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    Barton Fink
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    3,9
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    247 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 septembre 2008
    je n'ai pas apprécié les lenteurs du film - je n'ai pas remarqué les sesn caché j'ai été déçu
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 août 2008
    Palme d'or amplement méritée pour ce film des frêres cohen trés original et bien vu comportant plusieurs facettes, il faut voir le film plusieurs fois pour bien comprendre.
    Redzing
    Redzing

    1 120 abonnés 4 471 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2008
    Ecrivain talentueux, timide et réservé, "Barton Fink" débarque dans la jungle Hollywoodienne des 40's et s'y perd. S'il on retrouve dans le film le ton habituellement déjanté des frères Coen (avec notamment John Goodman et Steve Buscemi au casting, où John Turturro au charisme excentrique), ceux-ci y ajoutent également un touche bienvenue de fantastique qui renforce le propos de cette fable sur la création critiquant l'élitisme artistique faussement proche du peuple qui a appuyé de nombreux régimes totalitaires. Ce n'est donc pas l'oeuvre la plus connue des réalisateurs, néanmoins elle mérite d'être décourverte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2008
    Séance de rattrapage dans un cinéma de quartier (la copie n'était pas restaurée...) de la Palme d'Or des frères Coen. Dans les années 40, un auteur intellectuel new-yorkais vend son âme au diable en travaillant pour une Major de Los Angeles, où les producteurs hollywodiens (caricaturés de façon hillarante) commandent les scénarios à des fins uniquement commerciales. Les frères Coen ont le génie d'insérer dans ce film sur les affres de la création et le statut de l'écrivain, un thriller efficacement mené. Comme toujours, le jeu outrancier des acteurs est un régal (John Turturro et John Goodman en tête) et la réalisation minutieuse et inventive.
    oranous
    oranous

    142 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2008
    Les frères Coen nous présentent un Hollywood qu’ils n’aiment pas. Ils critiquent son coté grosse production commerciale (L’auteur a succès de New York partant écrire des scénarios a Hollywood) et mettent le doigt sur des producteurs exigent et a la recherche constante du succès. Ils ne montrent pas Hollywood comme étant une ville de rêve mais plutôt une ville cauchemardesque. John Tuturro est bon mais c’est surtout John Goodman qui est excellent. Les touches d’humour sont subtiles et savoureuses. Bien meilleur que leur précédent film, "Miller’s Crossing".
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Un film revigorant des frères Coen,qui lança véritablement leur carrière internationale.Attention à ne pas prendre "Barton Fink"au premier degré,sous peine de ne pas saisir toute la poésie et la symbolique.A travers les yeux de ce scénariste complexé et terne,on voit toute la perversion du système hollywoodien dans les années 40.Les hommes sont broyés par un système ultra-commercial et soucieux de plaire aux classes populaires.C'est vrai que l'époque permet d'établir un lien avec la montée du fascisme.Barton Fink,perd ses illusions et voit que l'intellectualisation ne mène à rien.Une perversion représenté par le personnage du diable(John Goodman).Le film ne paye donc pas de mine,mais mérite assurément le détour.
    vadorbane93
    vadorbane93

    19 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2008
    Le meilleur film des frères coen ? peut être. Ce qui est en revanche est une certitude, c'est que ce film est un petit joyau dans son genre, ce qui veut dire le genre des 2 frères.On ne sait absolument pas s'il faut y voir un thriller ou une comédie, une caractéristique des coen ( fargo en est un exemple).Comme souvent avec les coen, les acteurs donnent le meilleur d'eux mêmes , à l'image de turturro, buscemi et bien sur goodman. BARTON FINK, l'un des films les plus réussis des coen , est à voir au moins une fois dans sa vie.
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Si Barton Fink ne rentre pas dans la liste des chef d'ouevres des frères Coen ("No country...", "Fargo", "The big Lebowski", "Miller's Crossing") il s'en faut de pas grand chose. Drôle, étrange, le film souffre à peine de petites longueurs. Les 20 dernières minutes sont géniales. Les Coen s'appuient sur un casting de fidèles : John Turturro, l'énorme (dans tous les sens du terme) John Goodman, Steve Buscemi (dans un petit rôle). Palme d'or à Cannes quand même...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2008
    Moi qui adore les films qui font travailler les méninges et jouent sur l'imagination du spectateur, j'ai été servi! Cette critique d'hollywood par les frangins Coen m'a scotchée et je m'interroge encore aujourd'hui sur l'objectif poursuivi par Joel & Ethan avec ce "Barton Fink". J'ai ma propre vision du film et du rapport entre les personnages mais je ne vous gacherais pas le plaisir de vous en faire une idée personnelle.

