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    Au service secret de sa Majesté
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    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    84 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 août 2020
    Sean Connery cède la place a George Lazenby. Si le costume est lourd à porter, le nouveau 007 s'en tire avec les honneurs. C'est même le film de tous les changements : Bond évolue, il veut démissionner et est prêt a se marier avec la belle Tracy (Diana Rigg). Malheureusement le devoir l'appel puisque l'insaisissable Ernst Stavro Blofeld (Telly Savalas) est de retour et compte bien le faire savoir. Un épisode différent des autres de part ses choix scénaristiques et l'évolution (bienvenue) du célèbre espion anglais. Boudé a l'époque, il a enfin la reconnaissance qu'il mérite.
    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    "Au Service Secret de sa Majesté" est le sixième volet de la saga des "James Bond". Un film plutôt correct avec un changement d'acteur dans le rôle de James Bond, les scènes d'action sont pas bien fait, j'ai trouvé un film un peu long et qui manque un peu de dynamisme.
    Ricco92
    Ricco92

    226 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    À la sortie d’On ne vit que deux fois, EON Productions fait face à un problème de taille : Sean Connery a annoncé qu’il ne voulait plus interpréter James Bond ! Ne voulant pas abandonner la poule aux d’or, elle part donc à la recherche d’un nouveau visage pour incarner l’agent secret. Après avoir pensé à Timothy Dalton (qui l’incarnera 18 ans plus tard), elle porte son dévolu sur un inconnu qui n’est même pas acteur mais mannequin : George Lazenby ! Pour son premier film, ce dernier, choisi essentiellement pour son petit air de ressemblance avec Connery, s’en tire finalement plutôt bien même s’il ne possède pas le charisme de son prédécesseur dont on lui a demandé de singer l’interprétation (ce qui l’amènera à être régulièrement considéré comme un sous-Connery, contrairement à un Roger Moore qui apportera sa propre personnalité au rôle).
    Cette fois, le visage le plus connu n’est donc pas le héros mais les seconds rôles que sont Diana Rigg et Telly Savalas. La première était alors auréolée d’une certaine gloire car elle sortait de la célèbre série Chapeau melon et bottes de cuir. Le second, quant à lui, n’était pas encore l’incarnation de Kojak mais était déjà à l’affiche d’un bon nombre de productions comme Les Nerfs à vif (la version de Jack Lee Thompson) ou Les Douze Salopards.
    Pour ce qui est de l’histoire, alors que l’on aurait pu craindre une parodie avec le pré-générique spoiler: (dès les premières secondes, Bond sauve une jeune femme qu’il ne connaît pas et se fait agresser par des méchants sans que l’on sache pourquoi puis termine la séquence par un clin d’œil humoristique au spectateur qui sera le seul rupture de quatrième mur de la saga)
    , on se retrouve au final avec un film beaucoup plus sérieux et réaliste que les précédents (à part peut-être Bons baisers de Russie). Les gadgets disparaissent donc totalement spoiler: (bien que l'on retrouve Q. dans la séquence du mariage)
    . L’intrigue, elle-même, n’échappe pas à ce changement de ton car, même si l’humour est encore très présent lors de son déroulement (avec notamment de nombreuses blagues à caractère sexuelle : on a enfin la réponse sur les rumeurs qui concernent les hommes portant des kilts), elle présente la fin la plus dramatique de la série spoiler: (seul Skyfall présentera le même type de conclusion même si cela ne concernait pas la toute dernière séquence dans le film avec Daniel Craig ). On peut même être surpris de voir que Bond pense à démissionner (il faudra attendre la séquence finale de Spectre pour que cela se reproduise), agit contre les ordres de ses supérieurs (il faudra attendre Permis de tuer pour que cela puisse se reproduire), embrasser enfin Moneypenny sur la bouche (même si c’est un baiser d’adieu dans son esprit) et tombe amoureux de la fille d’un chef du grand banditisme (avec qui il s’associera même pour chercher à capturer Blofeld) au point de se marier (un cas unique dans la série)
    .
    De même, le personnage adopte des tenues très éloignées de celles qu’arborait Sean Connery : chemises à jabot, kilt, tenue de ski…
    Le film cherche donc un renouveau dans la série mais est flou sur son rapport avec les précédents films. spoiler: En effet, le sublime pré-générique (qui est accompagné non pas par une chanson mais par un magnifique thème musical signé, une fois de plus, John Barry qui sera reprise dans plusieurs épisodes suivants) fait apparaître de nombreux extraits des épisodes précédents. De même, lors de la séquence où Bond, ayant donné sa démission, récupère ses affaires, il retrouve des gadgets provenant de ses précédentes aventures, illustrées par les musiques des films correspondants. Il sait également que Blofeld dirige le Spectre : cela signifierait donc que l’on est dans la pure suite des autres films. Mais se présente alors un énorme problème scénaristique : comme Bond et Blofeld se sont rencontré dans On ne vit que deux fois, Bond est totalement suicidaire en se jetant dans la gueule du loup ! Et surtout, comment cela se fait-il que les deux ennemis jurés ne se reconnaissent pas au premier coup d’œil (même si Blofeld s’est fait couper le lobe de l’oreille) ! La fidélité d’adaptation au roman d’origine trouve ainsi une limite de taille (surtout quand l’ordre des films ne respecte pas celui des œuvres signées Ian Fleming et que d’autres volets s’étaient permis de prendre de nombreuses libertés dans l’adaptation). Le film est donc cohérent à l’intérieur de son propre récit mais ne l’est plus intégré à la saga ! Le scénario présente d’ailleurs un détail intéressant en évoquant la généalogie de Bond : on apprend que la devise de la famille est "Le monde ne suffit pas", qui servira de titre à la troisième aventure du héros sous les traits de Pierce Brosnan.

