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    Le Rebelle
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    Frédéric P
    Frédéric P

    15 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2018
    Superbe film de King Vidor de 1949 représentant le sommet de l’individu face au groupe, le rebelle intransigeant et pur face au conformisme et à la compromission.
    La relation torride entre Gary Cooper et Patricia Neal est mise en scène avec brio, depuis le moment où la femme surplombe l’architecte devenu terrassier dans une carrière jusqu’au moment où elle lui cède en s’envolant au dernier étage du plus haut gratte-ciel de New York. qu’il a construit.
    Y Leca
    Y Leca

    27 abonnés 972 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    La présence de Gary Cooper en homme seul contre tous intégre et indestructible n'y fait rien. Tout est outré et pas crédible dans ce film de King Vidor qui a très mal vieilli : l'héroïne relève de la psychiatrie et le scénario est grotesque (un architecte jugé pour avoir dynamité un immeuble !). A oublier pour retourner vers High Noon.
    Gody G.
    Gody G.

    20 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Apologie de l'individualisme, du non-conformisme et du courage. Ce film pourrait galvaniser plus d'un. Sinon, je l'ai trouvé un peu long. La séquence du procès était trop longue et j'aurais préféré que le film se clôture, avec cette séquence. Le reste était très peu intéressant, surtout ce happy end du couple qui se marie. un peu convenu.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 avril 2014
    L'histoire d'amour entre cooper et neal est la plus envoutante qu'il m'ait été donnée de voir au cinéma. C'est juste fort.
    Cooper en macho inflexible, en voilà un modèle de mâle alpha, l'incarnation du personnage randien.
    Anne B.
    Anne B.

    8 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Film esthétique avec une réflexion sur la création artistique. En 1949 les goûts étaient aux buildings façon BANHAUS. Autre temps. Le personnage de la femme est assez ridicule et outré, mais c'était l'époque. Gary cooper a 48 ans et est toujours beau. On a plaisir à voir ce film. Les décors sont beaux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    A mon sens, ce film est un bon film à plusieurs égard.
    Tout d'abord, il est un des rares films à donner accès par l'écran à l'oeuvre de Ayn Rand (A ce propos on peut regretter de ne pas avoir une interprétation de qualité d'Atlas Shrugged et non une simple farce à petit budget!). Bien qu'il y ait des différences assez marquantes avec le livre (le rôle que joue Dominique Francon est assez radicalement différent, et c'est ce qui m'a le plus marqué) l'esprit Randien du film est conservé.
    Autre remarque relative à l'oeuvre, le rôle des personnages. Le fait de faire représenter chacune des idées qui s'opposent dans le livre par un personnage particulier est assez caractéristique d'Ayn Rand. Cette façon de porter une idée par personnage est surprenante et interdit d'explorer des psychologies complexes. Il faut comprendre ici aussi que ce n'est pas le but du film que d'avoir des personnages complexes et torturés, les oppositions d'idées apparaissant plus dans les interactions entre personnages que dans les personnages eux mêmes.
    Ce qui nous amène aux interprétations données par les acteurs. A mon sens Gary Cooper est excellent. Malgré les critiques qui ont pu être faites sur le choix de l'acteur, le résultat est très bon, et le personnage de Roark est très bien rendu. A l'inverse les second rôles, à commencer par Patricia Neal (excellente actrice par ailleurs) sont, sans être mauvais, assez moyens.
    Concernant le scénario, toute la difficulté consistait à transcrire à l'écran la réflexion portée par The Fountainhead. Le résultat est positif, la réflexion est correctement posée, l'esprit du livre relativement bien rendu.
    Enfin, certaines scènes sont tout particulièrement esthétiques, ce qui rajoute à l'intérêt de ce film.

