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Anthony Stark
63 abonnés
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4,0
Publiée le 26 mai 2015
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce James Bond. Il a en plus le mérite de sortir un peu de l'ordinaire des James bond en nous proposant un bond amoureux et une fin tragique. Je dois dire qu'après le très bon Sean Connery, j'avais un peu peur avec george Lazenby. Pourtant, ce dernier s'en sort très bien et il se hisse quasiment au niveau de Connery à mes yeux. Le scénario est bien ficelé et de plus, le film propose des scènes d'actions d'enfer pour l'époque, même si certaines font kitch maintenant. L'acteur qui joue Ernst Stavro Bofeld s'en sort bien même si je regrette le look que le personnage avait dans "On ne vit que deux fois". Sa cicatrice manque cruellement et rend moins classe le méchant. Mais bon rien de vraiment grave. Je ne comprend pas qu'un si bon "James Bond" se fasse bacher alors que des opus comme "Opération tonnerre" qui sont longs et ultra kitch se fasse louer! mais bon, chacun ses gouts hein! Pour conclure, j'ai vraiment apprécié ce James Bond car il sort de l'ordinaire, les acteurs sont bons, les scènes d'actions sont bonnes , la musique également et j'adore les films qui se finissent mal.
J'ai été vraiment déçu par cette septième aventure du plus célèbre agent secret de tous les temps. Mais pourquoi déçu ? Et bien parce que c'est mou. Durant tout le film on suit James Bond faire son enquête chez Blofeld alors qu'on sait pertinemment que c'est le méchant. Les scènes d'action sont trop rares, et quand elles apparaissent, elles sont gâchées par la musique trop répétitive. Georges Lazemby, le pauvre bougre, ils l'ont pris parce qu'il ressemblait un peu à Sean Connery et ils l'ont viré quand ledit Connery est revenu, alors que Lazemby n'est pas mauvais, juste un peu fade par rapport à son prédécesseur mais c'est tout. Blofeld n'est pas excellent dans ce film, je le préférais derrière son fauteuil ou avec Pleasence pour l'incarner. Ensuite, le film se base sur le fait que Bond ait une femme, mais celle-ci est sous-exploitée, au même titre que les anges, qui passent leur temps à glousser. En réalité, il y a un point que j'ai toutefois beaucoup aimé dans ce film : spoiler: la mort de Tracy à la fin du film. Je trouve cette idée géniale, car c'est une séquence émouvante et la saga en manque cruellement et que c'est surprenant et inattendu . Un James Bond très décevant, même s'il y a de bonnes idées.
Sixième mission et Bond change de visage. Ici c'est George Lazenby qui incarne le célèbre agent pour l'unique fois de sa carrière. Ce Bond est plutôt est réussi, on retiendra la célèbre poursuite à ski. Ce film n'a pas de gafget comme dans les précédents. Ici Bond est à la poursuite de Blofeld. Enfin c'est le seul épisode o Bond se marie. Dommage que le film se termine sur une fin brutale. Pour le reste Lazenbi n'est pas très convaincant, sans doute parce qu'il nous ne fait pas oublier la prestance de Sean Connery. Ce james bond reste bon malgré ses défauts, on retiendra également les nombreux clin d’œils dans ce volet.
Pour la première et la dernière fois avant longtemps le personnage de James Bond est sensible, faillible. Au service secret de sa majesté, est un épisode à part dans l'histoire de la saga. D'abord car il s'agit de l'unique mission de George Lazenby, mais surtout donc par l'aspect sombre apporté au personnage et à l'histoire.
Un 007 vraiment à part dans la collection, à plus d'un titre : interprète unique et remercié après cet épisode, ton beaucoup plus mélancolique que d'habitude...Un film très inégal, alternant anthologie (un des meilleurs génériques de la série, Diana Rigg, poursuite en bobsleigh, dénouement inattendu) et bide total (bagarres mal filmées, scénario qui patine au début du film, passages dans la clinique suisse...). Inégal donc, à l'image de G. Lazenby, James Bond crédible et pas mauvais en soi mais qui fait tout foirer avec ses tenues vestimentaires douteuses (pull orange, costumes marrons, kilt écossais) et sa façon plouc de manger le caviar. Un film a moitié réussi, mais une curiosité devenue collector avec le temps. Verdict : naturellement incontournable pour tout jamesbondphile !