    Pour le reste, le film présente toujours des séquences d’action spectaculaires (on y trouve les premières scènes de ski de la série) et la réalisation de Peter Hunt possède des aspects assez intéressants (la scène du repas est une pure séquence de monteur, métier que Hunt exerçait sur les précédents films). La musique de John Barry, totalement caractéristique de cet univers, quant à elle, est toujours aussi sublime et on peut apprécier la chanson We have all the time in the world chantée par Louis Armstrong.
    Ainsi, même si on peut regretter le départ de Sean Connery spoiler: et le gros problème scénaristique concernant l’absence de reconnaissance physique immédiate du héros et de l’antagoniste
    , Au service secret de sa Majesté fait partie des meilleurs moments de la saga, notamment par une fin qu’il vaut mieux éviter de révéler. Hélas, le moindre succès du film et les relations compliquées entre l’acteur ne croyant pas dans l’avenir du personnage et la production amèneront George Lazenby à ne pas retrouver une seconde fois le héros.
    Florentin Drugmand
    Florentin Drugmand

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2020
    très bon film qui malgré l’absence de Sean Connery, montre un James Bond moins "misogyne". George Lazenby qui prend le rôle de l'agent 007 arrive à bien faire son travail malgré le fait qu'il passe après le grand Sean Connery. L'ambiance enneigée et l'histoire étant hors de l'habitude font presque penser à un James bond spécial Noël.
    soulman
    soulman

    87 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2020
    Même si la fin est assez palpitante, avec des poursuites à ski à couper le souffle, même si la musique est de qualité tout comme le cinémascope, même si Lazenby est plus qu'à son aise dans le rôle de Bond, même si Diana Rigg est la plus divine des James Bond girls et Telly Savalas un superbe méchant, ces aventures de l'agent 007 souffrent de longueurs qui nuisent au rythme du film. Les scènes au centre de recherches auraient gagné à être plus brèves et moins nombreuses, de même que rien ne justifie que le tout dure plus d'1h30...
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2022
    Un épisode 6 atypique mais assez laborieux malgré quelques scènes sympas, avec un Bond plus sentimental, interprété pour un one shot par George Lazenby qui manque de charisme.
    GéDéon
    GéDéon

