Derniers Avis : Terminator 2 : le Jugement Dernier - Page 21

TERMINATOR 2, LE JUGEMENT DERNIER:

James Cameron: un virtuose du genre qui nous avait déjà bleffé avec les deux grand Films: Terminator, et Alien: Le Retour, nous montre qu'il n'a rien perdu de sa force de réalisation.
TERMINATOR 2, LE JUGEMENT DERNIER et une explosion, un big bang pour le genre, Musique admirable, avec cette reprise de la 1er bande sons, plus clin, plus jeune, mais la 1er restera quand même la meilleur.
Les acteurs sont époustouflant, une allure de protecteur hors du commun que nous donne Arnold Schwarzenegger !
Robert Patrick dans ce Rôle du T-1000 est très représentatif de l'acteur model dans sa catégorie, un côte charmeur, mais qui tourne vite à la peur elle même du tueur infernal et instoppables, inarrêtable.
Linda Hamilton et toujours aussi bonne dans sont rôle, mais cette fois dans le style de la mère protectrice assez désorienté mais forte.
Edward Furlong qui aurais pu avoir l'apparence de l'adolescent énervant et insupportable et enfaite le jeune homme perturbé par l'absence de sa mère pendant sont enfance, et nous avons donc un jeune acteur superbe.
Les scènes de combat et de poursuite sont impressionnantes, mouvementé, plein d'ingéniosité et de rebondissement, du grand spectacle j'affirme Haut et Fort !
Un grand Moment du Cinéma !

BON CINEMA, HASTA LA VISTA BABY !

Après la surprise Terminator, on attendait impatiemment la suite du film de James Cameron, avec plus d’argent et donc plus d’envergure, afin d’étendre l’univers du film.

Clairement, Terminator 2 ne manque pas d’ambition et affiche directement toutes ses envies : plus fort, plus imaginatif et plus long, le film se veut être une véritable amélioration du premier opus et non un simple remake sans génie. James Cameron y arriverait presque, avec ces scènes d’action renversantes comme la poursuite moto – camion ou la fusillade au début de cette scène avec le pauvre agent de sécurité au milieu. Encore une fois, James Cameron ne montre aucune considération pour les pauvres humains, qui se font trucider un par un (mention spéciale à Joe Morton) par la baston entre le T-1000 et le T-800.

Tout ceci serait réellement passionnant si seulement James Cameron savait écrire un personnage féminin correctement : la pauvre Linda Hamilton se retrouve avec un rôle de furie complètement tarée et insupportable, distillant un message d’une bêtise à faire pâlir un arbre (Les machines, c’est pas bien. Les humains, c’est mieux. Ne laissez pas le pouvoir aux machines, sinon on va mourir). Pour les personnages masculins, c’est mieux : Arnold Schwarzenegger, Robert Patrick et Edward Furlong sont excellents et permettent au spectateur de passer outre Sarah Connors. Mais encore une fois, James Cameron n’arrive pas à maintenir son film sous les 2h30 et rajoute des scènes qui ne servent pas à grand-chose si ce n’est d’expliciter des choses que le spectateur avait compris sans image (l’explosion nucléaire, par exemple). C’est bien dommage.

Terminator 2 : Le Jugement Dernier est un très bon film, qu’on ne s’y trompe pas. Mais il est clairement en-deçà du premier opus et manque parfois de fun, ce qui est assez pénible pour un blockbuster.

Cette séquelle est clairement au dessus du niveau du premier, dans celui ci, scènes d'actions épiques et répliques cultes s'enchaînent tout le long. La recette est à peu près la même que le premier mais dans celui ci, il y a beaucoup en plus, les effets spéciaux sont extraordinaires pour l'âge du film et sont digne de la réputation de James Cameron et de ses films plus récents, on retrouve Arnold Schwarzenegger encore plus badass et tout le film est de l'action pire et dure. Ce film est vraiment excellent et est l'un des meilleurs films d'actions vus à ce jour.

Le meilleur terminatior Schwarzenegger a son apogée

je sais maintenant pourquoi vous pleurez et c'est quelque chose que je ne pourrais jamais faire.
Sniff...

Ce deuxième opus de la saga "Terminator" est tout simplement le meilleur de la saga à mon sens. Le Terminator fait bien sûr plus humain que dans le premier épisode, Schwarzy convient à merveille pour ce rôle. Les innovations sont présentes avec apparition du T-1000. La dimension humaine et pacifiste (si si !) est présente.
Un chef d’œuvre à ne pas louper !

sans doute le meilleur Terminator des effet visuel bluffant (maquillage compris) un jeux d'acteur génial et une très bonne bande son
a voire et a revoir

Ce film me donne des frissons, un monument du cinéma, âpres avoir vu ce film vous regarderez la vie sous un autre angles

Il est très dur de faire un deuxième opus meilleur que son prédécesseur, mais Terminator 2 a réussi à réaliser cet exploit ! Bien que le scénario ne soit pas très différent du premier dans son intrigue spoiler: deux soldats sont envoyés dans le passé, un pour protéger John Connor, l'autre pour le détruire
, celui-ci est bien plus approfondi que dans le premier : on retrouve des personnages plus marquant spoiler: (Sarah Connor est devenu "un peu instable" après ce qu'elle a vécu auparavant, le futur sauveur de l'humanité est en fait un jeune "délinquant" et surtout, le T800 revire du côté de la résistance et on découvre en lui beaucoup d'humanité)
. Les effets sont comparables à ceux de nos jours spoiler: notamment pour ceux du T1000
sauf pour spoiler: les éclairs du début qui restent assez mal faits
. La réalisation est toujours excellente spoiler: de nombreuses courses poursuites surtout celle entre hélicoptère et le camion
, il y a des répliques encore plus cultes et savoureuses spoiler: "Toi, je veux tes fringues, tes bottes et ta moto."; "Reste cool sac à merde";...
. Les acteurs intègrent très bien leur personnage, la musique est toujours aussi bonne et il y a beaucoup plus d'émotion que dans le premier spoiler: scène de la mort du T800
.
Conclusion : l'épisode qui a immortalisé la saga avec 2h20 de pure bonheur visuel et émotionnel.

Dans la stricte lignée du 1er, avec cette fois-ci une inversion des rôles (Schwarzy passe du bon côté), Terminator 2 est un concentré d’action jouissif qui cherche en permanence à en mettre plein la vue, avec un méchant particulièrement coriace et charismatique. Cependant, il faut reconnaitre que l’effet de surprise s’est un peu estompé, que la recette n’est guère enrichie, et que le genre n’est pas celui qui a le mieux vieilli. Un bon divertissement malgré tout.

Rare sont les seconds opus qui surpassent le premier, Terminator 2 en fait partie.

Le génie de Cameron a été de ne pas se fondre dans une suite pâteuse et revue, comme on en voit tant au cinéma. Très loin de la, Terminator 2 réutilise les excellents ingrédients du premier opus, les enrichit. Le scénario est vraiment très travaillé : cette fois ci, deux terminators sont envoyés dans le passé : l'un pas Skynet pour tuer John Connor, l'autre par les rebelles pour le protéger. Et deuxième intrigue en parallèle : tenter d'empêcher la guerre nucléaire et l'avènement de Skynet.
On voit donc une autre face du Terminator se dessiner : celle du protecteur, voire du kamikaze... Evidemment, Cameron a eu la brillante idée de réutiliser Schwarzy pour faire cette fois ci le protecteur du jeune John Connor. En effet celui-ci a environ 13 ans et, malgré son côté un peu gamin, se révèle au cours du film avoir l'étoffe d'un héros.
Sarah elle, est toujours là, mais au début prise pour folle à propos de son savoir sur l'ancien Terminator, mais le nouveau Terminator et John viendront la secourir. Malheuresement elle reste un des personnages les moins développés du film, se contentant juste d'être une femme forte et à la fois brisée.
Les effets spéciaux un peu gros du premier sont ici tout à fait corrigés, en avnce, bien faits, ils collent parfaitement à l'avencée technologique du nouveau Terminator (le prédateur) qui est plus évolué, plus puissant et donc plus dangereux.
Un film donc très réussi, avec des scènes d'actions superbement maîtrisées, sans fins. La création du triangle de personnages John-Terminator-Sarah est aussi très astucieuse. Ajouté à ça tous les ingrédients de base d'un terminator : les gros calibres, les explosions, les scènes d'action interminables (rappellent celles des Aliens) et évidemment la classe !

A voir, un classique, un film culte, un bonheur.

Rares sont les suites qui font mieux que le précédent. Et je peux dire que Terminator: le Jugement Dernier est probablement le meilleur exemple avec The Dark Knight. Tu prends un chef d’œuvre, t'en fait une suite dix fois meilleurs et tu as Terminator 2. Plus épique, plus profond, plus tout! Même la musique s'est amélioré. Et on le remarque en comparant les génériques des deux premiers films (oui je fais ce genre de choses), la musique est encore plus mythique et le générique annonce la couleur! Voir ces jeux d'enfants bruler et ce Terminator dans les flammes te fixer avec une musique épique, je peux vous dire qu'après ça, t'es à fond direct dans le film. D'ailleurs la scène d'introduction t'envoie aussi du lourd avec cette scène mythique dans laquelle le nouveau Terminator réclame (encore une fois) les vêtements, les bottes ainsi que la moto d'une personne qui va vite finir mal. Et puis arrive une autre scène culte, l'arrivé du T1000, puis encore une autres. Bref, Terminator, c'est comme pour Le Roi Lion, chaque scène est aujourd'hui connu de tous. D'ailleurs, je précise que je parle de la version longue de Terminator 2 qui offre des scènes que je regrette de ne pas pouvoir montrer à beaucoup de personnes car franchement, les scènes coupés sont justes énormes (surtout le sourire de Terminator).
Dans ce second volet, on retrouve beaucoup de choses du premier, mais tout à changer. Aujourd'hui (ou dans le passé), c''est John Connor qui est visé par les machine et c'est un T800 qui est envoyé pour le protégé. Tandis que Sarah est enfermé dans une asile psychiatrique. Et là je cris "James Cameron, tu es un génie!" car j'ai rarement vu un personnage aussi complexe et géniale que Sarah Connor (à part Norman Osborn de Spiderman). Dans ce volet, les événements du précédent film ont changé la Sarah du premier. Elle prépare aujourd'hui la guerre contre les machines au point d'en devenir complétement maboule. Elle est prête à tuer pour sauver le monde (ce qui n'est pas illogique quand on y pense), mais à force de devoir faire des choix difficiles, elle finit par perdre la raison et devient aussi insensible qu'un Terminator (même auprès de son fils). Là, le traitement de Sarah Connor est génial. Quant à John, alors qu'il n'apparaît à aucun moment dans le premier (revisionnez le si vous êtes pas sûr), ici, on le voit en jeune enfant rebelle accueilli par une famille et qui se retrouve un peu comme sa mère dans le premier, mêlé à des affaires complétement délirantes alors qu'il ne voyait pas le truc arriver. John aussi est merveilleusement bien exploité et il évolue super bien. Alors que dans le premier, la relation entre deux protagoniste était celle entre Kyle et Sarah, ici c'est entre John et son nouvel ami, Terminator en qui il voit une figure paternelle alors qu'il est incapable de ressentir des émotion. Et la encore je crie "au génie!" car le fait que Terminator, une machine soit la figure paternelle d'un jeune garçon, mais c'est génial! Ce film regorge d'idées absolument extraordinaires! Comme le concept du T1000 qui certes est moins effrayant que le T800 du premier film, mais ouah! Le T1000 est juste incroyable. L’interprétation de Robert Patrick est la meilleur de tout le film avec celle de Linda Hamilton. Il arrive quand même a courir en respirant du nez sans montrer un signe de fatigue. Les effets visuels crées pour ce personnage sont encore aujourd'hui bluffant. Pour l'époque, c'était une véritable révolution. Et encore aujourd'hui, y a des films qui ont des effets spéciaux moins bon que Terminator 2 alors qu'il a bientôt 25 ans. Je le dis haut en fort, les effets spéciaux se Terminator 2 sont incroyables.
Quant à l'histoire, ça ne résume pas à juste sauver John, là les personnages tentent d'empêcher Skynet de naître. Si comme moi vous avez le coffret avec 4 DVD et un livret, vous avez sans doute lu que le temps pour écrire le scénario et de tourner le film était très restreint au point que James Cameron a travaillé jour et nuit durant des semaines. Mais, vous vous rendez compte du travail de fou qu'a apporté James Cameron. Ce gars... c'est un génie mais c'est aussi un bosseur! L'histoire de Terminator 2 a été écrite très vite mais n'empêche qu'elle est très travaillée. Réussir a créer toutes ces répliques absolument cultes en si peu de temps, là je dis bravo! Je n'ai jamais vu un réalisateur s'investir autant dans son travail.
Revenons au film tout de même. Les scènes d'actions sont comme je le disais, absolument géniales. Les 30 dernières minutes du film sont épiques, en fait, à partir de Cyberdyne... non en fait, tout le film, je dis bien tout le film est parfait. J'essaie d'en trouver, mais je ne trouve aucun défaut à ce film! Le combat final et juste épique, il n'y a pas de mot pour décrire ce qu'on ressent durant cet affrontement. Et la fin, c'est encore mieux que le premier. On est en larme! C'est bon là, on est arrivé à un stade où quoi qu'il arrive dans le film, on est bouche bée, on encaisse les coups. Je le dis, Terminator 2, c'est vraiment mon 3em film préféré. En fait, en écrivant cette critique et en faisant le récapitulatif de tous ce que j'ai aimé dans ce film, je me rend compte à quel point je l'aime! A quel point, ce film m'a marqué! Je ressens rarement ça devant ma télévision. Y a qu'avec Terminator Spiderman, The Dark Knight et surtout Breaking Bad que je ressens de tels émotions, où je sens mon cœur battre à fond à chaque visionnage.
Terminator: Le Jugement Dernier est de ces films qui resteront à jamais gravés dans ma mémoire! Je peux vous assurez que jamais, oh non, jamais, je ne dirais quelque chose de négatif sur les deux premier Terminator... Par contre, pour les suites... 5/5 Voilà qui est dit!

Sept ans après le surprenant succès de Terminator, James Cameron se lance dans sa suite où, après avoir tenté de supprimer Sarah Connor, Skynet s'attaque cette fois-ci à John Connor en personne, alors qu'il n'a que 13 ans.

Entre-temps, James Cameron a pu s'aguerrir avec Aliens et Abyss et encore plus assoir sa notoriété à Hollywood. Il bénéficie cette fois-ci d'un immense budget (un record en 1991), ce qui lui permet d'exploiter aux mieux toutes ses idées, notamment visuelles et dès la scène d'introduction post-apocalyptique on s'en rend compte et c'est une merveille totalement réaliste et éblouissante. Première scène qui lui permet d'à nouveau faire travailler l'imagination du spectateur sur ce futur chaotique, avant de revenir au présent et d'assister à toute la maestra de Cameron lorsque les deux machines se rapprocheront peu à peu.

Léger changement d'ambiance par rapport au premier opus, si ça reste sombre, on connaît cette fois-ci l'univers, l'atmosphère est moins fascinante (et artisinale, ce qui ôte une partie du charme du film de 1984) et Cameron prend bien plus son temps pour nous le présenter, ainsi que d'expandre son univers et approfondir un peu plus ses personnages. C'est avec George Thorogood puis les Guns N' Roses à fond que l'on découvre un Cameron débordant d'idées ingénieuses et bien exploitées, tant dans l'avancement de l'histoire que les personnages et il continue de construire un véritable mythe autour de cet univers. Sarah Connor est maintenant une vraie femme guerrière, tandis que son fils, un rebelle de son temps, jouant aux jeux vidéo au centre commercial et écoutant du hard va devoir faire face à une terrible menace et une nouvelle sorte de robot. Toujours aussi intéressants, les personnages bénéficient de l'écriture intelligente (ce qui prime aussi pour les dialogues et les rares touches un peu plus légères) de Cameron, sachant donner de l'importance à tous et de créer une alchimie entre eux.

Au-delà des idées qu'il apporte, la réussite repose toujours sur sa mise en scène et il montre à nouveau, qu'à une autre époque, il était bien un maitre en la matière. Sa façon de gérer les moments calmes et les temps forts, tout en continuant d'étendre l'univers et en imposant une peur constante sur les protagonistes, est un modèle du genre. Il instaure tension qui, lorsqu'elle atteindra son apogée, donnera des scènes inoubliables et marquantes, telle la dernière partie ou la séquence d'évasion dans l'hôpital. Sans temps mort, Cameron rend ses 154 minutes (version longue avec une petite apparition de Michael Biehn, le Kyle Reese du premier film) haletantes, offrant action majestueusement filmée et réplique mémorable, le tout toujours aussi bien interprété (mention à Linda Hamilton) avec une bande-originale d'enfer et des effets spéciaux faisant pâlir bon nombre de grosses productions actuelles.

Si le premier Terminator était déjà une immense tuerie (dans tous les sens du terme), Cameron récidive avec ce second opus qui lui permet d'expandre l'univers et de montrer qu'il était bel et bien le maitre de l'action et des effets spéciaux. Époustouflant.

Dans la longue et riche histoire du 7ème art, rares sont les suites qui ont réussi à atteindre le niveau de qualité de leurs grandes sœurs. Pourtant, avec Terminator 2, James Cameron se paye le luxe de réaliser cette performance pour la seconde fois dans sa jeune carrière de réalisateur, 6 ans après "Aliens, le retour". Le parallèle entre ces deux films ne s’arrêtent pas là, puisque l’un comme l’autre marquent une rupture avec l’œuvre originale : moins sombres, moins psychologiques, au profit d’une action trépidante et d’une réalisation visuellement impressionnante.

Terminator 2 est plus accessible que son aîné : plus d’humour (le cultissime « hasta la vista baby »), et plus « accessible » avec un héros adolescent. Malgré tout, le thème principal reste très sombre, et le T-1000 incarné par Robert Patrick fait franchement froid dans le dos. Vicieux et implacable, il fera monter la tension de nombreux spectateurs. L’interprétation est globalement irréprochable : le duel Schwarzennegger/Patrick est mémorable, et les prestations de Linda Hamilton et Edward Furlong ne le sont pas moins. La réalisation impeccable de Cameron et les effets spéciaux révolutionnaires justifient largement le budget pharaonique du film : 20 ans après ils n’ont quasiment pas pris une ride. Les scènes d’anthologie se succèdent, comme une série d’uppercuts que l’on encaisse de plein fouet. Enfin, si le scénario reste assez « simpliste », il a le mérite de nous tenir en haleine plus de deux heures, ce qui est en soit une très belle performance.

Terminator 2 est devenu un classique de la science-fiction, parce qu’il s’impose comme un divertissement total sans pour autant être dénué de sens, chose que ne savent plus faire la grande majorité des réalisateurs actuels (Cameron lui-même s’est perdu en chemin). Ici, la machine devient plus humaine, et nous touche en plein cœur.