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    Barton Fink
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    247 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mai 2008
    Incroyablement bien filmé, ce film révèle tout le talent de mise en scène des frères Coen.
    Une fin sublime!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2008
    Grâce à une mise en scène impecable, des acteurs brillantissimes, une fin parfaite et surtout une atmosphère étouffante que l'on retrouve tout au long du film, notamment grâce aux images très travaillées et à la lumière si particulière éclairant chaque plan, ce film s'impose comme l'un des meilleurs des frères Coen. Même la sordide chambre d'hôtel de Barton Fink devient poétique et superbe derrière le regard d'Ethan et Joel. Grand.
    dahbou
    dahbou

    205 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2008
    Oeuvre complexe et culte à voir et même à revoir plusieurs fois tant les niveaux de lecture sont nombreux, il faudrait même des pages et des pages pour tout décrypter. John Turturro trouve là son meilleur rôle et John Goodman est également saisissant et même effrayant sur la fin à travers une scène aussi étrange que magnifique où il semble être le diable en personne. Avec ce film, les Coen gagnèrent définitivement le statut d'artistes cultes.
    Jérôme H
    Jérôme H

    171 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2008
    Sorti en 1991 et vu seulement 10 ans après, quelles claques j'ai pris...
    Passer d'un statut de star et arrivée en tant que novice dans une nouvelle ville pleine de pression et bordant ses limites intellectuelles, John Turturro est phénoménale dans sa redécouverte de lui même et sa rebellion.
    Le film part progressivement (sans que l'on s'en apeercoit) vers un délire représenté par un Goodman énormissime.
    L'un des meilleurs Cohen à ce jour.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2008
    Vénéré par la critique, alulé par les fans des frères Cohen, Barton Fink ne me semble pourtant pas comme le meilleur film des deux réalisateurs. Dans le genre "comédie décalée horribilo satanique", Roman Polanski a fait souvent bien mieux, notamment avec l'indétronable "Rosemary's baby" ou l'effrayant "locataire".. Reste un film magnifiquement écrit et interprété par les acteurs fétiches des frères Cohen. Certes, John Goodman est saisissant, mais il est encore mieux en vétéran du Vietnam paumé dans "The big lebowski". Bref, un bon film, mais pas le meilleur Cohen.
    posbern343
    posbern343

    8 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2008
    Je suis toujours surpris e lisant les critiques de ce film, même parmi les plus spécialistes d'entre- nous, qu'on ne trouve pas un décryptage plus "fouillé" de cette oeuvre aux mille dimensions...
    1- NON ! Fink (think ?) n'est pas victime d'un système, il est son collaborateur (il sort d'une pièce à succès et se laisse berner par les sirènes d'Hollywood)

    2 - C'est un impuissant.

    3- Il n'écoute personne (imbu de son importance supposée), encore moins son voisin qui veut lui tendre une histoire de catch (à laquelle il est SOUMIS)...

    4- Selon moi, la résolution du film est dans l'offrande d'une autre histoire que le voisin lui offre (tueries et hôtel en feu) pour le libérer...

    Une oeuvre majeure.

