AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,2
3063 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Au service secret de sa Majesté ?
5
40 critiques
4
64 critiques
3
62 critiques
2
60 critiques
1
8 critiques
0
11 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un 007 vraiment à part dans la collection, à plus d'un titre : interprète unique et remercié après cet épisode, ton beaucoup plus mélancolique que d'habitude...Un film très inégal, alternant anthologie (un des meilleurs génériques de la série, Diana Rigg, poursuite en bobsleigh, dénouement inattendu) et bide total (bagarres mal filmées, scénario qui patine au début du film, passages dans la clinique suisse...). Inégal donc, à l'image de G. Lazenby, James Bond crédible et pas mauvais en soi mais qui fait tout foirer avec ses tenues vestimentaires douteuses (pull orange, costumes marrons, kilt écossais) et sa façon plouc de manger le caviar. Un film a moitié réussi, mais une curiosité devenue collector avec le temps. Verdict : naturellement incontournable pour tout jamesbondphile !
Sixième opus de la saga Bond et premier gros changement avec le remplacement de Sean Connery par George Lazenby. James Bond est toujours à la recherche de Blofeld, le n°1 du spectre. Il découvre finalement qu'il se trouve en suite où il a ouvert un centre médical où il développe secrètement un poison permettant la fertilité végétale. Si Lazenby ne s'en sort pas trop mal (difficile de passer après Sean Connery tout de même !), le scenario est quant à lui un peu simple quoiqu'un intéressant. Le gros point faible du film reste son rythme. Si le début est extrêmement mou (il faut environ 45 minutes pour comprendre ce que James Bond veut faire), la fin est au contraire un déluge d'actions (deux course poursuites en ski, une en voiture, une autre en bobsleigh et un assaut final !! Rien que ça !). Bref un gros problème de rythme et un film qui traine en longueur malgré une fin intéressante pour un James Bond moyen au final.
James Bond atypique, unique film avec Lazenby et à l’intrigue romantique étonnamment développée. Si la première partie manque de rythme et semble bien longue, la deuxième partie est formidable avec des séquences d’anthologie (poursuite à ski, en bobsleigh), et une Diana Rigg qui en impose. La fin, tragique, est superbe.
Branle-bas de combat dans la saga James Bond ! L’interprète original, le légendaire Sean Connery jette l’éponge et c’est l’inconnu George Lazenby qui récupère le rôle, dans un film réalisé par le monteur historique de la saga, Peter Hunt, sur une promesse du producteur.
Au Service Secret de sa Majesté nécessite donc un temps d’adaptation bien diminué par une réplique devenue culte “This never happened to the other fellow“, pendant le pré-générique. En effet, si son prédécesseur incarnait la classe à l’état pur, Lazenby est plus dans la performance physique, un James Bond musclé sans pour autant abandonné l’humour à froid de l’agent secret. Il est d’ailleurs plutôt bon, tout comme le casting, dominé par un excellent Telly Savalas, machiavélique à souhait et beaucoup moins risible que Donald Pleasance. L’histoire d’amour originale entre Bond et Tracy est d’ailleurs très réussie, ce qui renforce la fin inoubliable de cet opus, d’une tristesse inattendue.
Cependant, Au Service Secret de sa Majesté dure quand même 2h20 et ne serait que sympathique s’il n’y avait cette dernière heure absolument surréaliste quand on la regarde de nos jours : en effet, vont se succéder une sorte d’escadron de pépées tueuses, une partie de curling où les personnages ont l’air de s’amuser comme des petits fous, une scène où, afin de calmer sa fille, Draco lui rentre une droite pour l’assommer, une poursuite folle en bobsleigh pour finir en apothéose par un drive-by ! Cette heure a terriblement vieilli mais reste quand même très forte tant elle est originale, drôle, voire même émouvante.
Amusant, spectaculaire, mais bruyant et fatiguant, Au Service Secret de sa Majesté est un bon cru pour une saga James Bond qui semble avoir trouvé le bon filon. Surtout que Lazenby, pas déméritant, quitta la franchise, reprise par Sean Connery.
Au Service Secret de sa Majesté nécessite donc un temps d’adaptation bien diminué par une réplique devenue culte “This never happened to the other fellow“, pendant le pré-générique. En effet, si son prédécesseur incarnait la classe à l’état pur, Lazenby est plus dans la performance physique, un James Bond musclé sans pour autant abandonné l’humour à froid de l’agent secret. Il est d’ailleurs plutôt bon, tout comme le casting, dominé par un excellent Telly Savalas, machiavélique à souhait et beaucoup moins risible que Donald Pleasance. L’histoire d’amour originale entre Bond et Tracy est d’ailleurs très réussie, ce qui renforce la fin inoubliable de cet opus, d’une tristesse inattendue.
Cependant, Au Service Secret de sa Majesté dure quand même 2h20 et ne serait que sympathique s’il n’y avait cette dernière heure absolument surréaliste quand on la regarde de nos jours : en effet, vont se succéder une sorte d’escadron de pépées tueuses, une partie de curling où les personnages ont l’air de s’amuser comme des petits fous, une scène où, afin de calmer sa fille, Draco lui rentre une droite pour l’assommer, une poursuite folle en bobsleigh pour finir en apothéose par un drive-by ! Cette heure a terriblement vieilli mais reste quand même très forte tant elle est originale, drôle, voire même émouvante.
