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Noahdu77
5 abonnés
50 critiques
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5,0
Publiée le 13 août 2013
King Kong, est sans doute le gorille le plus connue au monde. Rendue célèbre par le film de Peter Jackson. Mais, sa première version date de 1933, réaliser par Cooper et Schoedsack. King Kong, est certes un grand film d'action pour l'époque, mais aussi une histoire de cupidité. Les hommes prennent cette bête dans son habitat naturel, pour en faire un spectacle de foire, évidement en tirer de l'argent. Si ce gros singe, moche, poilu et puant est en fait attachant. Il est follement amoureux de cette jeune actrice et fait tout pour la protégé. Il reste cette image mythique, sur l'Empire State Bulding, gravé dans les mémoires. SPLENDIDE !!!
Attention Chef-D'Oeuvre !!! King Kong de 1933 est incomparable avec la reprise Peter Jackson en 2005. Cette dernière est un bon film d'action bourré d'humour aux effets spéciaux numériques très réussis, mais la première version est un mythe cinématographique sans équivalent. La poésie des décors inspirés des gravures ombre et lumière de Gustave Doré, ne fut jamais atteinte depuis. Le noir et blanc agrémente l'ambiance onirique de chaque séquence, autant dans la forêt tropicale qu'à New York. L'image par image, une technique d'animation des monstres devenue par la suite une grande spécialité du maître Ray Harryausen, fut employée pour King Kong par Willis O' Brien, le Mentor du grand Ray. Le visionnage de ce film est un véritable rêve, même si les gestes du gigantesque singe sautillent parfois, on oublie vite les défauts et on se laisse porter par le voyage dans l'imaginaire. Je connais bien les films de Willis O' Brien et de Ray Harryhausen, je suis parvenu à comprendre la conception et la réalisation de leurs effets spéciaux. Ils sont tous d'une rigueur et d'une réalisation exceptionnelles. Aujourd'hui, assistées par ordinateur, leurs méthodes seraient géniales. Toujours est-il que des secrets perdus du King Kong de 1933, notamment sur les mélanges entre les miniatures et les acteurs réels, sont devenus inexplicables 81 plus tard. Les amateurs de films fantastiques, au vrai sens des termes, ne doivent surtout pas rater cette perle. Regarder surtout une version restaurée en HD, avec un rétro-projecteur, au format 4/3 d'origine avec une diagonale minimum de 2 mètres.
En colorisé, le film donne toute sa grandeur à ce conte à ciel ouvert et plein de poésie. Les acteurs, les décors et les monstres sont criants de vérité. Par son côté onirique et magique, le film reste largement au dessus de ses remakes. Incontournable et irremplaçable pour les vrais fans de cinéma fantastique.
Ce chef d'oeuvre, justifie à lui seul l'invention du cinéma. la poésie de ces images, le plaisir de voir ces trucages à l'ancienne géniaux et l'absurdité du scénario (la muraille perçée d'une inutile et gigantesque porte juste destinée à donner la taille du monstre et a être défoncée) nous berce sans langueur monotone.
Les chefs d'œuvres sont intemporels et ce film en est la preuve. Mené tambour battant, on ne s'ennuie jamais. Si les combats de bestioles ont un petit côté suranné, si les transparences sont parfois trop visibles, ce ne sont là que des détails, tant la mise ne scène est maîtrisée (et oui, on se casse la gueule quand on fuit en pleine forêt vierge, on l'avait oublié). Fay Wray est sublime, la musique de Max Steiner est une référence et la dernière partie dure juste le temps qu'il faut, quand à la conclusion elle tient en une phrase loin de guimauves convenus. Un coup de génie. Il y aura deux remake, on rendra gré à John Guillermin d'avoir su érotiser le sien, quant à Peter Jackson, sa version lourdingue n'a absolument rien apporté au mythe !
Au-delà de l'indulgence qu'on accorde aux effets spéciaux de l'époque (mais que certains ont aussi tendance à sublimer), King Kong n'est sûrement pas un chef d'oeuvre... Le film démarre plutôt bien mais les scènes de duels entre colosses se répètent et sont on ne peut plus ennuyantes. Les personnages sont insipides, tant les "humains" que King Kong : pour créer un bon film sans réel personnage principal, il faut être un très grand réalisateur ! C'est raté. La fin est ridicule, torchée en trente secondes... Bref, arrêtez-vous au bout d'une heure et imaginez seul la fin du film selon vos souhaits, vous ferez forcément un meilleur travail que Cooper et son acolyte.
Même si il a vieilli ( on voit que King Kong n'est pas un vrai gorille) ce film reste un chef d'œuvre, qui m'a beaucoup plus marqué que la version moderne de Peter Jackson.
Le King Kong et les dinosaures en "pâte à modeler", désolé mais ça a trop mal vieilli. Impossible pour moi à regarder. A mettre définitivement aux oubliettes.
Comment après avoir vu King Kong de 1933 peut-on faire une critique élogieuse tout en restant intègre? Bien sur King Kong a pour lui une idée de base passionnante, des effets spéciaux magnifique pour l’époque et des plans de New York sublimes, mais tout ça semble fade lorsque l'on remarque le reste. On peut souligné par exemple, les scènes interminables dans la foret, qui occupent 1/4 du film, pendant lesquelles King Kong marche et combat des dinosaures, l'actrice qui crie a pleins poumons toutes les 5 secondes, un jeu d'acteur plutôt médiocre qui rappelle plus celui d'un vieux nanar que d'un classique, le racisme ambiant qui est véhiculé (l’archétype du petit chinois en habits pseudo traditionnelles parlant un anglais exécrable, l’indigène grotesque et vile, etc...) et sans oublier le créationnisme omniprésent. King Kong est un film qui a marque une génération certes mais qui n'a plus sa place a notre époque.