    86 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 octobre 2022
    Le sixième opus de la saga James Bond permet à George Lazenby de remplacer pour la première fois Sean Connery dans le rôle du célèbre agent secret. On aurait pu être déçu d’un tel changement. Force est de constater que sans être aussi charismatique, le nouvel acteur soutient la comparaison avec l’icône. Quant à Diana Rigg, qui n’est autre que l’ancienne interprète d’Emma Peel dans la série « Chapeau melon et bottes de cuir », elle ajoute bien plus qu’une touche de charme. Si la première partie du film est un peu lente en raison de l’absence d’action, la seconde offre de belles courses-poursuites à ski en haute montagne. Bref, cela reste un bon divertissement avec un final émouvant.
    Tonton Twan
    Tonton Twan

    5 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2020
    "Au service secret de sa Majesté" ou "La journée de la jupe à l'intelligence service".

    A ben, James Bond il sauve le monde comme d'hab... sauf que là il se balade en Suisse l'hiver avec un Kilt... C'est sans doute la preuve que Popeck il en a vendu du caleçon moltonné. Et puis, James bond, il se marie à la fin.. Et comme on dit c'est pour le meilleur comme le pire... sauf qu'il a tout eu en combo, le même jour, le gars...

    C'est le seul James bond avec Georges Lazenby... Qui n'est pas aussi mauvais que ce qu'on a bien voulu en dire... En plus il ressemblait plus au héro du livre que tous les autres... Mais somme toute qui était moins susceptible de déplacer les foules que tous les autres interprètes du rôle.... Mais au moins il se marie son James bond...
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2020
    Bond doit retrouver la trace de Blofeld, faute de résultat, il est déchargé de cette mission. Bond le prenant mal, il fait le choix de démissionner et de retrouver Blofeld par ses propres moyen, ces indices l'envoie en Suisse où il découvre que Blofeld est en train de mettre au point un virus qui décimerait toute vie végétale. Du grand changement dans ce Bond, à commencer par l'acteur. Georges Lazenby succède à Sean Connery. Pour l'époque, on a encore du mal au changement de visage de Bond. Si Lazenby n'a pas le charisme de Connery, il livre une prestation plus douce de Bond, un air plus gentillet. C'est le seul Bond où ce dernier se marie (avec Diana Rigg), lui qui multiplie les conquêtes décide de se ranger, et de ce fait Lazenby gagne en crédibilité. Telly Savalas est imposant dans le rôle de Blofeld, dommage qu'il n'y ait plus sa cicatrice. Les décors en Suisse sont magnifique. Même si Georges Lazenby ne nous fait pas oublier Sean Connery, il demeure un James Bond convaincant avec une grande classe. De plus, il n'y a pas trop de gadget dans ce Bond. Un bon moment jusqu'au dénouement final.
    youtube champions
    youtube champions

    45 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2020
    Au service secret de sa majesté est le 6eme James Bond et le premier et unique James Bond avec George Lazenby en personnage principal. À nouveau, James Bond est à la recherche de Spectre. Il rencontre au passage Tracy, une jolie Corse et son père, qui vont l’aider dans sa mission. Après quelques recherches, ils le trouvent enfin dans les alpes suisses. James Bond y va sous couverture mais tout ne va pas se passer comme prévu ! Le film se divise en 2 parties, la première d’1h30 où il recherche Blofeld (où le scénario est mis en place) et la 2ème qui est un concentré d’action. Le plus gros défaut est que la première partie est trop longue et l’absence des scènes d’action la rend a quelques moment ennuyeuse. Certaines scènes sont parfois parfaitement inutiles et ne font qu’allonger le film. Il est heureusement comblé avec une belle histoire d’amour. La 2ème partie quant à elle, se défoule sur les poursuites, allant du ski au bobsleigh, en passant par des voitures. Un autre problème du film est qu’il alterne entre un film très léger (l’histoire d’amour ou les scènes dans le chalet) et un film très dur (James Bond tue à tour de bras et la fin est déchirante). Ce contraste nuit au film qui a du mal à savoir où se mettre. Ce qu’ arrive par contre le film, c’est de nous investir émotionnellement avec les deux amoureux. Les scènes d’action sont elles très bien réussis. Du côté des acteurs, le charme de Sean Connery n’est plus là mais Lazenby assure quand même la dure tâche de prendre la relève avec un James Bond moins sérieux mais plus violent. Tracy est quand à elle très bien joué par Diana Rigg. Blofeld est lui aussi bien, même si il est tourné au ridicule avec sa « mort ». La musique est, elle, sublime avec un air qu’on retient longtemps après le film et une musique thème mélancolique faites par Louis Armstrong. Ce James Bond est très différent des autres, surtout des Sean Connery, ce qui nous amène une bouffée de fraîcheur. La technique pour filmer renvoie à des techniques très récente. On a l’impression de voir un film des années 2000.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    115 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2019
    Assurément le James Bond le plus atypique: un acteur unique (George Lazenby), un épisode très porté sur les aventures sexuelles de James Bond, un mariage... Mais c'est aussi un 007 avec des scènes qui frisent le ridicule et qui extrêmement mal vieilli. Reste par contre la présence de Telly Savalas, très bon Blofeld.
    JPGcine
    JPGcine

