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soniadidierkmurgia
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3,5
Publiée le 25 juin 2017
En l'espace de deux films sous la direction de Michael Curtiz, Errol Flynn est devenu la star de la Warner. En attendant de le produire à nouveau sous la direction du réalisateur hongrois dans "Les aventures de Robin des bois", le studio entend profiter à plein de la popularité de son jeune premier. Il est donc distribué dans ce film mineur de William Kighley, réalisateur maison (coréaliserateur des "Aventures de Robin des Bois"), qui adapte de manière conventionnelle mais assez plaisante le roman de Mark Twain. Errol Flynn qui se multiplie en cette année 1937, occupe en réalité un rôle très mineur dans le film, n'apparaissant qu'au bout d'une heure pour livrer un ou deux duels à l'épée sans grande conviction. L'intérêt du film tient donc surtout dans la formidable prestation des deux jumeaux Bobby et Billy Bauch très convaincants dans les rôles principaux du petit prince et du jeune miséreux qui un soir échangent leur tenue pour ensuite ne plus pouvoir reprendre leur véritable identité. Mais c'est surtout la prestation de Claude Rains, acteur protéiforme un peu injustement oublié aujourd'hui qui apporte tout son sel au film en campant un prétendant à la régence retors et fourbe à souhait. On passe donc un bon moment devant cette histoire d'usurpation d'identité où le virevoltant Errol Flynn ne fait que passer.
Un régal que ces films d'antan qui ressuscitent le passé de l'Angleterre sous la plume du facétieux Mark Twain et son récit d'usurpation d'identité. L'action, la bravoure et l'honneur ne sont pas qu'une question d'âge. Et les deux jeunes comédiens sont fantastiques et les séquences d'émotion avec Eroll Flyn qui prend le rôle du confident sont réelles. Superbe film d'époque
A regarder sans déplaisir, un Errol FLYNN encore jeunot, mais déjà entouré de quelques compères, et dès l'instant où il apparait à l'écran, le film prend une autre dimension, cela s'anime et prend vraiment des allures de film de cape et d'épée; malheureusement, il n'apparait qu'au bout d'une heure de film et, ne sert que d'intermède dans cette aventure. C'est assez bavard, dans le pur style de cette période. A redécouvrir pour le bondissant Errol.