Peut-etre le film respecte t'il bien le livre. Neanmoins, pour ceux qui comme moi ne l'on pas lu, le film va à l'encontre de l'ambiance Bond. En effet, il se marie ( 007 étant plus connu pour ses aventures que pour ses émotions ) et il manque beaucoup de dynamisme. Très sincèrement on s'ennuie dans cet opus de 2h15 bien trop long a mon gout... A voir, pas à revoir
Dans ce 6ème volet de la saga, James Bond se lance à la poursuite d'un criminel qui menace de lancer une guerre bactériologique dans le monde. Et si la première heure du long-métrage s'avère un peu trop tranquille, fort heureusement et à partir du moment où l'action se déroule en Suisse l'intrigue s'avère bien plus passionnante. La réalisation de Peter R. Hunt est en règle générale assez aboutie et on notera d'ailleurs quelques scènes d'actions vraiment appréciable - comme par exemple la scène de course-poursuite en bobsleigh ou encore la séquence assez impressionnante de l'avalanche. Côté casting, si j'ai trouvé convaincante la sublime Diana Rigg, par contre je trouve que George Lazenby ne possède pas suffisamment de charisme pour interpréter l'agent 007. Quant à Telly Savalas, il n'est pas suffisamment méchant dans le rôle de Blofeld. A noter aussi une belle partition musicale de John Barry et une photographie séduisante.
Après un générique très moche.. on assiste à un mélo amoureux assez mauvais qui traine en longueur. La deuxième partie du film est plus intéressante avec les scènes de ski.. mais ce James Bond (mal joué par Lazenby) n'est pas meilleur que ces prédécesseurs et s'éloigne trop de l'essence de la série...
Défection de Sean Connery en 1967 (avant son retour en 1971) , Broccoli et Saltzman sont à la recherche d'un nouvel acteur...Georges Lazenby devient le successeur (temporaire) c'est un acteur de publicité qui est choisi sera t'il à la hauteur ? .
James Bond est toujours à la recherche de Blofeld , il tombe sur une magnifique Comtesse et tombe amoureux tout en traquant le chef du Spectre en Suisse .
JE SUIS SUPERSTITIEUX - BOND
Un Bond spécial , Bond amoureux de Tracy Di Vicenzo sublime Diana Rigg , le film se divise en deux parties la partie romance première partie et la partie espionnage en Suisse .
spoiler: Un lot de cascade impressionnante à ski puis en voiture avec un assaut final donnant toute satisfaction , musique de James Bond à l'appui . Les exterieurs les décors sont majestueux le Piz Gloria en Suisse notamment , Portugal .
spoiler: Des alliés importants Gabrielle Ferzetti alias Marc Ange Draco leader d'un mouvement Corse dans les pas de Kerim Bey . Il y a toujours M Bernard Lee Q et miss Moneypenny .
spoiler: Tracy Di Vicenzo-Diana Rigg incarne l'une des James Bond Girls les plus intéressantes , personnage torturée (pré-générique) à la fois rebelle et romantique . Beaucoup de James Bond Girls autour de James Bond en Suisse .
spoiler: Le méchant BLOFELD incarné par Telly Savalas est un Blofeld froid et machiavelique et ...sportif skieur avec ses hommes si il le faut , sa seconde est Irma Bunt Ilse Steppat sorte de Rosa Klebb sous des apparences courtoises , l'homme de main est Grunther colosse joué par Yuri Borienko .
La Suisse est magnifié avec le Piz Gloria sorte de base dans la neige .
Moispoiler: ns de gadget cette-fois mais des références des anciens films lors d'un scène .
La musique est aussi bonne , le theme original sans parole et la musique de Louis Armstrong .
DEMISSION MAIS DE QUOI ? - MONEYPENNY DES SERVICES SECRETS DE SA MAJESTE - 007
spoiler: Hélas ce sera l'unique film de Georges Lazenby , mal conseillé par ses agents et ses amis il démissionne du rôle à peine le film en boîte...pourtant ce Bond a beaucoup de qualité , écriture des personnages cascade , musique reprise dans MOURIR PEUT ATTENDRE mais très maladroitement d'ailleurs , le tournage fut assez difficile tension entre les producteurs et l'acteur...un James Bond sentimental et plus réaliste mais ne tombant pas dans les excès de niaiserie (comme MOURIR PEUT ATTENDRE) , Diana Rigg joue excellement bien , Lazenby se défend très bien un Bond plus dur il faudra attendre Timothy Dalton puis Craig beaucoup plus tard pour revoir ce genre de Bond .
un bon film avec déjà tout les éléments présent qui ont fait le succès de la série, les filles, des méchants vraiment méchants, des armes et du martini !
Un excellent James Bond. Malheureusement, George Lazenby joua qu'une seule fois l'agent secret. Une bonne adaptation du roman d' Ian Fleming. Diana Rigg interprète la séduisante james bond girl. Telly Savalas tient le rôle du vilain Ernst Stavro Blofled .
