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Votre avis sur American Gigolo ?
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Paul Schrader s'appuie sur son talent de scénariste ("Taxi Driver") pour nous décrire le mode de vie d'un gigolo incarné avec brio par Richard Gere. La mise en scène est simple mais efficace et la musique très bonne.
Un bon film policier, avec du rythme et surtout un sujet original. A voir !
selenie
Film sur un gigolo (une pute donc) qui vend ses services aux vieilles riches du coin. Il croit dure comme fer être un sacré tombeur et que ses vieilles l'apprécient vraiment ; bref en plus c'est un con. La trame n'a rien de vraiment nouveau puisqu'elle tient en une phrase, un homme est accusé à tort d'un meurtre. Le suspense tient le coup pendant 30mn mais part trop vite en éclat.
La BO est ennuyante, répétitive et quasi absente ce qui n'arrange rien.
Un polar qui se laisse regarder mais qui ne laisse aucun souvenir digne de l'être.
La BO est ennuyante, répétitive et quasi absente ce qui n'arrange rien.
Un polar qui se laisse regarder mais qui ne laisse aucun souvenir digne de l'être.
Ah les années 80... La BO synthé, Blondie... J'ai pris ma dose pour la soirée !
Le film est christique, Richard Gere est celui qui se donne à tout le monde et qui au final est repéché par là où il a péché.
Le film est trop moral, c'est ce que je lui reproche. De plus pourquoi les mecs qui bossent en tant que prostitués sont aussi bien peint, avec tant d'élégance par rapport à leurs homologues féminines. A ma connaissance c'est le seul film sur la prostitution masculine alors que ce sujet, une fois actualisé ferait un si bon film...
A croire que c'est tabou...
Le film est léger, il n'en montre que les bons côtés et les mauvais sont vraiment sous-traités...
Je suis content de l'avoir vu mais je ne me presserai pas de le revoir.
Le film est christique, Richard Gere est celui qui se donne à tout le monde et qui au final est repéché par là où il a péché.
Le film est trop moral, c'est ce que je lui reproche. De plus pourquoi les mecs qui bossent en tant que prostitués sont aussi bien peint, avec tant d'élégance par rapport à leurs homologues féminines. A ma connaissance c'est le seul film sur la prostitution masculine alors que ce sujet, une fois actualisé ferait un si bon film...
A croire que c'est tabou...
Le film est léger, il n'en montre que les bons côtés et les mauvais sont vraiment sous-traités...
Je suis content de l'avoir vu mais je ne me presserai pas de le revoir.
Gigolo pour femmes fortunées, Richard Gere est accusé d'un meurtre. Comment va-t-il s'en sortir, vu que tout le monde va tourner le dos à ce prostituée ? Bon film, dont l'issue est incertaine tout au long du film. Et puis Richard Gere nous change de ses rôles auxquels il est habitué depuis.
this is my movies
La réputation flatteuse de ce film me semble quelque peu surfaite au sortir de la vision de ce film qui fit de R. Gere une star et si ce dernier a dû cartonner auprès de la gent féminine grâce à son charme fou et son corps abondement montré, le film en lui même est assez moyen, toutefois dans sa dernière partie. P. Schrader est un scénariste de talent et un cinéaste averti, nous offrant une mise en scène au scalpel, truffé de mouvements de caméra élégants qui magnifient certaines scènes. La présentation de ce métier alors peu connu est très intéressante, les scènes s'enchaînent bien et il a la délicatesse d'éviter tout voyeurisme. R. Gere se distingue par un jeu d'acteur assez insignifiant, manquant d'intensité dans la plupart des moments clés. L'enquête policière est menée tranquillement (avec un H. Elizondo très bon), sans parasiter le reste de l'intrigue. Le film est intéressant quand il décrit la chute de cet homme dont le mode de vie le condamne d'une certaine façon. Le film ne se termine pas assez tout à mon goût, les dernières scènes réduisant considérablement sa noirceur. Ne parlons de la B.O, rédhibitoire comme la plupart des films de cette décennie mais assez réussie par rapport à la moyenne (comme la scène d'ouverture). Une description noire et mordante du L.A chic et toc, marquée par la déchéance de son élite. D'autres critiques sur
American Gigolo où le film qui à fait découvrir au monde entier le jeune Richard Gere. Il faut dire que son interprétation de jeune Gigolo a eu un effet devastateur sur la gente féminine et l'a propulsé au rang de star malgrés ses trop nombreuses piètres performances. Le scénario bien qu'au final asssez prévisible reste assez original avec cette découverte du monde des gigolo, un sujet encore sensible à cette époque. Richard Geer et Lauren Hutton forme un couple glamour à défaults d'être irréprochable. Paul Schrader décompose en deux parties son film. Celle avant le meutre où Gere surfe sur la gloire et puis une seconde ou le réalisateur film sa déscente aux enfers. LA critique du monde de la bourgeoisie est saisissante et reste la principale attraction du film. Mis à part cela la musique trés eightees ets inaudible et le final est décevant. Un film qui ne restera pas dans les annales mais qui fait passer un bon moment gràce à un them original et une enquête bien menées.