    En conclusion: une très bonne prestation de Gary Cooper, une bonne première approche d'Ayn Rand qui réussit à initier une véritable réflexion autour des valeurs et thèmes Randiens, et un film réussi dans sa conception.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2009
    C'est tout simplement un chef-d'oeuvre ! Je n'ai pas été déçue, j'ai eu l'occasion de voir ce film avec mon option cinéma dans mon lieu d'étude. Je ne regrette pas d'avoir veillé jusqu'à 23h pour voir cette merveille. Cette histoire d'amour est captivante, émouvante, sincère et vraie. Le contexte et les idées partagées sont claires et superbe. On comprend mieux notre monde en le voyant. Un Gary Cooper toujours aussi beau, et je le découvre en très bon acteur. Je dis bravo à Patricia Neals qui a su grappiller la vedette.
    A voir absolument ! C'est une légende.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2007
    Le titre (français) ne peut que séduire. Le cinéma, la musique ne glorifient-ils pas les anti-conformistes, les hommes integres, les justes?
    Dès que Patricia Neal fait son apparition on est sous le charme. Le mélo est établi.
    Gary Cooper est sublime en architecte créateur et batisseur de chefs d'oeuvre. Son abnégation est une ode à notre liberté, au génie individuel. 1949, On sent poindre le debut de la guerre froide. Le perfide Toohey, dans sa manipulation, sa recherche du pouvoir par un ideal: la soumission de la volonté individuelle à celle du groupe, est une caricature du fascisme.
    mysterleo
    mysterleo

    4 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 décembre 2008
    Un film magnifique, avec une idéologie louable et surtout une mise en scène extraordinaire. Inoubliable, surtout sur grand écran.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un véritable Chef-d'oeuvre.Gary Cooper,dans la peau d'un architecte visionnaire et intègre qui va au bout de ses idées et de sa passion,trouve peut etre ici son plus beau role. Un film d'amour fou ou les personnages s'affrontent comme des titans au milieu de ces gratte-ciels new-yorkais .C'est aussi un superbe témoignage sur la fonction et la place de l'Artiste utilisant comme toile de fond le domaine de l'architecture et celui de la presse .Superbe musique de Max Steiner et une invention toujours constante dans la photographie de Robert Burks ,le génial et futur opérateur de Hitchcock.Un régal...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 août 2007
    The Fountainhead nous narre le périple d'Howard Roark, un architecte dissident, pret à tout pour conserver son intégrité dans un milieu perclus de conformisme.

    Le thème de l'architecture n'est ici qu'un pretexte, le film étant en réalité un véritable éloge à la liberté individuelle conforme à la pensée d'Ayn Rand. Le sacerdoce Howard Roark consiste à refuser toute forme de sacrifice au corps social. L'individu, de par sa nature à non seulement le droit d'agir pour lui meme sans tenir compte des autres, mais il est également souhaitable qu'il agisse de la sorte, car la création est un acte égoiste, ou plus précisement individualiste, qui est synonyme de progrès, d'évolution. Ceux qui refusent l'individualisme comme valeur supreme, au profit du collectivisme, ne font rien d'autre que precher l'uniformité synonyme de médiocrité. En vérité ils ne supportent pas la réussite d'autrui, miroire de leur propre échec, et pour conjurer cette vision ils ébranlent sans vergogne la liberté en demandant toujours plus de pouvoir pour diriger la vie des autres. Ce type d'égoisme (qui consiste à nier l'individualisme) est incarné par un constructeur collectiviste fustigeant continuellement les travaux de Howard pour son manque de docilité.

    Le scénario gravite en permanence autour de trois personnages qui nourrissent une passion similaire pour l'individualisme. Howard manifestera le plus de courage, il ne trahira jamais ses aspirations au point de detruire les immeubles symbole d'une volonté individuelle injustement viciée (le contrat est l'expression de la volonté individuelle, et il n'a pas été respecté...). Les deux autres personnages sont en quelque sorte des copies imparfaites d'Howard. Dominique francon n'a pas le courage d'assumer pleinement son individualisme, quant à Gail Wynang il connaitra la désillusion aprés avoir compris que la reconnaissance passe avant tout par le respect de ses propres convictions et désirs.
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