ASSDSM est un pur navet dans l'histoire du cinéma et plus particulièrement dans la série des James Bond. Il réussit à détruire tout ce qu'avait pu Sean Connery construire avec James Bond et ses 4 films. On retrouve ici un James Bond qui ne sait même pas se tenir sur ses pieds; il est laid, il joue comme une poire. La scène du début n'a ni tête ni queue; on rit même tellement elle est ridicule. Le générique est plutôt bien réussi. Ensuite, on a droit a un film complètement burlesque qui n'a ni tête ni queue avec encore une fois George Lazenby qui n'a rien à faire dans ce film. On comprend pas grand chose. Soudain, à son hôtel, il entre dans la voiture des méchants, mais finalement ils sont des alliés. On ne comprend rien, ça n'a ni tête ni queue. Lazenby est un objet de décor, mais il fallait qu'il décore un autre film que James Bond. Bref, après il part en Suisse. Encore plus pire : le voilà avec un kilt écossais en train de gambader en Suisse!!! D'abord, on voit pas ce qu'il fait avec un kilt en Suisse; ensuite il est tellement ridicule et nous pousse à rire deux-trois bonnes minutes mais ensuite, c'est l'agacement qui a lieu. La James Bond girl n'améliore pas les choses, elle est laide et se laisse faire; fragile comme un morceau de papier qui va s'envoler. La scène finale est complètement burlesque; Bond est sur une luge à la poursuite de son ennemi. Whaouh!!! En plus, pour rendre encore plus heureux le spectateur, il se trouve que ASSDSM est le plus long épisode de la série avec 2 heures 22 (enfin le 3ème avant Casino Royale et Skyfall). En plus de tout cela, Lazenby a gagné un golden globe de la révélation masculine de l'année. Oui, c'est vrai qu'il a été révélé Lazenby, en tant que plus mauvais acteur!!!! Sautez-le; passez direct aux Diamants sont éternels car ASSDSM est...NUL!
Sean Connery ayant abandonné le rôle après la sortie de "On ne vit que deux fois", c'est Georges Lazemby qui le remplace pour son unique film dans la peau de l'agent secret 007. Peter Hunt, monteur sur les films précédents prend les commandes à la réalisation et essaye d'introduire par la même occasion à son Bond, une image plus réaliste et plus touchante du héros. Exit les le gigantisme et les gadgets de plus en plus présent depuis "Goldfinger", "Au service secret de sa majesté" propose quelque chose de plus profond. Cela ne me dérange pas du tout, bien au contraire, mais le problème vient d'abord de Georges Lazemby, bien que n'étant pas foncièrement mauvais, j'ai eu l'impression qu'il essayait de faire un nouveau Sean Connery (sauf qu'il est loin d'atteindre le charisme de ce dernier), au lieu de créer sa propre interprétation de Bond. La première heure ne m'a pas particulièrement passionné, je l'ai même trouvé un peu ennuyante, j'ai eu du mal à me croire devant un James Bond, je me serait cru plus dans un film romantique ou un film d'amour. J'ai également trouvé l'histoire un peu moins captivante. Mais ce 6ème film de la série reste une très bonne curiosité car le ton se veut plus sombre, plus romantique, plus réaliste tout en conservant tout de même les codes de la saga : de l'action (la poursuite en bobsleigh est très bien filmé et les combats sont assez violents), un peu d'humour, des somptueux paysages enneigés de la Suisse, belles voitures et un peu d'humour. Teddy Savalas incarne un très honorable Blofed. Diana Rigg est touchante dans la rôle de Traçy et la scène finale est franchement marquante. La musique de John Barry est parfaitement dans l'esprit. "Au service secret de sa majesté", me plait moins que les autres, car je le trouve moins divertissant, plus noir, j'accroche un peu moins. Pourtant c'est un très bon film, mais peut être un peu trop long aussi (2h15).
Un épisode 6 atypique mais assez laborieux malgré quelques scènes sympas, avec un Bond plus sentimental, interprété pour un one shot par George Lazenby qui manque de charisme.
spoiler: C'est l'histoire de notre joueur de carte pro favori qui continue d'amasser pognon et gonzesses au casino. Il profite de son temps libre pour sauver une nouvelle fois le monde.
- Cette critique contient des spoilers -
Peut-être parce que c'est mon quatrième James Bond en deux semaines mais j'ai trouvé très plaisant son positionnement atypique. Malgré mes préjugés, j'ai trouvé que George Lazenby assumait parfaitement le rôle. La réputation mitigée de cet opus tient probablement en partie au final baclé qui déteint injustement sur l'œuvre globale.
Dès l'entame, on sent qu'on est entré dans un cinéma plus moderne: le montage est plus dynamique, les bagarres s'éloignent encore davantage de la réalité pour devenir une sorte de spectacle où on cherche moins à gagner qu'à réaliser des mouvements spectaculaire à grands renforts de gerbes d’eau. On retrouve les éléments clefs d'un 007 : femmes, martini, méchant mégalo, gadgets et bastons. Certaines punchlines apparaissent néanmoins déjà un peu forcées. La mysoginie est toujours aussi banale et même si l'histoire d'amour entre Bond et Teresa est la meilleure idée du film, la première scène, une domination masculine psychologique et physique conclue par une baffe est assez abject. La suivante où papa mafieux offre sa fille n'est pas meilleure: Bond: I find her fascinating. But, she needs a psychiatrist, not me. _What she needs is a man... to dominate her! To make love to her enough to make her love him! A man like you!