Américan Gigolo est à classer dans les très bons polars américains de la fin des années 70 et a offert un premier très grand rôle à Richard Gere.
La bluette l'emporte hautement sur le fond sérieux que le titre laissait présager.Et l'histoire s'étire jusqu'a plus soif, c'est assez désagréable.Gere, au début de sa carrière, esuie là ses propres plâtres, il manque de conviction au point de donner l'impression parfois de se demander ce qu'il est venu faire dans cette galère !Tout cela est bien factice.
Thriller qui lorgne sur le côté d'une chronique d'un gigolo, le film est assez lent mais très bien mise en scène. Côté scénario c'est pas mal mais Paul Schrader nous a habitué à mieux.
Pas grand chose de positif à retirer de ce film,dont les gens gardent étrangement un souvenir positif."American Gigolo"n'est finalement qu'une banale histoire d'amour,perturbée par le meurtre d'une riche héritière.Richard Gere,mal dégrossi,n'a pas encore les épaules pour ce genre de roles.Bien sur les femmes tomberont en miettes devant son corps...Mais je peux vous assurer que cette peinture des hautes sphères californiennes manque de chaleur et de sincérité.A la rigueur,on est intrigué par ce métier bien particulier qu'est gigolo...Un peu limite,non?
Avec American Gigolo, Paul Schrader, dévoile sans caricature et sans complaisance sa peinture sur le milieu aisée de Californie dans la fin des années 70. Il y met en scène Richard Gere dans le rôle d'un homme qui vend ses talents sexuels à de riches vieilles -du moins, plus âgées que lui- femmes. Jusqu'au jour où il sera accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis. Le réalisateur construit son intrigue et son suspense à partir d'un moment précis, ce qui laisse planer le doute sur l'identité du tueur. Alors que tout montre qu’il s’agit d’un coup monté, il reste la cible idéale, de part la façon dont il gagne sa vie. On pourrait séparé ce film en deux parties distinctes : L’avant meurtre : plus claire, plus ensoleillé, traduisant l’idéalisme de la situation en Californie. Sorte d’insouciance et de bien-être sans scrupules ; puis l’après meurtre : plus sombre. Qui dévoile la noirceur de ce milieu de luxure et d’argent. Richard Gere incarne brillamment l’angoisse, la vulnérabilité, la sensibilité et la paranoïa qui caractérise son personnage. Réalisation aux images tout en contraste, et bande-son excellente ( avec notamment Call Me, de Blondie, lors du prologue ).
pour savourer le corps de Richard Gere...... !!!
Bien que Paul Schrader, brillant scénariste de certains grands films de Scorsese, s'occupe de mettre en scène ce American Gigolo, il n'en demeure pas moins un navet dans la carrière de Richard Gere. Celui-ci, juste séduisant, ne possède pas encore le charisme qu'il prendra avec l'âge, et son jeu frôle parfois la médiocrité tellement on ne ressent rien devant son manque d'expression. L'intrigue du sujet, pourtant assez frémissante à première vue, n'est que platement filmé et il faut le dire on s'ennuie ferme.
Voilà un bien mauvais film avec une renommée bizarrement flatteuse.
Voilà un bien mauvais film avec une renommée bizarrement flatteuse.
Le scénario et les dialogues tout en creux et en ambiguité de Paul Schrader touchent à la perfection et nous rappelle ce qu'est un cinéma pour adultes; la photographie de John Bailey inspirée des toiles de David Hochney est splendide; le final avec le désossement de la Benz de Julian (R Gere); la mort du mac (B Duke) défénestré, qui glisse de ses bottes et la main de Michelle (L Hutton) qui reste derrière la vitre du parloir sans arriver à toucher Julian : Que dire, sinon: Respect pour l'un des plus grands cinéastes des 80's.
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