    BB POSSO
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 mars 2008
    Decue!! Je n'avais jamais vu un film des freres Coen et j'etais impatiente d'en voir un.
    Le film est vraiment tres bien filme, les acteurs excellents, l'histoire interessante mais cela ne m'a pas emballe. Stereotypes, personnages ennuyeux et lenteur sont les principaux trucs qui m'ont enerve. On ne voit vraiment pas ou les freres Coen veulent en venir, parce que c'est pas ca la vie reelle...Je comprends pas pourquoi ils ont voulu faire ce film et je trouve ca frustrant. Mais cela ne va pas m'arreter, j'ai bien l'intention d'en voir encore des films signes Coen...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 mars 2008
    Une vague vient s'écraser sur un rocher. Ethan et Joel Coen nous plongent ici dans le cinéma, son industrie. L'âge d'or hollywoodien, Barton Fink, artiste prometteur, dramaturge accepte d'écrire un scénario pour un film de catch. L'angoisse de la page blanche s'en suit. Les "murs tombent" dans la chambre d'hôtel de Fink. L'image de carte postale accrochée au mur est son échappatoire, il se projette dans celle-ci sans jamais l'atteindre, la femme l'envoûte, le bruit de la mer l'apaise. Barton n'est assurément pas à l'aise dans ce monde régit par le star-system, il étouffe. Le réel n'y a pas de place, tout est faux, même l'identité de celui qui s'affirme comme son ami : Charlie Meadows, personnage rondouillard fort sympathique au début, terrifiant sur la fin. John Goodman nous livre ici une de ses plus belles interprétations. Le caractère apocalyptique de l'hôtel en flamme est subjuguant, indubitablement un grand moment de cinéma. Une vague vient s'écraser sur un rocher. Instantanément ce plan prend tout son sens. Fink s'est évadé, intègre son rêve hollywoodien.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2008
    Le mouvement est une part essentielle du cinéma des Coen, il incarne très souvent le masque qui voile le trouble profond. «Barton Fink» (USA, 1991), avant «Fargo», opère par ce mouvement la révélation du mal. C’est ce mal enfouis que scrute le premier plan sur la tapisserie, c’est la noirceur des institutions de l’industrie du cinéma que sonde le travelling curieux entre les dessins de fougère. Cette effervescence alanguie de la technique a pour but de formaliser les vicissitudes du personnage principal, Barton Fink. Les Coen atteignent dans ce film le paroxysme de leur esthétique. Même encore «No country…» n’a pas atteint une telle beauté du mouvement. Ce dernier film accomplit davantage sa beauté dans ses effluves picturaux que dans le flux de la temporalité. Pour sourdre du monde la perversion des choses, les Coen relatent l’aventure d’un jeune écrivain de théâtre dans l’Hollywood de la seconde guerre mondiale. Si l’on observe le film en plan très large, l’on ne peut y discerner que l’exploitation romanesque d’un jeune auteur par la vilaine machine industrielle. Cette vision du film s’inscrit d’ailleurs totalement dans le statut singulier que les Coen réussissent à sauvegarder, celui de cinéastes indépendants dont l’œuvre renouvelle l’héritage hollywoodien. Mais si l’on pose un regard plus clairvoyant, on peut y observer la perte de soi dans l’enfer d’Hollywood, et par extension dans le commerce artistique. «Barton Fink» est un pamphlet contre le monstre économique et institutionnel de l’art. La peur de l’auteur face à la page blanche, est mise en forme par les Coen de façon sublime. La pression d’Hollywood sur la création est dressée par les Coen dans la chambre de Fink. Au dessus de la machine à écrire trône une photo idyllique d’une mannequin au bord de la mère. Ce mannequin c’est la lisse consistance du cinéma vénal. L’auteur rencontre in fine ce mannequin est demeure à ses côtés. C’est la perte de l’identité de l’artiste sous l’étreinte d’Hollywood.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    299 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2008
