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    Au service secret de sa Majesté
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    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2013
    L'un des James Bond les plus méconnus car fortement déprécié en son temps mais qui se révèle être un des plus atypique. C'est avant tout grâce à la hype de C. Nolan que le film a pu être ré-évalué. En effet, le réal anglais est fan de ce film qui est son Bond préféré et comme Nolan est devenu une religion, ses fidèles suivent (même au niveau de la critique). Et je dois dire que ce film n'est pas mauvais du tout. Confié à James Hunt qui signe une mise en scène un poil plus nerveuse (grâce aux nombreux plans accélérés) et au découpage plus serré, le film se rapproche plus d'un thriller classieux que des précédents épisodes de la saga. Moins grandiloquent, moins codifié avec une intrigue un poil nébuleuse, des rebondissements permanents, une atmosphère plus sombre, plus sexy bref, on comprend pourquoi Nolan l'adore. G. Lazenby avait fait des pieds et des mains pour endosser le costume de 007 (le rôle avait été proposé à C. Eastwood notamment qui préféra décliner car, selon lui, c'est un anglais qui devait jouer Bond) et il s'en tire pas trop mal. Les séquences d'action sont correctes avec une poursuite à ski assez bluffante, T. Savalas dépote, D. Rigg irradie l'écran bref, c'est assez réussi dans son genre. Pas le meilleur ni mon préféré mais un bon cru. D'autres films chroniqués sur
    Objectivons
    Objectivons

    322 abonnés 2 947 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2013
    Des 7 premiers James Bond, celui-ci s'avère mon préféré. Et ce n'était pas bien parti : je pensais que Sean Connery en continuerait encore quelques-uns, et voilà qu'un nouvel acteur joue 007, un certain George Lazenby. Ça change, surtout lorsqu'on ne s'y attend pas. J'avais fini par m'habituer à Sean Connery, loin d'être mauvais... Mais George Lazenby m'a semblé faire tout à fait l'affaire, au final. Et l'intrigue bien qu'un peu brouillonne voire ennuyeuse pendant un quart du film, s'est révélée être celle qui m'a le plus accroché. spoiler: Le fait que Bond trouve l'amour, et se marie, n'y est pas pour rien