"King Kong". 80 ans depuis la sortie de ce premier long-métrage mettant en scène le plus célèbre gorille du monde. Deux remakes, celui de Guillermin et de Jackson. Pourtant, la première version de Ernest B. Schoedsack et de Merian C. Cooper reste à mon goût la meilleure version présentée à sa ce jour, même si j'ai beaucoup aimé le film de Jackson. Pourquoi? Certainement grâce à ce côté vintage et aux mouvements des créatures en stop motion qui apportent un charme particulier à l'ensemble. Pour le reste, le scénario se contente d'être simple mais efficace. Une jeune actrice, Ann Darrow (Fay Wray) est embauchée par un réalisateur ambitieux, Carl Denham (Robert Armstrong) afin de tourner un film sur une île mystérieuse, Skull Island la bien nommée. Durant le voyage, elle tombera rapidement amoureuse du second du navire, Jack Driscoll (Bruce Cabot). S'ensuira une romance vite expédiée car, à peine arrivés sur l'île que la belle est capturée par les indigènes et offerte en sacrifice à un gorille géant, King Kong. Synopsis archi réputé dans la culture populaire, mais bon dieu que c'est bon! Dans le pur style des films d'aventures fantastiques de l'époque, "King Kong" est à l'image de l'animal, un mastodonte aussi ambitieux dans ses effets que réussi pour l'époque. De nos jours, le résultat a certes vieilli mais n'entache en rien le plaisir et le divertissement que le long-métrage de Cooper et Schoedsack apporte. Ayant sauvé la RKO des problèmes financiers auxquels la firme était confrontée, l'histoire de King Kong est à présent ancrée dans la culture populaire. Plus qu'une simple icône, ce premier "King Kong" met en avant le mythe du singe géant, qu'on a extirpé de son milieu naturel pour en faire une bête de foire. L'injustice fait parti intégrante du film, injustice qui sera maintes et maintes fois utilisée au cinéma. "King Kong" malgré son âge passionne toujours, marque des grands classiques immortels du septième art.
En tant que fan incontesté du septième art, c'est avec grand honneur que je publie cette critique sur l'un des plus grands chefs d'œuvre que le cinéma ai crée dans l'histoire. Une œuvre ayant subi deux remakes au fil du temps, celui des années 70 et bien entendu le plus connu à présent celui de 2005. Quand on regarde un vieux film il ne faut pas le prendre à la légère, mais se placer dans le contexte de l'époque ou le film a frappé. Alors oui, nous sommes maintenant en 2012 soit un intervalle élargit de presque 80 ans! Si certaines œuvre ont été une révolution c'est qu'il y a évidemment une logique, c'est normal que le film ai bien vieillit (le Kong était une marionette de 75cm environ). Peter Jackson n'a fait que retranscrire complètement ce qui était déjà acquis, en y apportant du moderne et des effets visuels excellents, autant être réaliste. ''Le monde perdu'' paru quelques années avant le fameux King Kong premier du nom avait été une étape inédite à l'époque, celui-ci a dépassé d'avantage les limites du fantastique et de la créature imaginaire bestiale. Les cris de Kong, le regard et l'amour porté à son bien aimé ne sont pas là pour la simple figuration, on lit ses sentiments et ses actions pendant seulement 45 minutes. Sur 1h40 environ de film, aucune baisse de rythme ou de passages inutiles ne sont identifiées contrairement à la version de Jackson (bien qu'elle soit réussite). Aucun moment d'ennuie, on est impressionné par la présence de la bête, de l'histoire et de la réalisation exemplaire d'Ernest B. Schoedsack qui maîtrise à la perfection chaque plans, chaque scènes clef de son œuvre. Alors oui, le King Kong de 1933 est un ‘’monstre’’ cinématographique, ou il faut évidemment avoir un minimum de culture au cinéma pour reconnaître sa révolution pour l'époque.
Sorti huit ans après "Le Monde perdu" qui fut l'un des premiers films à mettre en scène de gigantesques créatures, "King Kong" fait de même et permet à un gorille géant de rentrer dans les annales du cinéma. D'accord c'est un film muet, il est en noir et blanc et il est totalement dépassé, malgré tous ces critères rebutants propres à une époque bien révolue, le film de Schoedsack possède aujourd'hui encore un certain charme qui fait passer inaperçus les 80 ans d'âge de cette oeuvre. L'histoire de ce gorille géant fera d'ailleurs l'objet de nombreuses adaptations dont une signée Peter Jackson. Réservé aujourd'hui à un public averti, le King Kong version 1933 est un film désuet mais incontournable.
Voila the mythe le plus grand monstre de l'histoire du cinéma j'ai nommée King Kong la huitième merveille du monde se film sortie en 1933 et réaliser par Ernest B. Schoedsack et Merian C. Cooper possède des effet spéciaux hors du commun pour l'époque bien sur sa a vieillie mais sa reste tout de même magistrale. Pour l'histoire j'ai pas besoin dans parler tout le monde connait l'histoire de King Kong les acteur du film joue plutôt correctement quand a la musique du film elle et tout simplement merveilleuse a entendre (j'avais l'impression d'entendre la musique dans fantasia quand il sont dans la préhistoire) en bref King Kong porte bien son titre de huitième merveille du monde et restera sans doute le meilleur film de monstre de l'histoire du cinéma.