Avis sur Marseille contrat

Un polar dynamique et aux scènes d'action très bien réalisées où tout le monde parle anglais, surtout les français, qui est idéal pour se divertir mais sans plus l'intrigue comprenant de nombreuses incohérences, et puis le casting prestigieux par son générique (Anthony Quinn, Michael Caine, James Mason, Maurice Ronet avec son délicieux et fort accent français !!!) mais qui se contente de se reposer sur leurs lauriers. Pour passer une heure et demie sans se prendre la tête et en compagnie d'acteurs qu'on aime bien, éventuellement.

Un polar qui ne dure qu'une heure vingt mais qui paraît en durer le double tellement il est lent. Le scénario manque vraiment de rythme, d'action et les duels auxquels on pourrait s'attendre n'arrivent jamais. Même le charismatique Michael Caine ne parvient pas à donner envie devant ce film peu passionnant !!

Thriller à l'américaine, mais qui se déroule en France, Paris et Marseille. C'est un film qui date (1974), pas trop d'esbroufe, mais aussi une action limitée, avec pas mal d'incohérences. Cela se laisse voir sans enthousisame, si ce n'est pour une pleiade d'acteurs français, content de voir ici : Ronet, Bozzufi, Oumansky, Catherine Rouvel. Les acteurs anglais ou US sont également de qualité : James Mason et Michael Caine, et Anthnony Quinn. C'est donc un film d'acteurs plus qu'un drame policier, car le scénario trop classique n'apporte que peu de suspens.
Déception donc.

Marseille Contrat n'est pas du grand cinéma mais il est sauvé par la prèsence de grands acteurs (Anthony Quinn, Michael Caine, James Mason, Maurice Ronet...), sans eux le film eut été vite oublié mais leur prestation donne du style au film.
A voir uniquement si vous aimez l'un des ses acteurs et dans ce cas vous passerez un bon moment.

Film médiocre. A découvrir mollement pour le seul plaisir d’un casting quatre étoiles : Mason, Quinn, Caine, Ronet et Bozzuffi. Alors, que peut-on sauver finalement ? La partition peu inspirée de Roy Budd, les rues cafardeuses de Paris, le port sinistré de Marseille, les scènes surexposées du Cap d’Antibes, les dialogues impossibles, l’intrigue anémiée ? Non, sauvons Georges Beller. Beller dans son plus grand rôle, face à face avec Michael Caine ! C’est autre chose que faire l’opérateur radio dans Moonraker, ou se faire bastonner dans Rosebud de Preminger. Respect pour Georges.

Une merveille dans les raccords . Un raccord sur un panoramique , fort ! et le train , la gare , impressionnant en découpage technique , un vrai modèle .
Juste Quinn fait du surjeu à mon avis, le reste est ok . J'ai mis bien .

Des acteurs que j' apprécie sur un scénario d'une profonde platitude .

Robert Parrish a été monteur puis acteur avant de devenir réalisateur à partir de 1951 pour une vingtaine de longs métrages pour oeuvrer essentiellement dans le film de genre (western, policier, espionnage ou guerre). En 1974, il réalise pour la Columbia son avant-dernier film, « Marseille contrat », pure émanation de « French Connection » de William Friedkin sorti trois ans plus tôt qui avait frappé les esprits par son réalisme, sa violence et son rythme effréné (5 oscars en 1972 dont 3 majeurs). Si la toile de fond liée au trafic de drogue est commune aux deux films, la présence au générique de Marcel Bozzuffi qui avait officié dans « French Connection » parachève la filiation. Mais Robert Parrish n’est pas William Friedkin, dont il ne possède ni la virtuosité technique, ni l'audace narrative ou le sens du rythme. Néanmoins, après un démarrage un peu laborieux, cette chasse à l’homme autour d’un trafiquant (James Mason) bénéficiant de soutiens en haut lieu, se laisse voir sans déplaisir grâce à un casting prestigieux et cosmopolite dont la complémentarité s’avère plutôt efficiente avec les Anthony Quinn, James Mason, Maurice Ronet et Marcel Bozzuffi qui en grands professionnels qu’il étaient, connaissaient parfaitement leur partition. Une mention particulière doit être décernée à Michael Caine en tueur à gages dilettante et goguenard qui était alors très prisé dans les genres policier et espionnage (« Icpress, danger immédiat » de Sidney J. Furie en 1965, « Mes funérailles à Berlin » de Guy Hamilton en 1966, « La loi du milieu » de Mike Hodges en 1971). L’acteur en pleine forme distille goulûment son humour british et sarcastique qui sera le principal argument de sa popularité à partir du milieu des années 1980. Charmeur à souhait, il flirte avec la fille du trafiquant interprétée par la très suave Maureen Kerwin. Un film sans génie on l’a dit, un peu brouillon parfois dans sa mise en scène et dans sa narration mais tout de même efficace.

Avec l'inflation ce film qui a coûté 2 million de dollars en 1974 coûterait 12 millions aujourd'hui.
ce film malgré la Ribambelle d'acteurs présent, au passage je préciserai que la sélection d'acteurs français se faisait selon la capacité à parler anglais. À vouloir surfer sur les films Marseillais on crée des navets même avec tous ces acteurs surtout que l'année 74 est une année formidable pour le cinéma beaucoup de comédie et beaucoup de films incontournable tel que Chinatown les valseuses le parrain deuxième partie exetera exetera Marseille contract est une suite de clichés cinématographique Michael Caine s'en sort pas trop mal j'avoue