Porté par une imagination satirique et parodique débordante, ces 2 films ne manque pas d’humour, bien qu’ils en aient le but. Le premier volet tout d’abord, est commencé par un très beau logo, fière allure car ressemblant aux drapeaux ou emblèmes des armées américaine. Cependant, j’ai absolument pas eu le temps de tous lire de ce logo, car son apparition fut trop courte, détail mince mais qui pourtant, est important pour un film. Dès le début, les premiers éléments parodiques ne tardent pas à venir, ce qui nous met dans le bain de suite. Premier volet parodiant “Top Gun� et “Full Metal Jacket�, 2 films cultes se passant sur l’univers de l’armée. Le quotidien d’une base ou d’un porte-avion y sont génialement parodier. Son casting, porté par son acteur principal, à très bien été choisi car son physique est imposant par sa force physique, important pour le film même parodique de l’armée.
La femme elle, est un atout charme total à la plastique de rêve.
Les gags eux, sont très nombreux avec par exemples : un pilote d’avion faisant griller ses grillades avec le feu du réacteur de son avion. Un autre avec un soldat s’occupant de guider les avions sur le tarmac tombe dans l’eau tellement ses gestes sont présents et finissent par l'envahir. Encore un avec notre héros qui entre dans son engin en l’ouvrant avec une clé pour voiture avec son signal sonore…
Autres éléments à noter également, un indien dont je n’ai pas compris l’apparition s’appel “Dans avec les loupes�, hommage direct au film “Danse avec les loup�.
Encore un, le crash du premier avion en début de film ou son pilote parvient parfaitement à parler avec son coéquipier qui, au-dessus de lui, va parfaitement bien alors que lui, frôle la mort. Une chasse à l’avion en entrainement qui est parodié sous forme d’un jeu vidéo avec pilotage de leurs appareils comme des voitures.
Le second épisode est lui, parodie de “Rambo�, ou là, les gags sont plus nombreux, et pas rapport au premier, ils deviennent vite trop imposants, et donc soûlant. Comme pour OSS 117, la réalisation et le scénario s’est forcer à en faire pour ne pas faire oublier la parodie. Le régal visuel sur l’ironie de la vie d’un dictateur, son quotidien y est parfaitement bien parodier. Afin de se moquer totalement, de la tête de ces dirigeants qui ne dirige, que par la force et la haine leurs citoyens.
La courte scène de la journaliste commentant un sommet entre les grands chefs d’états, est elle, un régal. Le président américain, creuse un trou dans une pelouse, sauf qu’avec sa pèle, il assomme et frappe ses homologues sans même s’en rendre compte. Elle est un régal. Autres scènes du second film qui sont bonnes, le dîner entre nos 2 héros, refaisant le repas du film Disney “La belle et le clochard�. Ou encore le combat entre le même héros et un asiatique en début de film, celui-ci lui écrase les parties intimes qui lui ressorte de la bouche sous forme de noix, imagination excellente. Ce 2ème film est d’ailleurs marqué par la venue d’une autre femme ultra canon, presque aussi canon que l’autre femme.
.
Une série de parodies très bonnes, mais qui, à un moment, finissent par lasser, car les gags finissent par êtres trop nombreux. Des situations finissant par nous dire, on à tous vu sur le genre. Pour l’instant, “Austin power� reste la seule parodie que j’ai adoré car les gags sont bien moins accumuler mais sont très bon, mais qui non cumuler, ne lassent pas. Et bien sûr, tous les éléments de l’espionnage sont réunis.