    Encore une de ces splendides analyses des frères Cohen - ici revenant à l’origine du polar façon Chandler et/ou Hammet ( qui avaient tous deux pour habitude , pour nos amis ignorants ; de planter leur récit dans le réel ; d’où leur succès et/ou du « polar » … ) - se déroulant dans la cité du rêve faisant travailler tant de ces gens , et bien entendu peuplé de ces gentils fils à papa et/ou fous furieux si dangereux pour eux-mêmes ainsi qu’ irrattrapables -Car évidemment jamais « corrigés » ... Cynique, sinon presque malsaine ; l’œuvre n’est pas accessible à tout le monde sinon surtout aux cinéphiles , mais intéresse tout de suite par son soin apporté à ces détails qui n’en sont pas , et , loin d’en voir une représentation de la psyché de Barton Fink ou une sorte d’enchaînement symbolique abstrait ; nous restons accroché à cette certaine réalité - de plus - appuyée par tous ces personnages survolant de si loin le travail de ce « créateur » certain ; de toute façon simple rapport de tant de ces bons films jouant leur notoriété sur le travail et la crédibilité plutôt que sur la pose gratuite ainsi que facile et bien sûr ce n’importe quoi parfois si populaire : Car , bien sûr ; le but intime de ce scénariste est le départ bien naturel vers d’autres terres - Comment pourrait-il en être une seule fois autrement ? - , et le prendre à la légère prouve bien le fait d’appartenir à cette sorte de personnes manichéens pas si lointains uniquement constant dans leur infinie narcississme stérile & enfin ne se remettant jamais en question ; par ailleurs si bien décrit par les Cohen … Perpétuel étranger à la vie privée constamment agressée sinon entamée par ces voyeurs-parasites & vivant dans un milieu ou toute ‘bonne intention’ est fortement déconseillée , le très naif Barton Fink ne supporte que difficilement le relativisme !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 février 2008
    J'ai pas bien compris ce film assez mou sans réel interet
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2008
    Avec seulement quatre films à leur actif, les frères Coen décrochent (enfin) leur première Palme d’Or en 1991 lors du 44ème Festival de Cannes avec Barton Fink, une comédie dramatique baignant dans un soupçon de thriller et frôlant par moment l’expérimental. Les frangins nous livrent une réalisation particulière, à la fois sombre et si drôle, comme ils savent si bien le faire !
    On part à la rencontre d’un écrivain qui pendant son heure de gloire à New York est appelé par Hollywood pour devenir scénariste chez une major du cinéma. Mais c’est à son arrivée dans ce nouvel eldorado qu’il va changer du tout au tout. Il va se découvrir, faire la rencontre de personnages tous très atypiques.
    Un monde étrange et nouveau s’ouvre à lui, alors que ses angoisses font surface. La page blanche pour un écrivain, y a t’il quelque chose de plus terrible que cela ? Avec Barton Fink, le pire reste à venir !
    A noter aussi, que ce film est inspiré de la vie du dramaturge américain Clifford Odets, qui connut son heure de gloire dans les années 40 et 50. Dans la peau de ce personnage si particulier, on retrouve l’épatant John Turturro au côté de l’énigmatique mais si hilarant John Goodman. Une réalisation sans faille, à la fois mystérieuse et intrigante et qui s’est vu remettre deux autres prix à Cannes, le Prix du meilleur réalisateur pour Joel Coen ainsi que le Prix d'interprétation masculine pour Turturro.
    burrows28
    burrows28

    15 abonnés 233 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2008
    un sentiment assez mitiger.le film est interessant,ce n'est pas le probleme,c'est sa suite de scenes sans grand rythme.la fin,assez etrange,ne ressemble pas du tout au reste du film et essaye de ratraper ce manque de rythme.
    c'est dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2011
    Barton Fink est l'un des meilleur film des années 90. Palme d'Or à Cannes en 91, prix de la meilleur mise en scène, et prix de la meilleur interprétation masculine pour John Turturro. Cette année là, le jury Cannois ne s'est pas trompé, et pour cause, c'est un chef d'oeuvre.
    Déjà, la mise en scène des frères Coen est magnifique, tour à tour angoissante, cauchemardesque, onirique, mais toujours fascinante.
    Barton Fink est une oeuvre complexe, et peut avoir plusieurs analyses.
    John Turturro et Goodman sont exceptionnels.
    Un très grand film.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    34 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2007
    Itinéraire originale pour une oeuvre pourtant bien partie, reposant largement sur le très bon J.Turturro. Le bizarre, certes déja présent en trame de fond, fait une violente apparition, sans retour. D'où un résultat mitigé.
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