Heureusement que la suite apportera un peu de nuance et d'humour: "She likes you, I can see it. _You must give me the name of your oculist." Dans cette scène j'ai aussi aimé que l'arène servent à encorner des matamores et pas à exécuter des taureaux, choix étonnant pour l'époque.
Propulser un James Bond grimé au milieu d'un harem de demoiselles désœuvrées permet quelques saillies à la limite de la vulgarité. Comme à chaque épisode on permet à James Bond de s'enfuir en l'enfermant dans un endroit inapproprié, ici une salle de machines. Cela résulte dans une scène d'évasion très chiante poursuivie par une descente en ski qui l'est tout autant. La suite le lendemain est meilleure tout comme la course poursuite où Madame tient le volant. C'est d'ailleurs probablement la James bond girl la plus attachante de la série jusqu'ici.
A noter le final assez amoral puisque le monde n'est sauvé que grâce à la mafia.
Ma scène favorite ? La demande de démission / congés lors de laquelle je n'ai vraiment pas vu venir la prise d'initiative de Moneypenny. Bond : Moneypenny, what would I do without you? _My problem is that you never do anything with me.
Un James Bond original plus appuyé sur l'émotion réalisé par Peter Hunt en 1970 !! Le nom de George Lazenby dans un épisode des aventures de 007 ne me disait pas grand chose mais après le visionnage, je m'aperçois qu'il a bien fait son job avec charisme, humour, romantique dans le costume du héros et sa partenaire Diana Rigg, l'héroine de la série phare de l'époque "Chapeau melon et bottes de cuirs", incarne l'une des James Bond Girl ayant un role avec intérèt, plus étoffée, plus développée de la saga. L'intrigue est bien construite avec les 3/4 de l'action se passant en Suisse dans les montagnes hivernales splendides dans un centre en altitude ou règne un mégalomane dangereux joué par l'excellent Telly Savalas. Ces scènes et lieux ont inspiré Christopher Nolan pour "Inception", je viens de l'apprendre. Tout les ingrédients 007 sont là, Moneypenny, Q, M, les filatures, les bagarres et des scènes de poursuites ou de Bobsleigh spectaculaires, le tout accompagné par la sublime musique de John Barry. Un très bon volet de l'agent secret Britannique que j'ai apprécié.
C'est vrai que passer de Sean Connery à Georges Lazenby n'était sans doute pas la meilleure des choses, mais ce dernier ne fait pas une prestation lamentable non plus. C'est plutôt du côté du scénario que le bas blesse, car il faut bien reconnaitre qu'il n'est pas folichon avec ses incohérences et ses grosses ficelles. Il reste quand même quelques scènes d'action bien foutues, mais pas de quoi compenser la faiblesse d'écriture.
Premier James Bond de la chronologie officielle à se passer de Sean Connery dans le rôle de James Bond. Si George Lazenby ne fait pas pale figure, c'est plutôt dans l'histoire que se trouve les faiblesses... James Bond fait ici une alliance avec le banditisme corse, se sépare du MI6, fait copain copain avec le patron de Spectre, joue de nombreuses incohérences et se trouve dans un scénario un peu tiré par les cheveux où des Top Model sous hypnose vont contaminer la planète. Avec ce film, le film se moque un peu de lui même, mais sans le vouloir, et en oublie d'inclure la voiture, les gadgets et les plages pourtant très cher à la saga.
Après deux Bond moyens et un Sean Connery lassé de son rôle, il fallait bien du changement. "Au Service Secret de sa Majesté" est certainement le plus déroutant des JB. Tout en contradictions : bonnes scènes d'action mais d'étranges longueurs ; Beaucoup d'action mais quasiment aucun gadget et une apparition très furtive de Q ; L'objectif de Blofeld est machiavélique mais sa mise en place est d'une débilité abyssale ; la magnifique Diana Rigg est la 1ère JB ayant du caractère mais les caniches de Blofeld ruinent tout ; JB se marie à Tracy mais se tape plusieurs de ces caniches ; 007 et Blofeld se sont rencontrés dans l'épisode précédent mais se rencontre à nouveau pour la 1ère fois dans celui-ci ; Terry Savalas est bon mais aurait été excellent si son personnage avait été plus cruel. George Lazenby alterne le bon et le mauvais constamment. Quelques questions demeurent : Pourquoi passe-t-on de l'été au Portugal à Noël en Suisse en quelques jours ? pourquoi autant de faux raccords ? Pourquoi Bond porte-t-il autant de fringues ridicules ? etc. Et pourtant ce Bond incarné par Lazenby, si décrié encore aujourd'hui, a son charme. Il est plus humain, plus réaliste et donc un avant-goût des 007 de Timothy Dalton et Craig Daniel. Mais la réalisation hasardeuse et un scénario chaotique sont certainement le gros point faible de cette oeuvre. Ce qui en fait un JB juste moyen.