    Au service secret de Sa Majesté n'a visiblement pas eu le succès qu'il fallait - bien que selon moi il le méritait amplement - sinon, l'acteur aurait poursuivi le rôle au-delà d'un seul film.
    Regrettable, mais je ne laisserait pas ça entacher le plaisir que j'ai eu à le regarder.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2020
    À la sortie d’On ne vit que deux fois, EON Productions fait face à un problème de taille : Sean Connery a annoncé qu’il ne voulait plus interpréter James Bond ! Ne voulant pas abandonner la poule aux d’or, elle part donc à la recherche d’un nouveau visage pour incarner l’agent secret. Après avoir pensé à Timothy Dalton (qui l’incarnera 18 ans plus tard), elle porte son dévolu sur un inconnu qui n’est même pas acteur mais mannequin : George Lazenby ! Pour son premier film, ce dernier, choisi essentiellement pour son petit air de ressemblance avec Connery, s’en tire finalement plutôt bien même s’il ne possède pas le charisme de son prédécesseur dont on lui a demandé de singer l’interprétation (ce qui l’amènera à être régulièrement considéré comme un sous-Connery, contrairement à un Roger Moore qui apportera sa propre personnalité au rôle).
    Cette fois, le visage le plus connu n’est donc pas le héros mais les seconds rôles que sont Diana Rigg et Telly Savalas. La première était alors auréolée d’une certaine gloire car elle sortait de la célèbre série Chapeau melon et bottes de cuir. Le second, quant à lui, n’était pas encore l’incarnation de Kojak mais était déjà à l’affiche d’un bon nombre de productions comme Les Nerfs à vif (la version de Jack Lee Thompson) ou Les Douze Salopards.
    Pour ce qui est de l’histoire, alors que l’on aurait pu craindre une parodie avec le pré-générique spoiler: (dès les premières secondes, Bond sauve une jeune femme qu’il ne connaît pas et se fait agresser par des méchants sans que l’on sache pourquoi puis termine la séquence par un clin d’œil humoristique au spectateur qui sera le seul rupture de quatrième mur de la saga)
    , on se retrouve au final avec un film beaucoup plus sérieux et réaliste que les précédents (à part peut-être Bons baisers de Russie). Les gadgets disparaissent donc totalement spoiler: (bien que l'on retrouve Q. dans la séquence du mariage)
    . L’intrigue, elle-même, n’échappe pas à ce changement de ton car, même si l’humour est encore très présent lors de son déroulement (avec notamment de nombreuses blagues à caractère sexuelle : on a enfin la réponse sur les rumeurs qui concernent les hommes portant des kilts), elle présente la fin la plus dramatique de la série spoiler: (seul Skyfall présentera le même type de conclusion même si cela ne concernait pas la toute dernière séquence dans le film avec Daniel Craig ). On peut même être surpris de voir que Bond pense à démissionner (il faudra attendre la séquence finale de Spectre pour que cela se reproduise), agit contre les ordres de ses supérieurs (il faudra attendre Permis de tuer pour que cela puisse se reproduire), embrasser enfin Moneypenny sur la bouche (même si c’est un baiser d’adieu dans son esprit) et tombe amoureux de la fille d’un chef du grand banditisme (avec qui il s’associera même pour chercher à capturer Blofeld) au point de se marier (un cas unique dans la série)
    .
    De même, le personnage adopte des tenues très éloignées de celles qu’arborait Sean Connery : chemises à jabot, kilt, tenue de ski…
    Le film cherche donc un renouveau dans la série mais est flou sur son rapport avec les précédents films. spoiler: En effet, le sublime pré-générique (qui est accompagné non pas par une chanson mais par un magnifique thème musical signé, une fois de plus, John Barry qui sera reprise dans plusieurs épisodes suivants) fait apparaître de nombreux extraits des épisodes précédents. De même, lors de la séquence où Bond, ayant donné sa démission, récupère ses affaires, il retrouve des gadgets provenant de ses précédentes aventures, illustrées par les musiques des films correspondants. Il sait également que Blofeld dirige le Spectre : cela signifierait donc que l’on est dans la pure suite des autres films. Mais se présente alors un énorme problème scénaristique : comme Bond et Blofeld se sont rencontré dans On ne vit que deux fois, Bond est totalement suicidaire en se jetant dans la gueule du loup ! Et surtout, comment cela se fait-il que les deux ennemis jurés ne se reconnaissent pas au premier coup d’œil (même si Blofeld s’est fait couper le lobe de l’oreille) ! La fidélité d’adaptation au roman d’origine trouve ainsi une limite de taille (surtout quand l’ordre des films ne respecte pas celui des œuvres signées Ian Fleming et que d’autres volets s’étaient permis de prendre de nombreuses libertés dans l’adaptation). Le film est donc cohérent à l’intérieur de son propre récit mais ne l’est plus intégré à la saga ! Le scénario présente d’ailleurs un détail intéressant en évoquant la généalogie de Bond : on apprend que la devise de la famille est "Le monde ne suffit pas", qui servira de titre à la troisième aventure du héros sous les traits de Pierce Brosnan.