La saga James Bond livre depuis Goldfinger des aventures correctes mais répétitives. Logiquement, il a été annoncé qu'Au Service Secret de sa Majesté allait briser les codes de la saga. En plus de cela, il marque le premier changement d'acteur pour l'espion : Sean Connery laisse sa place à George Lazenby, qui n'aura pas le temps d'apporter du sang neuf : l'ensemble suit un schéma narratif très classique et se révèle sans surprises, à deux exceptions près. Autant commencer avec le positif. Tout d'abord, la fin est, sans entrer dans les détails, excellente, et vaut bien un demi-point supplémentaire à la note finale. L'autre réussite du film est le personnage de Tracy, interprétée par Diana Rigg. Elle campe la première James Bond Girl réellement intéressante, développée et utile au scénario. Elle arrive même à piquer la vedette à chaque apparition. Toutefois, elle reste en retrait à partir de la deuxième moitié du métrage, ses apparitions se faisant alors sporadiques. L'aspect technique de l'oeuvre est vraiment faible. Le réalisateur était avant monteur et ça se voit. Les scènes d'actions sont composées de beaucoup trop de plans, ce qui rend l'action peu lisible, voire même saccadée. De même, certains choix de mise en scène sont discutables, quand ils ne sont pas tout simplement ridicule (le combat de Tracy contre un sbire en particulier). Enfin, le film est bourré de faux raccords. Habituellement je ne les vois pas mais là cela saute aux yeux, d'autant plus qu'il y en a un gros toutes les cinq minutes. Cela finit par nous sortir du film. Concernant la bande originale, j'espère que vous aimerez le générique puisque c'est cette musique que vous entendrez pour chaque scène d'action, jusqu'à l'épuisement. Franchement, si le budget manquait, il valait mieux réutiliser des anciens morceaux plutôt que de faire ça. En somme, cet opus à peine correct n'apporte quasiment rien de neuf à la saga. Pour l'épisode marquant le renouveau de la série, c'est quand même ballot.
Je n'ai pas du tout aimé la première heure. G. Lazenby grimace à chaque combat, je l'ai trouvé trop arrogant, parfois vulgaire et l'entrée en scène m'a déplu. Mais la deuxième moitié, j'ai commencé à m'habituer à lui dans le rôle titre, malgré des répliques moyennes. La course de ski est une première ici et a pas mal d'audace, même si les effets spéciaux sont passés (L'écran qui projette des images en arrière plan). Le stock-car : Superbe idée ! Ainsi que la grange en guise d'abri, j'ai aimé. Idem pour la fin du film, j'ai été surpris, je ne m'en souvenais plus mais content et mélancolique. Il n'est pas mal une fois qu'on s'est habitué à la nouvelle tête, le temps d'un unique épisode. Au revoir, Georges.
Pour cette 6ème version, les producteurs ont fait appel à une nouvelle équipe. Peter Hunt, ancien monteur des précédents James Bond, prend les commandes de sa première réalisation, Georges Lazenby, 30 ans à l'époque et dont c'est le premier long métrage, remplace Sean Connery, une surprise, second étonnement; l'apparition de Telly Savalas à la place de Donald Pleasence dans le rôle de Blofeld (N° 1 du SPECTRE) et la venue de Diana Rigg, bien connue des téléspectateurs dans la série "Chapeau melon et bottes de cuir". En revanche, on retrouve le trio habituel du service : le patron "M", la secrétaire Moneypenny et l'inévitable "Q", l'homme de farces et attrapes. Le choix de Lazenby peut paraître surprenant; car c'était son premier contrat d'acteur mais Sean Connery avait émis son souhait de quitter la série. Certaines scènes sont déjà vues et revues telle celle du casino et la sempiternelle partie de cartes, le dom Pérignon (du 57 ce coup-ci) et toujours un lot impressionnant de midinettes insipides ("les anges" – voir le film pour comprendre). Mais autant ces séquences étaient supportables dans les opus précédents, autant leur récurrence devient agaçante dans cet épisode. La première moitié est particulièrement monotone à part une ou deux rixes dérisoires. La seconde partie relance un peu l'intérêt et il aurait été préférable d'éviter la scène langoureuse dans le cabanon et de rebeloter sur la séquence de ski. La seule véritable innovation, c'est le mariage de James Bond, d'ailleurs le seul de toute la série. Le scénario est atypique pour un James Bond, l'espionnage est mis de côté et l'action n'est pas souvent au rendez-vous, d'où juste la moyenne et puis Lazenby en James Bond, non franchement ça ne le fait pas.
