flou
    pierrot le flou

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2018
    Cette « Course contre l'enfer » est un fleuron du redneck movie, parfait reflet de toute la richesse de cette période d’hyper productivité New Hollywoodienne dans ces 70’s, sacro saintes années pour tout cinéphile avide d’expériences visuelles. Le cinéma d’exploitation alors en pleine expansion, nous bombarde la rétine de bobines toujours plus surprenantes, à une cadence aussi infernale que la course de ce véhicule poursuivi par une armée de ploucs dégénérés.
    Aux manettes de ce film on retrouve cette bonne tronche de Jack Starrett, acteur/réalisateur texan coutumier des rôles de bon gros males dans des Bikers movie a la virilité exacerbée comme « Angels from hell »(19868) , « Run angel run »(1969) ou « Nam’s angels » (1970).
    Avant de devenir ce sergent Arthur Gault, le premier qui versa le sang dans « Rambo » (1982), Starrett va faire couler celui d’une femme sacrifiée par une horde satanique dans le sud profond des states, lieu propice aux rites mystiques et aux pratiques les plus tabous qui alimentent depuis plus d’un demi-siècle la mythologie de ces péquenauds.

    Avec ce western moderne dans ces contrées arides, quelques années avant que l’on découvre cette colline avec des yeux, il va livrer une œuvre aussi linéaire et chaotique que la course de ce camping-car poursuivi par des tarés. Probablement ceux que Frank Stewart (Warren Oates) ,Roger Marsh (Peter Fonda) et leur épouses Alice (Loretta Swit ) et Kelly (Lara Parker)ont surpris, leurs visages dissimulés derrière des masques aussi grotesques qu’effrayants, en train d’assassiner une « promise », destinée a un bucher ardant. A ce titre, c’est une des rares fois où le sacrifice par le feu est fortement suggéré, une probable source d’inspiration du futur film de cannibales de Craven (la caravane, le désert, les ploucs, le masque « sauvage », l’immolation…pas mal de « coïncidences » !) car c’est surtout un des clichés scabreux de la redneck exploitation depuis « Le naissance d’une nation de Griffith » avec une des pratiques « favorites » du klu klux klan.

    « Course contre l'enfer » est un film qui clame cette filiation avec la confrontation entre citadins arrogants et autochtones belliqueux sous forme de choc de culture à commencer par ce camping-car dernier cri, symbole bling bling de l’urbain colonisateur. Starrett va leur donner rendez-vous en terre inconnue, quelque part dans le désert de Californie, histoire de jouer la touche de terreur localisée. Les plans larges en travelling arrière depuis le véhicule affirme cette sensation d’isolement et provoque déjà un sentiment de malaise naturel, avant même de prendre le virage du drame.
    Les « gars de la ville » vont chercher de l’aide auprès des autorités locales, mais qui vont surtout réussir par leurs étranges comportements à faire grimper le climat de tension de manière empirique. Et ce ne sont pas les autres locaux croisés sur leur route qui vont les rassurer !
    Starrett joue sur les silences, les regards, les sous-entendus, les non-dits….pour entretenir un climat paranoïaque qui laisse augurer que le danger peut venir de tout le monde, n’importe quand, et que les « étrangers » en savent beaucoup trop. La découverte du chien étranglé, des crotales dans leur maison roulante, va faire monter de plusieurs tons la violence alors retenue, qui c’était quelque peu mis en pause après le meurtre. Un faux rythme, parfois un peu longuet mais toujours très pesant, et très habile pour nous préparer à l’électrochoc « fumant » de la conclusion.

    Ce road treap sauce survival, s’il n’est pas exempt de quelques scories avec donc ces quelques temps morts un peu étirés, possède cette belle coloration d’une époque ou avec peu de moyens, pas mal de bricolage et surtout une bonne dose de créativité décomplexée on arrivait à faire du spectaculaire, du vrai bon cinoche divertissant, même en classe Bis. La scène du sacrifice filmée depuis l’autre rive est effrayante, proche d’un snuff movie, la course poursuite montée sur un rythme effréné avec ces explosions et froissage de tôle est digne d’un production plus « riche » a la « Sugarland express », le texan faisant preuve à cette occasion de grands talents de metteur en scène. Fonda, grand habitué des films contre culturels, star montante et ami (ils tourneront trois fois ensemble) apporte la caution artistique de l’interprétation partagée avec Warren Oates, cowboy confirmé. Ils donnent un supplément d’âme à une film qui n’en manque pas, dans ces peaux d’urbains itinérants.