    Pour le reste, le film présente toujours des séquences d’action spectaculaires (on y trouve les premières scènes de ski de la série) et la réalisation de Peter Hunt possède des aspects assez intéressants (la scène du repas est une pure séquence de monteur, métier que Hunt exerçait sur les précédents films). La musique de John Barry, totalement caractéristique de cet univers, quant à elle, est toujours aussi sublime et on peut apprécier la chanson We have all the time in the world chantée par Louis Armstrong.
    Ainsi, même si on peut regretter le départ de Sean Connery spoiler: et le gros problème scénaristique concernant l’absence de reconnaissance physique immédiate du héros et de l’antagoniste
    , Au service secret de sa Majesté fait partie des meilleurs moments de la saga, notamment par une fin qu’il vaut mieux éviter de révéler. Hélas, le moindre succès du film et les relations compliquées entre l’acteur ne croyant pas dans l’avenir du personnage et la production amèneront George Lazenby à ne pas retrouver une seconde fois le héros.
    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    J'ai vu un film... et étonnamment, j'ai été bien plus satisfait par la profondeur donnée au personnage que la superficialité, -mais le charme félin de Sean Connery-... Ce film a mis l'accent sur l'homme James Bond et j'ai trouvé qu'on lui a donné une bonne profondeur... Certaines scènes sont incroyables, notamment lorsqu'il es traqué par les sbires du Spectre dans le village Suisse. Peter Hunt donne une dimension romantique et tendre au personnage, qui garde toutefois les attribut d'un grand James, tel l'oiseau de proie dans son nid d'aigles :)...Le film regorge d'humour, de scènes d'actions intenses, d'un méchant top niveau en la personne de Telly Savallas et de son bras droit -moche et méchante 1-.. Et Diana Riggs apporte un grande émotion à la traditionnelle "James Bond Girl", en la faisant sortir de son carcan "sois belle et tais-toi"... Et mine de rien, on comprend l'inclinaison de James Bond à se dire que pourquoi ne pas se retirer des voitures et de faire "3 garçons et 3 filles, dans un 1er temps...", La BO est également une réussite. Un excellent James Bond...
    Rotten Tomatoes
    Rotten Tomatoes

    104 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2014
    J'entends les arguments contre George Lazenbi même si je ne suis pas trop d'accord avec ceux-ci. Cet acteur, ayant réalisé son seul James Bond (et ayant tué plus de monde que dans tous les précédents) a une classe et une présence indéniable. Le changement peut certes être dur mais il ne s'agit clairement pas pour moi du pire James Bond. 3,5/5
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    118 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2019
    Assurément le James Bond le plus atypique: un acteur unique (George Lazenby), un épisode très porté sur les aventures sexuelles de James Bond, un mariage... Mais c'est aussi un 007 avec des scènes qui frisent le ridicule et qui extrêmement mal vieilli. Reste par contre la présence de Telly Savalas, très bon Blofeld.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Au Service Secret De Sa Majesté »
    Sean Connery ne veut plus être James Bond dans ce 6ème épisode, réalisé par Peter Hunt.
    Il laisse sa place à un obscur inconnu George Lazenby.
    Obscur pour moi.
    Ne perdons pas de temps : je dois reconnaître que George Lazenby s’en est bien sorti ; il a su ne pas singer ou faire du Sean Connery. Il a imposé sa personnalité.
    George Lazenby est le premier James Bond à assurer la relève.

    Voilà un autre James Bond encore jamais vu (4 sur 6 ) !

    Après « Opération Tonnerre », j’avais remarqué que James Bond ne la ramenait pas devant les décisions de M ; là, sous les traits de George Lazenby, ce nouveau James Bond conteste.
    spoiler: Il prendra un chemin de traverse pour aller au bout de sa mission en s’associant avec Marc-Ange Draco (Gabriele Ferzetti ), un mafieux.


    Le générique fait défiler quelques brefs portraits de personnages qui ont marqué les cinq premiers épisodes, à commencer par celui de Sean Connery, puis on voit Dr No, Pussy Galore, Goldfinger par exemple tout en continuant de nous gratifier de formes féminines ombrées où l’on devine toujours avec gourmandise des poitrines dénudées.
    Un générique hommage à l'ère Sean Connery, en soi.

    Après les extravagances de « On ne vit que deux fois », on retrouve un récit plus classique, plus terre à terre spoiler: et sans gadget SVP !

    Ainsi, on découvre un nouveau James Bond relativement sobre pour affronter LE SPECTRE.

    Cette fois Blofeld apparaît sous les traits de Telly Savalas, le Kojak de mon adolescence ; sa menace relève de l’extravagance, par contre : spoiler: stériliser toutes vies végétales !

    Voire plus si ses requêtes ne sont pas prises en compte !
    Telly Savalas campe un Blofeld mobile, il n’est pas vissé à son fauteuil, pas replié sur lui-même comme dans l’épisode précédent. C’est un sportif aguerri puisqu’il assure en ski et en bobsleigh. Le spectateur peut profiter de ce mégalomane qui bénéficie de plusieurs séquences.
    Perché dans son antre au sommet d’une montagne alpine, spoiler: Blofeld, sous couvert de guérir des allergies, forme des jeunes femmes appelées « les Anges de la Mort », pour accomplir son méfait diabolique.

    Bref, un Blofeld qui se bouge en participant activement à contrer la mission de James Bond.

    On a droit à quelques poursuites de bonne facture, j’ai retenu celle avec Tracy au volant de sa voiture avec une scène de stock-car sur glace bien menée.
    Après l’attaque finale qui n’avait rien d’exceptionnelle, spoiler: s’ensuit une poursuite en bobsleigh assez prenante.


    Après « Goldfinger », j’avais réalisé qu’il ne fallait pas trop se poser de questions, ici avec « Au Service Secret de Sa Majesté », je réalise qu’il faut appréhender James Bond comme une BD.
    La scène d’introduction sur la plage où James Bond se bat contre des truands relève de la BD : suite aux coups de poings, les corps semblent s’élever du sol avec exagération et le son desdits coups de poing est tellement appuyé que ça en devient risible.
    On imagine sans peine des « Pif ! » « Paf ! » « Bing ! ».
    Du reste, l’issue finale de la poursuite en bobsleigh (je n’en dirai pas plus) me renvoie à un dessin animé ou un film loufoque.

    C’est pourquoi, je suis assez mitigé sur ce 6ème volet ; j’ai eu du mal à le prendre au sérieux, j’avais l’impression que c’était fait exprès. Même si Blofeld est bien présent, sa présence ne dégage aucune anxiété.
    C’est assez sage.
    spoiler: Pourtant la conclusion du récit renvoie au drame.

    « Au Service Secret de Sa Majesté » est un film bâtard, en ce qui me concerne.

    La James Bond Girl ?
    Diana Rigg sans contestation aucune dans le rôle de la comtesse Teresa, dit Tracy.
    Diana Rigg, autre souvenir de mon adolescence : «Chapeau melon et bottes de cuir » ! Emma Peel ! Inoubliable.
    spoiler: Non seulement Diana Rigg a eu l’honneur d’être une James Bond Girl, mais elle fut la première James Bond Girl mariée à l’agent 007.

    Plus exactement, Tracy.
    Ce n’est pas rien !
    Quel privilège !

    Avec le recul, c’est à se demander si le personnage Tracy peut être considéré comme une James Bond Girl ?
    spoiler: Justement, à propos de ce mariage, je me demande si cela aurait marché avec l’acteur Sean Connery dans l’esprit des fans ?

    Ça me semble plus plausible avec un nouveau visage, profiter de George Lazenby pour franchir le pas.
    Cette remarque n’engage que moi.

    J'en reste à "Bons Baisers de Russie"...

    A voir en V.O, si possible pour Diana Rigg.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2020
    Même si la fin est assez palpitante, avec des poursuites à ski à couper le souffle, même si la musique est de qualité tout comme le cinémascope, même si Lazenby est plus qu'à son aise dans le rôle de Bond, même si Diana Rigg est la plus divine des James Bond girls et Telly Savalas un superbe méchant, ces aventures de l'agent 007 souffrent de longueurs qui nuisent au rythme du film. Les scènes au centre de recherches auraient gagné à être plus brèves et moins nombreuses, de même que rien ne justifie que le tout dure plus d'1h30...
    Kalie
    Kalie

    62 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2016
    Ce James Bond est assez déroutant. Pour sa seule apparition dans le rôle de l’agent 007, le sentimental George Lazenby est plus proche de Roger Moore que de Sean Connery. Les clins d’œil aux précédents films sont plaisants, comme la réplique « Ça ne serait jamais arrivé à l'autre » en référence à Sean Connery, ou la ceinture et le couteau d’Ursula Andress dans les souvenirs de notre agent secret. Il est regrettable que l’histoire soit si longue à se mettre en place. Le film fait du surplace avec les tergiversations entre George Lazenby et l’inoubliable Diana Rigg de « Chapeau melon et bottes de cuir ». A ce moment là, le film s’avère un peu difficile à suivre et bavard. Heureusement, il décolle véritablement en Suisse spoiler: (courses-poursuites en skis, en bobsleighs, au milieu d’une course de voitures sur glace, etc.).
    A défaut d’exotisme, la photographie rétro du film met en valeur la Suisse et ses paysages enneigés. C’est un plaisir de retrouver Telly Savalas (« Kojac ») en méchant mégalomane. Son acolyte avec un accent germanique caricatural est aussi pas mal dans le genre. Il s’agit du seul film dans lequel James Bond est marié (pas longtemps !), et la première fois que l’on assiste à une fin aussi brutale et tragique. Malgré ses défauts, il s’agit de l’un de mes vieux James Bond préférés.
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2021
    James Bond (George Lazenby) a retrouvé la trace de Blofeld en Suisse où celui-ci travaille sur un virus visant à détruire toute forme de vie sur terre.
    L’histoire ne manque pas d’intérêt mais l’intrigue met du temps à décoller notamment toute la première partie où Bond se fait passer pour un spécialiste de la généalogie et fait la rencontre de plusieurs femmes venues se soigner dans l’institut de Blofeld. Plusieurs scènes sont un peu inutiles et nuisent au rythme général.
    spoiler: A partir du moment où l'identité de Bond est découverte
    , le film décolle et on retrouve plusieurs scènes d’action assez spectaculaires, notamment la poursuite à ski, surtout quand on connaît les moyens limités de l’époque en termes d’effets spéciaux.
    Le personnage principal féminin spoiler: dont Bond tombe amoureux (!)
    , Tracy (Diana Rigg), est sympathique et attachant.
    A noter : l’absence de gadgets, il y a également beaucoup moins d’humour.
    J’ai malgré tout globalement bien aimé ce film qui présente des touches d'originalité par rapport aux autres.
    Simplement Loïc
    Simplement Loïc

    16 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2024
    Nouveau James Bond pour un seul film et un James Bond efficace. L'intrigue réussi à nous hypnotiser grâce a son récit passionnant. Même si comme ses prédécesseurs il n'est pas exempt de défaut du à certaine facilité scénaristique, Au service secret de sa Majesté reste néanmoins efficace dans ses scènes d'action enneigés et sa mise en scène qui offre des plans particulièrement beaux.
    George Lazenby qui succède a Connery fait le boulot. Un film qui revient un peu aux sources.
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2023
    Un bon James Bond au scénario intéressant et qui demeure bien différent des autres notamment par la tristesse du dénouement. George Lazenby n'a certes pas la classe de Sean Connery mais compose un James Bond surprenant. La scène de l'avalanche est impressionnante.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    Suite au départ retentissant de Sean Connery de la franchise, les producteurs furent le choix très contesté de le remplacer par un illustre inconnu, un mannequin australien du nom de George Lazenby. Malheureusement, l’aura de James Bond était devenue, aux yeux du grand public au moins, indissociable de celle de Sean Connery et le scénario a dû multiplier les clins d’œil aux précédents épisodes et en engageant Diana Rigg, célèbre pour son rôle dans Chapeau melons et bottes de cuir, pour faciliter ce changement d’acteur. Mais il n’y a pas que l’interprète qui soit renouveler dans ce sixième film, puisque le caractère libidineux de 007 est cette fois davantage prétexte à des scènes amusante qu’à une imagerie sensuelle et que l’intrigue se scinde entre une partie entièrement axée sur sa relation, pour une fois plus passionnelle que charnelle, avec une James Bond Girl dépressive et une autre partie narrant son sempiternel affrontement contre Blofeld, ici incarné par un Terry Savalas impressionnant, offrant l’une des scènes d’actions les plus mémorables de la saga, celle de la course-poursuite en skis. Ces deux trames allant se mêler dans la dernière demi-heure, celle-ci est source d’un suspense haletant et une conclusion d’une charge dramatique surprenante. Cette agréable tentative d’approfondir la psychologie de l’agent secret au détriment du schéma scénaristique classique engendra un film dans l’ensemble très mal rythmé, commercialement trop mal reçu pour que soit renouvelé le contrat de Lazenby qui, de toute façon, n'avait pas la prestance adéquate pour ce rôle.
    dougray
    dougray