Sixième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, 007. Pour cette sixième aventure James Bond tombe pour la première fois « amoureux » d’une jeune femme nommé Tracy, et il se trouve qu’elle est la fille d’un des plus puissants parrain de la mafia qui veut que Bond épouse sa fille. Parallèlement 007 est en mission et pourchasse un certain Blofeld qui a décider de propager un virus capable d’anéantir une bonne partie de l’humanité. Bond doit impérativement l’arrêter. Au Service Secret de sa Majesté est un Bond un peu spécial car il marque l’apparition de Georges Lazenby dans la peau de l’agent secret britannique pour la seule et unique fois de la série. Lazenby nous livre un parfait 007 et plus violent que Sean Connery, il réussi à le faire oublier pendant tout le film et dés sa première scène d’action, celle du combat sur la plage où il sauve Tracy et est attaqué par des hommes, un combat violent et intense dans l’eau et le sable, et lance cette réplique face a la caméra pour faire directement allusion à Connery: « Ce ne serait jamais arrivé à l’autre gars ». Et voici le générique qui démarre mais cette fois sans chanson mais avec une superbe musique bondiènne écrite par John Barry et le film commence, l’histoire d’amour entre 007 et Tracy se met en place pendant la première partie du film et les scènes d’action arrivent doucement dans la deuxième partie et s’enchaines dans un rythme effréné, des scènes démentes et spectaculaire. La première course poursuite à ski dans la nuit est géniale sur le thème du film, ensuite celles à voiture et à ski avec Tracy sont spectaculaire et le final explosif dans le repère de Blofeld attaqué par des hélicoptères et Bond qui poursuit Blofeld dans une course poursuite en bobsleigh spectaculaire. Au Service Secret de sa Majesté marque les esprits car le film nous montre pour la première fois un Bond amoureux et engagé dans une relation sérieuse avec la sublime Tracy jouée par Diana Rigg, la Emma Peel/Bottes de Cuirs de Chapeau Melon et Bottes de Cuirs, leur relation dure pendant tout le film et la fin nous montre le mariage de Bond et Tracy et une Moneypenny en larme qui regarde Bond avec un aire « Je vous aime James », ils partent en lune de miel mais Tracy sera tuée d’une balle dans la tête par Blofeld. Le seul Bond de la série qui se termine par une mort violente et tragique où Bond complètement abattu dit: « Elle se repose […] On n’est pas pressé ». Bond est mort pour la première fois, de chagrin. L’homme qui a tué sa bien aimée est Ernst Stavro Blofeld dit le Comte de Bleuchamps, joué par Telly Savalas sans cicatrice cette fois mais toujours avec son chat blanc remplace Donald Pleasence de On ne vit que deux fois, le pire ennemi de Bond. Au Service Secret de sa Majesté marque normalement la première rencontre entre 007 et Blofeld mais c’est raté pour cette fois car ils s’étaient déjà rencontrer dans l’épisode numéro six On ne vit que deux fois avec Sean Connery. Ce sixième James Bond sera considéré comme l’un des moins bon de la série mais moi je trouve que c’est l’un des meilleurs et devant les Bond de Brosnan, le film marque la seule apparition de Lazenby en 007 qui fait de lui aujourd’hui un film culte avec ses scènes d’action spectaculaire, sa fin tragique, sa musique excellente. En réfléchissant le film est une sorte de Casino Royale en moins spectaculaire avec la romance Bond/Tracy et Bond/Vesper, la mort de la femme qui l’aime dans les deux films de façon tragique.
Interprété par George Lazenby, ce James Bond est un peu à part dans la série, beaucoup de fans n'appréciant pas le choix de l'acteur. Il est vrai que succéder à Sean Connery n'était pas évident et il faut avouer que malgré ses efforts, Lazenby n'a pas vraiment de charisme et sa tête ne colle pas avec le rôle. Malgré tout, "Au Service Secret de sa Majesté" est un bon James Bond, même si quelques longueurs se font sentir. Et la fin assez inattendue est marquante.
Après un casino royale totalement raté 007 reprend du service. Bien mieux que le précédent ce 7eme opus souffre tout de même de longueur surtout au début du film. Les scènes d'actions sont bonnes, les acteurs sont bons. Le scénario est très moyen et le méchant n'est pas charismatique du tout donc raté.Ça reste le plus mauvais des James Bond pour l'instant (sans compter casino royal).Les fans de la saga seront déçu en visionnant ce film.