Amusant, spectaculaire, mais bruyant et fatiguant, Au Service Secret de sa Majesté est un bon cru pour une saga James Bond qui semble avoir trouvé le bon filon. Surtout que Lazenby, pas déméritant, quitta la franchise, reprise par Sean Connery.
Lazenby s'en sort vraiment bien. Sinon, le reproche principal que j'ai c'est sur le rythme, qui est en dent de scie. Sinon j'aime l'idée, j'aime l’exécution, je trouve la fin belle. C'est un Bond un peu à part, c'est pratiquement le seul qui a essayé de faire avancer le personnage. Ce fut l'une des seuls fois ou les scénaristes ont voulu explorer le personnage au-delà de Ian Flemming.
L'aspect qui frappe tout d'abord dans cet opus un peu particulier de la saga James Bond se situe dans la qualité de la réalisation, nerveuse et beaucoup plus moderne que dans les premiers épisodes. Un gage d'ambition dont profite logiquement un George Lazenby honorable : certaines de ses répliques marquantes auraient sans doute eu plus de force dans la bouche d'un Sean Connery mais il parvient à convaincre pour cette unique pige dans le costume de l'agent 007. Dommage que le film tire quelque peu en longueur car il marque une rupture qualitative dans tous les domaines par rapport à ses précédesseurs.
"Au Service Secret de sa Majesté" est le sixième volet de la saga des "James Bond". Un film plutôt correct avec un changement d'acteur dans le rôle de James Bond, les scènes d'action sont pas bien fait, j'ai trouvé un film un peu long et qui manque un peu de dynamisme.
Un Bond qui restera dans les annales, pour sortir de la routine et des codes de la franchise. Ici l'agent machiste se déguise en femme et se montre parfois peu classieux, et les héroïnes se font dégommer. Le scénario et les scènes d'actions ne sont de leur côté, pas très folichons. Mais ce qui l'emporte vraiment, c'est cette volonté de jouer avec les fans, quitte à les bousculer. Une date à retenir dans l'histoire du célèbre agent.
J'étais sceptique à l'idée que Sean Connery ne soit plus l'interprète de James Bond mais finalement mes doutes se sont effacés dès le début du film. La scène d'introduction du nouveau Bond, alias George Lazenby, est magnifique et magnifiquement filmée ! (magnifique la petite référence à Connery au passage) Lazenby est excellent dans le rôle de l'agent secret. Il n'a pas la classe de Sean Connery, certes, mais est très convaincant comme l'avait été Sean Connery dès "Dr No". Dommage que Lazenby n'ait pas poursuivi, ça aurait pu être le meilleur. Diana Rigg, la sixième James Bond girl, est génial, surement une des meilleures et des mieux travaillés. C'est à coup sur ma préférée. On ne peut lui résister. De plus elle compte vraiment pour Bond contrairement aux précédentes filles qui lui étaient juste utile le temps de sa mission. Le scénario est très bon et bien ficelé sur toute la durée du film. Néanmoins des longueurs se font ressentir à certains moment, notamment un peu avant et après la première heure écoulée. Les scènes de combats sont géniales et très bien réalisées. Ce Bond-ci me semble plus féroce que celui de Connery. Encore une fois les décors sont magnifiques.
La différence entre les précédents et celui réside en la fin du long-métrage. Cette fin est magnifique mais à la fois très triste. Après un "On ne vie que deux fois" décevant, "Au service secret de sa Majesté" relève le niveau se présentant comme un des meilleurs sans aucun doute, presque aussi bon que Goldfinger. Vraiment dommage que Lazenby n'est pas poursuivi l'aventure.
La différence entre les précédents et celui réside en la fin du long-métrage. Cette fin est magnifique mais à la fois très triste. Après un "On ne vie que deux fois" décevant, "Au service secret de sa Majesté" relève le niveau se présentant comme un des meilleurs sans aucun doute, presque aussi bon que Goldfinger. Vraiment dommage que Lazenby n'est pas poursuivi l'aventure.
Au service secret de sa Majesté est un bon film James Bond de John Glen, Peter Hunt et Peter R. Hunt. La mise en scène est irréprochable, le scénario est travaillé et intéressant, les acteurs comme George Lazenby, Diana Rigg ou encore Telly Savalas sont corrects dans leurs rôles, même si George Lazenby n’est pas le meilleur acteur qui est tenu le rôle etc… Bref je mettrais trois étoiles.
orlandolove
Un des meilleurs Bond de la saga, peu apprécié à sa sortie mais réhabilité depuis. Ainsi, le scénario n'est pas mal du tout, mais ce qui frappe en premier lieu, c'est l'originalité de cet épisode : Bond se marrie, la James Bond girl parfaitement campé par Diana Rigg conduit la voiture dans la course poursuite à la place de Bond, la mise en scène est plus dynamique et inventive que d'habitude... Quant à Georges Lazenby, il lui manque certes une dose de charisme mais il se révèle très à l'aise dans l'action. Et puis, les scènes de ski sont très bien, pas même surpassées 30 ans plus tard par celles de "Le monde ne suffit pas" où les moyens étaient pourtant autres...