    243 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 février 2008
    Une petite déception ! Ce James Bond "maudit" accumule les erreurs avec des effets de mise en scène ratés (les accélérations soudaine de l'image notamment !), un Blofeld (incarné pourtant par l'excellent Telly Savalas) beaucoup trop actif et donc beaucoup moins impressionnant, une absence quasi-totale de gadgets, un scénario un peu brouillon mais surtout une énorme erreur de casting ! L'inconnu George Lazenby, qui remplace l'irremplaçable Sean Connery, ressemble plus à un grand dadais mal à l'aise dans ses costumes (assez ridicules en plus comme le kilt) qu'au flegmatique 007. Il faut le voir draguer comme un gros lourd ou lire Playboy puis subitement tomber amoureux ! Sans classe, sans charme et surtout sans charisme, il ne parvient pas à faire oublier le légendaire Sean. Malgré tout, ce 6e Bond recèle bien des qualités et innove sur plusieurs points : on assiste à la 1ere poursuite à ski de la série (les décors sont d'ailleurs magnifiques), la James Bond girl (Diana Rigg, très bien) restera dans l'histoire comme la femme de James Bond, la fin est étonnement tragique... Mais, en plus d'une excellente BO, c'est davantage les petits clins d'oeil qui sont appréciables avec la scène où 007 vide son bureau (et tombe sur des objets de ses missions précédentes), la révélation de la devise de la famille Bond (Le Monde ne suffit pas...) et l'amusante réplique que Lazenby balance en voyant Tracy le fuir ("Ca, ce n'est jamais arrivé à l‘autre") permettant de faire le lien avec Sean Connery de façon originale. Reste que ce film, à vouloir à tout prix éviter le spectaculaire au profit du réalisme et des personnages, ne ressemble pas assez à un James Bond.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    94 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2012
    Première et unique apparition de l’acteur George Lazenby dans le rôle de l’agent secret britannique, les spectateurs, n’ayant pas appréciés le départ de Sean Connery, avaient décidés de bouder cette nouvelle mission lors de sa sortie en salle. Jugé comme étant le plus mûr de la saga par un grand nombre, "Au service secret de sa Majesté" est surtout le plus niais. James Bond est amoureux ! Et toute la première partie nous le fit lourdement comprendre, les balades à cheval dans les vergers fleuris, les « gouzigouzi » (à scène cucu, expression cucu), on s’ennuie ferme et le mythe autour du personnage en prend un coup. Les scènes de corps à corps sont décevantes, le montage saccadé les tendant vieillottes par rapport aux précédents opus. Fort heureusement tout n’est pas à jeter et l’intrigue se met rapidement en place dans une seconde partie où on retrouve enfin notre héros. Et cette fois-ci 007 est en confrontation directe avec le n°1 du Spectre, le machiavélique Bloefeld, alors que ce dernier met au point un virus mortel dans le but d’éradiquer toute vie végétale. Le cadre montagnard est sympathique et voir James Bond réellement en difficulté face à son ennemi juré est plaisant. Il est difficile de rentrer dans cette histoire mais au final mais c’est un divertissement qui reste correct.
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