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2019
    Qu'est ce que c'est ringard en 2019 ce film... Les scènes de nuit tournées en plein jour, des faux raccords permanents, des accélérés comiques lors des cascades, un Bond qui emballe comme il respire...un Lazenby qui a le charisme d'une moule encore fermée. et pourtant dans tout ça, Diana Rigg qui est la plus charmante des James Bond girl de tous les temps... Mais bon globalement soporifique et ridicule...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2019
    L'épisode détonateur de la saga d'employé secret britannique au service de sa Majesté, la Reine Elisabeth II en 1969. Madame la régente confie une mission top secrète à ce nouveau postulant après que Sean Connery laissa le poste vacant, l'unique prestation de George Lazenby. Un acteur au ton neutre qui sait donner de bonnes roustes, très et trop fort en tant qu'agent, viril macho comme à son habitude, la décennie 60 se termine. Il reprend l'héritage laissé par son prédécesseur, la mise en scène et le style est une continuité, l'intrigue se déroule en Suisse, pays de neige montagne pour faire du ski de vacances et opérer des missions souterraines. Il se trame quelque chose avec les méchants comploteurs contre la souveraine et le monde, sur un terrain impartialement neutralisé. D'un scénario classique intéressant passera au drame, James Bond commence à boire beaucoup, fumer et les femmes, sa douleur, une chute finale terriblement marquante, la tragédie anglaise just married. Mes tops acteurs dans ce rôle changeable, bon vieux Timothy Dalton, Pierce Brosnan, Sean Connery avait le costume taillé.
    Saintenoy Samuel
    Saintenoy Samuel

    4 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 août 2023
    Un James Bond de transition, un peu à part pour la franchise, boudé à sa sortie mais redécouvert depuis et considéré par une majorité de fans comme l'un des meilleurs de la saga des Bond. Et, bien qu'il ne fasse pas (personnellement) partie de mes Bond préférés, je ne peux qu'être d'accord avec eux. Il s'agit d'un épisode différent des autres, dotés de qualités exceptionnelles. Peter Hunt (monteur des cinq films précédents) se charge cette fois de la mise en scène, et son orientation diffère vers un ton plus réaliste, moins extravagant, plus romantique, plus proche des romans de Ian Flemming. Georges Lazemby est plutôt convaincant dans le rôle du célèbre agent britannique mais n'a pas le talent et le charisme de l'inégalable Sean Connery, parti après le dernier opus "On ne vit que deux fois". Diana Rigg est incontestablement l'une des meilleures James Bond girl, la photographie est élégante, les paysages enneigés dépaysants et pittoresques, les scènes d'actions spectaculaires (la poursuite à ski est un modèle du genre, et celle en bobsleigh peu après l'es tout autant). Teddy Savalas campe un Blofed convaincant et certaines séquences sont surprenantes (Bond qui fait sa demande en mariage, sa demande de démission..). Le final est le plus marquant de toute la série. Un 6ème opus vraiment à redécouvrir !
    jghiugyd
    jghiugyd

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mai 2019
    De jolies personnages féminins mais certainement pas le meilleur des james Bond, agent au service de la couronne Britannique.
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