    Starrett a brillamment préparé son coup avec un twist ending déconcertant de noirceur. Comme toutes ces pelloches de ce cinéma d’exploitation tacheronnés avec amour, on est pris en tenaille entre les virées fantasques d’ « Easy rider »(Starrett en bon biker nous livrera sa scène en deux roues), la plouc-itude de « Délivrance », la sauvagerie de « La colline a des yeux » et le mysticisme de «The Wicker Man ». Mais “ Race with the Devil� est un magistral exercice de style, dans lequel Jack Starrett joue à l’équilibriste et marque de son sceau cette jouissive époque avec un produit unique, qui inspirera des générations de réalisateurs au point même d’en un remake en 2016.
    Mais cette époque folle est révolue depuis bien longtemps, et avec elle, cette décennie formidable, brulée et carbonisée quelque part dans les contrées du sud profond
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    25 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2016
    Une poursuite qui n'a pas grand-chose d'infernale, des satanistes ridicules, des dialogues approximatifs, des acteurs qui n 'y croient guère... Avec ça, on ne peut pas décrocher un oscar.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 septembre 2016
    Bon nanar des années 70 qui présente deux couples d’amis pourchassés par toute une complicité criminelle de rednecks dans une fuite éperdue au travers un Etat. Ces malheureux vacanciers ont surpris une messe noire sacrificielle un soir de camping, et auront donc droit aux représailles de tous les indigènes dont l’hostile esprit de famille semble fusionner en une intelligence collective et meurtrière. Du shérif au paysan, de l’ouvrier de la route au garagiste, du commerçant local à la belle-sœur de l’épouse du cousin du voisin, cette angoisse de la menace silencieuse, tribale, solidaire et omniprésente est sans doute le seul aspect intéressant à exploiter dans un éventuel remake un peu plus cohérent.
    Car ici le nombre d’âneries, de lourdeurs et d’inepties frôle le ridicule et le loupé chronique de série B, voire C, tant de la part des ô combien maladroits indigènes, mais également dans les réactions balourdes des amis, quand ils parviennent à se concentrer dans le concert criard de leurs copines. A noter pour achever le tout un remplissage sans objet de scènes de moto de nos deux héros amateurs, paradoxalement à un final invraisemblablement bâclé en une dernière et expéditive queue de poisson.
    Top of the World
    Top of the World

    68 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2013
    Entre road-moie et film à suspense, voire d'horreur, ce petit film méconnu mérite la (re)découverte. On y suit la traque de deux couples d'amis par les membres d'une secte après que les maris des couples aient été témoins d'un meurtre rituel commis par ladite secte. Après un premier quart d'heure peu excitant, les ennuis et l'action peuvent donc commencer, générant une angoisse accentuée par un rythme soutenu et une réalisation efficace, qui joue intelligemment sur la paranoïa croissante du quatuor d'amis, puisque chaque individu rencontré sur la route est un membre potentiel de la secte. De manière ambitieuse, c'est donc la peinture terrifiante (bien qu'un peu caricaturale) d'une Amérique profonde peuplée de véritables déments qui se profile, jusqu'à une ultime séquence mémorable.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    143 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2012
    Ah voilà un bon film de genre comme je les aime! Race with the devil est un road-movie sous pression de qualité qui installe un climat paranoïaque progressif pour nous plonger dans un certain malaise tout le long des 1h40 du film. On assiste là aux déboires d’un groupe d’amis parti faire en vacances en camping-car et qui ont assisté bien malgré eux à un rite satanique avec sacrifice humain tout en ayant été repérés, sinon ça n’aurait pas été drôle. Ce qu’on peut dire c’est que Starrett a su créer une atmosphère oppressante, une ambiance inquiétante. Cette série B chez les rednecks brille vraiment sur ce point-là. Décidément après avoir tâté de la tronçonneuse chez Hooper, il ne fait pas bon de traîner quelque part dans l’Amérique profonde ! On a affaire ici à un film doté d’un scénario simple mais efficace puisqu’il ne divague pas partout et reste parfaitement centré sur son sujet. D’un point de la vue de la mise en scène on va dire que malheureusement le film accuse parfois son âge mais en revanche on a le droit à une course-poursuite de grande qualité qui offre un moment de cinéma vraiment exaltant. Une séquence longue, maîtrisée et qui contraste tellement avec les films d’action épileptiques d’aujourd’hui. Comme quoi des cadrages bien trouvés et un montage de qualité suffisent. Dans les rôles principaux on retrouve le très bon mini-Fonda que je voyais pour la première fois dans un film si je ne m’abuse et le grand Warren Oates qui assure une nouvelle fois, bien que son rôle soit moins épais que dans certains autres films, Apportez-moi la tête d’Alfredo Garcia en tête. Globalement on a le droit à un bon film au rythme maîtrisé, j’aurais bien aimé voir ce que ça aurait donné si Peckinpah avait réalisé le film tiens, il y a quelques ressemblances d’ailleurs au niveau du traitement de la violence notamment. Un petit mot sur la séquence finale qui est tout bonnement géniale avec un dernier plan très saisissant, ça faisait bien froid dans le dos. Hélas on pourra dire que cette fin et la course-poursuite sont deux éclairs de génie dans un ensemble relativement calme malgré un climat paranoïaque intéressant. Dans l’ensemble on a quand même le droit à une série B de qualité qui mérite d’être vue, plus d’idées auraient quand même été bienvenues.
    landofshit0
    landofshit0