    Au niveau technique, j'ai rarement vu un film aussi abouti. Le son est très travaillé ( scène de la récéption avec Buscemi) les mouvements de caméra sont géniaux ( travelling vertical et horizontal dans l'ascensseur, turturro penché en arrière sur sa chaise). Le jeu des acteurs est prenant et juste, John Turturro en écrivain déphasé m'a littéralement bluffé.. Les 3 récompenses majeures obtenues à Cannes en 91 me semblent donc justifiées (palme d'or, interprétation masculine, mise en scène)


    Pour conclure, c'est sans doute le film le plus personnel et le plus difficile à aborder des Coen mais peut-être également leur meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 juin 2008
    les frères Coen, ont certainement beaucoup de talent, j'ai apprécié Fargo et O brother, mais ce Barton fink, palme d'or du festival de Cannes 1991 ne m'a pa touché.
    De bons acteurs, des dialogues teintés d'humour noir, une touche d'originalité, de décalé et d'improbable (l'hotel qui prend feu!)mais je ne lui trouve aucun n' intéret, pire j'ai failli m'endormir.
    Appeal
    Appeal

    157 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2008
    Bah j'ai pas accroché car à vrai dire je me suis emmerdé et c'est pas à ce que je m'attendais d'un Coen. Si les frères tirent une fois de plus sur un L.A qu'ils ont décidément du mal à apprécier (et c'est toujours aussi jouissif), je n'ai pas apprécié la mise en scène beaucoup trop lente et melancolique du film, sans aucun doute souhaité pour faire naître un veritable sentiment de malaise chez Turturro (et que l'on ressent très bien nous aussi) face a l'imposant John Goodman. Mais cela me donne juste l'impression que le film n'avance pas du début jusqu'a la presque fin, où l'action, les rebondissements arrivent et l'inquiètude permanente à ses conséquences. Cannes s'est, à mon humble avis, un peu trop regardé le nombril en surprimant ce film hommage aux personnalités du milieu.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2012
    "Barton Fink" est sublime. Il s'agit d'une installation définie dans le cerveau d'un artiste et sur sa condition existentielle. Philosophique dans sa manière d'arpenter les montagnes fracassées d'un intellectuel à la fois touchant d'enfermement et prétentieux dans ses quelques rares loghorrées auto-affectives, Joel et Ethan Coen explorent les obsessions récurrentes et destructives qui ressortent de la création, et métaphorent les dangers de l'accord élitiste sur le monde intellectuel. On peut déjà savourer, au premier plan, la finesse critique que les cinéastes expriment dans une vision symbolique d'Hollywood, lieu ingrat où tout pue le fric et la combine. Ainsi le plan pivot sur le tableau représentant l'idéal que se fait Barton Fink d'Hollywood sert de fin au film, entre ironie et désespoir de voir tant de bêtise dans ce qui est censé représenter l'église du cinéma. Ensuite, il y a la formidable progression narrative constituant à forcer, au gré d'un simple dialogue avec un inconnu qui deviendra bientôt un grand ami, avant d'être le tueur imagant le Diable de la bonne conscience populaire, la pensée du personnage principal. L'artiste, avant même d'être considéré comme celui qui créé, est d'abord celui dont on se moque, puis peu à peu le recul de se faire, le regard qu'il porte de s'élargir pour enfin comprendre qui est manipulé, qui manipule qui et de quelle manière. Pour autant, Barton Fink ne devient pas ce que l'on pourrait appeler un héros ; pour la simple raison qu'il ne fait que subir des drames, ainsi incarne-t-il plutôt l'étranger dans un monde trop grand pour lui, et dont il ne saisit pas encore tous les codes, si au fond il en s'agit. L'interprétation minimaliste de John Turturro pourra en laisser beaucoup sur le carreau, mais ce recul n'a rien d'un défaut : il rentre non pas dans la case 'complexe dissimulé' (on le connaît surtout pour ses seconds rôles), mais au contraire, vit plus qu'il n'incarne son personnage, le laisse miroiter perplexe face aux im
    Sildenafil
    Sildenafil

    77 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juin 2010
    Les Coen me semblent désormais à jamais inaccessibles. Trop profond pour mon simple besoin cinéphile, ils atteignent des sommets impénétrables que je ressens comme un gâchis. Sans moi, hélas !
    Cocobusiness
    Cocobusiness

    13 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2008
    Barton Fink, 1991, d’Ethan et Joel Coen, avec John Turturro, John Goodman et Steve Buscemi (dans le petit rôle du réceptionniste). Film complexe sur une histoire relativement simple, mais une écriture de scénario très rigoureuse et une mise en scène magnifique. Un jeune auteur au succès tout récent (Turturro, invraisemblablement coiffé !), un peu naïf, vend bêtement son âme au diable, c’est à dire, passe sous contrat à Hollywood et reçoit (d’un patron de Major, caricature subtile et drôle) commande d’écrire un truc pour Wallace Berry, sur le monde des lutteurs. Comme le sujet ne l’inspire pas, on va cheminer avec lui dans les méandres de la création, celle qui torture parce qu’elle n’aboutit pas. C’est l’angoisse de la page blanche, qui s’accompagne d’un regard étrange, affolé, poétique et dramatique à la fois, sur l’environnement, la chambre d’hôtel, le voisin…Réalité et fiction se mêlent et s’entrechoquent : le papier peint se décolle et il faut le punaiser, un moustique devient un monstre sanglant, le charmant voisin (Goodman), complice et tendre, est un tueur en série, la fille d’une nuit baigne dans son sang au petit matin. Chaque plan est soigné et les lumières font des images de superbes compositions artistiques qui constituent une sorte de labyrinthe métaphysique. Le spectateur est en permanence surpris et malmené : quand on se croit dans une comédie, on plonge aussi sec dans le drame, et quand on pense être au cœur d’un thriller, un curieux virage nous entraîne vers le fantastique, le poétique.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 mai 2008
    Quelle triste année 91, ça palme d'or. C'est quand même mieux que Delicatessen dans le genre film dont les ressorts du lit font gling gling. Qu'est-ce qu'on rigole, ah ben oui alors.
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