Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par mailto:madnat55@club-internet.fr
Garage Olimpo est un superbe film bicéphale sans cesse balancé entre l'aveuglement irresponsable d'une société et la terrible obstination de tortionnaires obéissants à un Etat qui programmait la mort des individus.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
par Raphaëlle Brillaud
A travers Garage Olimpo, Marcos Bechis nous parle avant tout de torture, de dictature, de droits de l'homme bafoués. Il mérite notre attention.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Par son regard sobre et dépassionné sur un sujet tragique, le réalisateur nous convainc profondément de la cruauté pathologique d'un système qui, au nom d'une quelconque idéologie, s'arroge le droit de vie et de mort sur les êtres humains.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film montre tout, dissèque sans discourir, se méfie de l'émotion car qui est ému ne peut comprendre, qui pleure ne voit plus rien. C'est en cela que "Garage Olimpo" est un film important.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce film (...) mérite de se frayer un chemin pour deux raisons : la première c'est la solidité du récit, absolument prenant (...). La seconde, c'est son double fond : cet art de mélanger le banal à l'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) ce film (...) est une analyse pénétrante et convaincante du processus fascsiste, toujours le même, qui transforme des hommes a priori "comme les autres" en machines dûment assermentées, programmées pour détruire d'autres humains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
(...) une critique esthétique est-elle pertinente ? Plus que jamais (...). Décidément, les critiques ne sont jamais contents... Sauf nous, aujourd'hui, avec Garage Olimpo.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
(...) la grande réussite du film tient sans doute à la vision personnelle du monde que nous propose le metteur en scène. Le film joue de trois niveaux spatiaux également significatifs, et à chacun d'entre eux correspond une manière de filmer (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Une véritable vision clinique de la torture (...), d'autant plus oppressante qu'elle se double d'une absence totale de dramatisation. (...) Bechis ne juge personne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Bernard Benoliel
Puisque sa fiction même démontre en ses prémices sa force documentaire, Garage Olimpo avait les moyens d'organiser autrement son économie narrative et formelle, et d'atteindre son but : mettre à nu une structure de répression.
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En dépit de ce cadre scénaristique a priori discutable, le cinéaste fait montre de sobriété pour suggérer, grâce à une mise en scène minimaliste et dépourvue de complaisance, la brutalité (...) et l'inhumanité des conditions de détention.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Repérages
par Martin Granica
Probablement trop proche de sa matière, en grande partie autobiographique (...), le réalisateur (...) a toutefois le mérite de reveler le défi d'un exercice périlleux et engagé. Et d'avoir complètement rempli sa mission de témoin.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Marco Bechis a connu les geôles de la dictature argentine (...). Vingt ans plus tard, son témoignage suscite le respect, à défaut d'un véritable enthousiasme. Son principal atout : il évite avec une certaine élégance la plupart des écueils liés au sujet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Garage Olimpo est un superbe film bicéphale sans cesse balancé entre l'aveuglement irresponsable d'une société et la terrible obstination de tortionnaires obéissants à un Etat qui programmait la mort des individus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
A travers Garage Olimpo, Marcos Bechis nous parle avant tout de torture, de dictature, de droits de l'homme bafoués. Il mérite notre attention.
L'Humanité
Par son regard sobre et dépassionné sur un sujet tragique, le réalisateur nous convainc profondément de la cruauté pathologique d'un système qui, au nom d'une quelconque idéologie, s'arroge le droit de vie et de mort sur les êtres humains.
L'Obs
Le film montre tout, dissèque sans discourir, se méfie de l'émotion car qui est ému ne peut comprendre, qui pleure ne voit plus rien. C'est en cela que "Garage Olimpo" est un film important.
Le Parisien
(...) ce film (...) mérite de se frayer un chemin pour deux raisons : la première c'est la solidité du récit, absolument prenant (...). La seconde, c'est son double fond : cet art de mélanger le banal à l'horreur.
Les Inrockuptibles
(...) ce film (...) est une analyse pénétrante et convaincante du processus fascsiste, toujours le même, qui transforme des hommes a priori "comme les autres" en machines dûment assermentées, programmées pour détruire d'autres humains.
Libération
(...) une critique esthétique est-elle pertinente ? Plus que jamais (...). Décidément, les critiques ne sont jamais contents... Sauf nous, aujourd'hui, avec Garage Olimpo.
Positif
(...) la grande réussite du film tient sans doute à la vision personnelle du monde que nous propose le metteur en scène. Le film joue de trois niveaux spatiaux également significatifs, et à chacun d'entre eux correspond une manière de filmer (...)
Première
Une véritable vision clinique de la torture (...), d'autant plus oppressante qu'elle se double d'une absence totale de dramatisation. (...) Bechis ne juge personne.
Cahiers du Cinéma
Puisque sa fiction même démontre en ses prémices sa force documentaire, Garage Olimpo avait les moyens d'organiser autrement son économie narrative et formelle, et d'atteindre son but : mettre à nu une structure de répression.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
En dépit de ce cadre scénaristique a priori discutable, le cinéaste fait montre de sobriété pour suggérer, grâce à une mise en scène minimaliste et dépourvue de complaisance, la brutalité (...) et l'inhumanité des conditions de détention.
Repérages
Probablement trop proche de sa matière, en grande partie autobiographique (...), le réalisateur (...) a toutefois le mérite de reveler le défi d'un exercice périlleux et engagé. Et d'avoir complètement rempli sa mission de témoin.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Marco Bechis a connu les geôles de la dictature argentine (...). Vingt ans plus tard, son témoignage suscite le respect, à défaut d'un véritable enthousiasme. Son principal atout : il évite avec une certaine élégance la plupart des écueils liés au sujet.