    275 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mars 2014
    Un film loin d’être d'une grande originalité,cependant certaines scènes de poursuites sont suffisamment efficaces pour rendre le tout regardable.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 240 abonnés 7 525 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2020
    Course contre l'enfer (1975) est une sympathique Série B portée par un excellent duo à savoir : Peter Fonda & Warren Oates. On y fait la connaissance d’un groupe d’amis parti faire du camping et qui assiste malgré eux à une cérémonie satanique (à savoir un sacrifice humain). Les membres de la secte les ayant surpris à leur tour, ils décident de les réduire au silence.

    S’ensuit alors une éprouvante chasse à l’homme, véritable survival version road-movie entre un camping-car (un Vogue 32' Villa Grande 1975) et toute une horde de voitures (appartenant aux rednecks du coin). Ce qui rend cette traque encore plus jouissive, c’est que tous les habitants du comté semblent être de mèche avec eux. Du pompiste aux commerçants, même la police est mouillée jusqu’au cou.

    Une traque constamment sous pression où chaque individu rencontré sur leur route est susceptible d’appartenir à la secte. La paranoïa s’empare du groupe d’amis et ils vont devoir tout tenter pour s’en sortir indemne. On appréciera cette virée cauchemardesque, qui ne cesse de nous réserver des surprises au fil du trajet (de l’attaque de serpents en passant par la folle course-poursuite de 10min dans la dernière partie du film).

    Une Série B diablement efficace, rien à voir avec Les casseurs (1977) où Chuck Norris cassait du redneck (dans un énième road-movie où les rednecks complotaient et incarnaient le mal). Une mise en scène efface et qui nous tient en haleine durant toute la durée du film.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    AMCHI
    AMCHI

    5 833 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2010
    Course contre l'enfer c'est de la série B mais de la bonne série B, un film court et intense qui dans une 1ère partie sait installer un certain suspense puis nous offre quelques scènes fort réussies celles des serpents et le final avec des cascades automobiles toujours impressionnantes. De plus Course contre l'enfer est bien servi par ses acteurs. Une bonne surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 avril 2010
    Si, comme moi, vous vous fiez de temps en temps à la jaquette et au synopsis figurant sur un dvd pour acheter des films qui, vous l'espérez, vous enthousiasmeront un peu, cette Course contre l'Enfer est absolument une véritable arnaque. On a droit en tout et pour tout à 10 minutes de course poursuite, et encore, ce n'est pas dans des véhicules rugissants avec un 666 comme plaque d'immatriculation (comme la jaquette le laisse entendre) mais bien à bord d'un gros camping-car tout pourri poursuivit par des pickups (pourris aussi) de Rednecks (bon, ils sont un peu sataniques, ok). L'histoire est simplissime (mais on a déjà fait d'excellents films avec des scénarios-post-it) et ennuyeuse au possible : 2 couples en vacances sont témoins d'un sacrifice humain perpétré par une secte satanique. S'ensuivent des menaces dans un univers paranoïaque (mais mon Dieu tout le village, tout le conté, le monde entier, fait parti de la secte ou quoi?)… Alors on attend tout du long cette fameuse "Race with the Devil" (titre original) mais malheureusement rien ne vient… jamais… Un film en vérité soporifique vendu comme un "actionner de mécaniques rugissantes"… Heureusement que je n'ai pas payé cher pour "ça"!
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