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Une merveille !
Imagination, humour, jeu, musique, choréographie, plans.
Ce film de 1930 passe le cap et fait sourire.
Imagination, humour, jeu, musique, choréographie, plans.
Ce film de 1930 passe le cap et fait sourire.
weihnachtsmann
Un mélange de burlesque à la Chaplin et de musique légère d’opérette.
C’est gentiment désuet comme disait un autre critique et c’est aussi quelque peu ridicule (toutes les scènes dans les escaliers...) dans le comique d’époque qui a quand même du mal à se revoir avec un œil objectif.
Pour la musique c’est par contre sacrément navrant.
Préférons dans le style mais en largement mieux « pas sur la bouche »
C’est gentiment désuet comme disait un autre critique et c’est aussi quelque peu ridicule (toutes les scènes dans les escaliers...) dans le comique d’époque qui a quand même du mal à se revoir avec un œil objectif.
Pour la musique c’est par contre sacrément navrant.
Préférons dans le style mais en largement mieux « pas sur la bouche »
Une comédie musicale à la française qui a terriblement vieillie et qui parait maintenant bien désuète .
Un pur joyau témoignant d'un pan discret de la cinématographie française, à savoir la comédie musicale. C'est écrit avec finesse, joliment mis en scène et très bien interprété. A voir sans plus attendre !
Quatre-vingt ans après sa réalisation, Le million est évidemment daté, mais il n'a pas pris une ride. Renè Clair manifeste une inventivité extraordinaire et de nombreux gags seront par la suite repris par d'autres cinéastes sous des formes diverses. Le film comporte des morceaux d'anthologie, comme la poursuite sur la scène de l'Opéra. Les acteurs, dont Anabella, sont délicieux. La construction du film, avec retour en arrière et bouquet final est un modèle du genre et les scénaristes d'aujourd'hui feraient bien de s'en inspirer. Ajoutons une touche de subversion discrète sur le thème du pouvoir fascinant de l'argent. A consommer sans modération.
Kurosawa
René Clair aurait pu offrir une comédie très sympathique avec "Le Million". D'ailleurs, cette première partie où l'on suit ce personnage principal, qui vient de gagner à la loterie, et qui commence à rechercher son billet perdu, est plutôt amusante. Mais le film devient très vite lourd et ennuyant. Sa musique devient très vite lassante, car le plus souvent inutile, aux paroles creuses, et mal chantée. De plus, cette quête du fameux billet, censée devenir un objet de comique irrésistible, se transforme en chaos général (même la caméra du réalisateur ne sait plus où se poser). Le spectateur finit par abandonner ces comédiens, qui finissent par devenir moyennement drôles. Enfin, on résiste avec peine à suivre cette fin poussive et prévisible.
Au dèbut des annèes 30, au moment où la crise se dèveloppe, le cinèma a d'abord une attitude de dèsinvolture et de fuite: "En France, tout fini par des chansons", comme dit le proverbe! Les films se soumettent donc à la chansonnette! Après "Sous les toits de Paris", le petit peuple de Renè Clair se retrouve dans "Le million". On peut parler ici de populisme, mais pas de folklore avec au moins une scène d'anthologie où le veston contenant le soi-disant billet de loterie devient dans le final l'objet d'une mêlèe de rugby! Clair, ancien surrèaliste (mais futur acadèmicien), tourne cette comèdie musicale lègère, à vellèitès sociales, ayant pour but de faire rire les français de la crise! Gentiment dèmodè (le point faible ètant uniquement la direction des comèdiens), ce classique joua un rôle dècisif pour lancer le cinèma musical...
C'est bel et bien le côté pétillant et enchanté de son cinéma qui a donné à René Clair son prestige international, considéré à l'époque comme l'égal d'un Chaplin. Les deux hommes avaient d'ailleurs l'un pour l'autre un immense respect, ce qui est révélateur de l'immense talent de Clair, un peu injustement tombé dans l'oubli ces dernières années... Sur la base d'un scénario minimal construit autour d'un billet de loterie gagnant trés convoité, le cinéaste construit son film autour de courses poursuites échevelées et de scènes de dialogues rares mais efficaces... "Le million" est un véritable laboratoire à idées pour les futures stars d'un nouveau genre d'humour outre-atlantique qui nait avec le parlant, un sens de l'absurde dont les Marx Brothers seront les principaux fers de lance.
René Clair est assurément un des réalisateurs qui a su le mieux utiliser dès le début les possibilités du parlant comme le montre ce petit bijou. Ainsi au lieu de laisser des trous sonores comme l'aurait fait bon nombre de cinéastes beaucoup moins bons, René Clair les remplit avec des chansons traduisant l'état d'esprit présent des personnages. Mais le moment le plus original du film est sans conteste la bagarre pour la possession du veston recouvert par les bruits d'un match de rugby. Excellent comme film précurseur, "Le Million" l'est aussi comme divertissement. L'intrigue et le portrait des personnages font de ce film est un pur délice de légéreté et de fraîcheur, mené par une galerie d'acteurs en très grande forme. Un film qui a plutôt bien vieilli et qui a su rester incroyablement agréable.
Une petite comédie musicale, pas bien passionnante, mais qui commence à avoir de l'intérêt à partir de la dernière partie lorsque les personnages sont à l'opéra. On a alors droit à quelques moments fort agréables, et même une petite partie de rugby qui rappellera à certains "Flash Gordon". Le tout dans une franche bonne humeur qui n'est pas déplaisante.
Un très joli classique du cinéma français, où Clair utilise admirablement le son synchrone.
Le regard sur une ville mythique est à l'image du film, extrêmement charmant, fortement désuet, mais toujours agréable. A voir et à écouter.
Le regard sur une ville mythique est à l'image du film, extrêmement charmant, fortement désuet, mais toujours agréable. A voir et à écouter.
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