George Lazenby succède au grand Sean Connery dans la peau de 007 avec une aisance impressionnante. La légendaire poursuite à ski a fait de ce film un des films d'action les plus marquant de sa génération
Sixième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond, alias 007. Pour cette sixième aventure James Bond tombe pour la première fois « amoureux » d’une jeune femme nommé Tracy, et il se trouve qu’elle est la fille d’un des plus puissants parrain de la mafia qui veut que Bond épouse sa fille. Parallèlement, 007 est en mission et pourchasse un certain Blofeld qui a décider de propager un virus capable d’anéantir une bonne partie de l’humanité. Bond doit impérativement l’arrêter. Au Service Secret de sa Majesté est un Bond un peu spécial, car il marque l’apparition de Georges Lazenby dans la peau de l’agent secret britannique pour la seule et unique fois de la série. Lazenby nous livre un parfait 007 et plus violent que Sean Connery, il réussi à le faire oublier pendant tout le film et dés sa première scène d’action, celle du combat sur la plage où il sauve Tracy et qui est attaqué par des hommes, un combat violent et intense dans l’eau et le sable, et lance cette réplique face a la caméra pour faire directement allusion à Connery: « Ce ne serait jamais arrivé à l’autre gars ». Et voici le générique qui démarre mais cette fois sans chanson mais avec une superbe musique bondiènne écrite par John Barry et le film commence, l’histoire d’amour entre 007 et Tracy qui se met en place pendant la première partie du film et les scènes d’action arrivent doucement dans la deuxième partie et s’enchaine dans un rythme effréné, des scènes démentes et spectaculaire. La première course poursuite à ski dans la nuit est géniale sur le thème du film, ensuite celles à voiture et à ski avec Tracy sont spectaculaire et le final explosif dans le repère de Blofeld attaqué par des hélicoptères et Bond qui poursuit Blofeld dans une course poursuite en bobsleigh spectaculaire. Au Service Secret de sa Majesté marque les esprits car le film nous montre pour la première fois un Bond amoureux et engagé dans une relation sérieuse avec la sublime Tracy jouée par Diana Rigg, la Emma Peel/Bottes de Cuirs de Chapeau Melon et Bottes de Cuirs, leur relation dure pendant tout le film et la fin nous montre le mariage de Bond et Tracy et une Moneypenny en larme qui regarde Bond avec un aire « Je vous aime James », ils partent en lune de miel mais Tracy sera tuée d’une balle dans la tête par Blofeld. Le seul Bond de la série qui se termine par une mort violente et tragique où Bond complètement abattu dit: « Elle se repose […] On n’est pas pressé ». Bond est mort pour la première fois, de chagrin. L’homme qui a tué sa bien aimée est Ernst Stavro Blofeld dit le Comte de Bleuchamps, joué par Telly Savalas sans cicatrice cette fois mais toujours avec son chat blanc remplace Donald Pleasence de On ne vit que deux fois, le pire ennemi de Bond. Au Service Secret de sa Majesté marque normalement la première rencontre entre 007 et Blofeld mais c’est raté pour cette fois car ils s’étaient déjà rencontrer dans l’épisode numéro six On ne vit que deux fois avec Sean Connery. Ce sixième James Bond sera considéré comme l’un des moins bon de la série mais, moi je trouve que c’est l’un des meilleurs et devant les Bond de Brosnan, le film marque la seule apparition de Lazenby en 007 qui fait de lui aujourd’hui un film culte avec ses scènes d’action spectaculaire, sa fin tragique, sa musique excellente. En réfléchissant le film est une sorte de Casino Royale en moins spectaculaire avec la romance Bond/Tracy et Bond/Vesper, la mort de la femme qui l’aime dans les deux films de façon tragique. Un Bond sous-estimé par de nombreuses personnes qui restera excellent.
Première et dernière mission pour le moins connu des James Bond ainsi que pour son réalisateur, qui semble quant à lui vouloir insuffler un nouveau souffle à l'agent secret, un nouveau départ même. Et cela se ressent dés les premières notes de la bande son.. Peter Hunt balaye ce qui a pu se faire dans les épisodes de Terence Young tout en assumant malgré tout l'héritage, ce qui donne des incohérences dérangeantes au regard des précédents épisodes. Le personnage de Blofel est ainsi aux antipodes du personnage stricte qu'il était et il est difficile de prendre pour acquis que l'agent secret et lui se soient déjà rencontrés, tant il semble que leurs scènes aient été écrites sans égard pour leur passé. Ces partis pris radicaux témoignent aussi d'une certaine volonté du réalisateur quant à vouloir redonner quelques lettres de noblesse à l'aspect espionnage dans la saga tout en retirant un aspect kitch redondant pour un résultat un rien plus convaincant.