J'avais entrepris une redécouverte de la saga James Bond il y a quelques mois. Puis vint le tour de Au service de sa majesté, et là blocage : des critiques souvent défavorables, un Lazenby fréquemment jugé comme décevant et surtout pas conservé par la suite ; bref, les échos que j'en recevais avaient quelque peu freiné mes ardeurs. Et puis ce soir ; surprise, voilà que me prend l'envie de rattraper le temps perdu. Perdu, je peux dire qu'il l'était, car cette sixième aventure se sera révélée agréable. Lazenby n'a pas la classe et le flegme que Connery donnait à l'agent secret, mais je ne comprend malgré tout pas pourquoi les avis le concernant étaient si peu élogieux. Peut-être est-ce, plus que l'acteur, le changement d'attitude du personnage qui au fond peut paraître gênant. Mais si le Bond de Au service secret de sa majesté est bel et bien plus humain, le personnage n'a pourtant pas changé du tout au tout et certains repères demeurent. Il est vrai cependant; qu'un vrai vent de nouveauté souffle sur la franchise, nouveauté annoncée par le générique, qui dresse un bilan de l'époque Connery comme pour mieux la clore. Certes, la tentative de renouveler le personnage aura été sans lendemain puisque Lazenby quittera le navire dès le prochain épisode, mais elle fait quand même de Au service secret de sa majesté un épisode à part, peut-être un peu long certes, mais assez bien écrit et au demeurant, plutôt sympa à visionner.
Un James Bond assez original. Le scénario est quasi le même que tous les précédents James Bond avec Sean Connery mais d'un contexte différent. Georges Lazerby se débrouille pas trop mal avec un bon côté sentimental mais n'arrive pas à la cheville de Sean Connery. Le reste du casting est assez satisfaisant. Des scènes d'actions réguliers mais des fois un peu mal cadrées pour certains coups. Belle bande -son pour un film de James Bond. Quelques jolis décors à admirer. Un méchant charismatique. Beaucoup d'éléments sont utilisés pour en faire un bon James Bond. Certes, ce n'est pas le meilleur mais ce n'est pas le plus mauvais non plus.
Petite déception perso avec ASSMajesté qui possède une identité relativement à part et forte, une dernière 1/2 heure sans temps morts, une fin marquante et s'avère mieux torché que la plupart des autres Bond de l'époque mais reste beaucoup trop long, avec un énorme trou au chalet où il se passe absolument que dalle (Bond câline à droite à gauche au beau milieu du QG ennemi...) et ça reste mielleux dans la romance.
Les scènes d'action sont énergiques mais Hunt abuse un peu du cut et des accélérés. Enfin Savalas n'est pas terrible et Lazenby présente bien mais n'est pas bon comédien.
Divertissement honorable mais je m'attendais à mieux.
Les scènes d'action sont énergiques mais Hunt abuse un peu du cut et des accélérés. Enfin Savalas n'est pas terrible et Lazenby présente bien mais n'est pas bon comédien.
Divertissement honorable mais je m'attendais à mieux.
Que dire ? Le meilleur James Bond sans le meilleur interprête.
A coup sûr Sean Connery reste le veritable prétendant du personnage crée par Ian Flemming. Mais ici, il laisse son smoking vacant et c'est georges Lazemby qui s'y colle pour son unique rôle de 007 dans l'un des meilleurs scénario de l'oeuvre du maitre... "unique" ce mot à lui seul résume parfaitement ce joyaux. Dans ce James Bond, on apprend que notre héros peut pleurer d'amour pour les yeux de la belle Diana Rigg. Loin de tomber dans un romantisme bourré en violonceline, l'action est omniprésente et Telly Savalas offre une pointure d'adversaire inégalée depuis Goldfinger.
Plein de classes, plein d'actions, plein d'émotions, une scène finale à des millions de kilometres du Bond traditionnel, Au service secret de sa majesté est une perle parmis "la" perle des séries d'aventure.
Du grand, du très grand spectacle.
A coup sûr Sean Connery reste le veritable prétendant du personnage crée par Ian Flemming. Mais ici, il laisse son smoking vacant et c'est georges Lazemby qui s'y colle pour son unique rôle de 007 dans l'un des meilleurs scénario de l'oeuvre du maitre... "unique" ce mot à lui seul résume parfaitement ce joyaux. Dans ce James Bond, on apprend que notre héros peut pleurer d'amour pour les yeux de la belle Diana Rigg. Loin de tomber dans un romantisme bourré en violonceline, l'action est omniprésente et Telly Savalas offre une pointure d'adversaire inégalée depuis Goldfinger.
Plein de classes, plein d'actions, plein d'émotions, une scène finale à des millions de kilometres du Bond traditionnel, Au service secret de sa majesté est une perle parmis "la" perle des séries d'aventure.
Du grand, du très grand spectacle.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse