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    Barton Fink
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    3,9
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    247 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 avril 2010
    un coté décalé ou j'ai du mal a me plonger dans le film.
    kibruk
    kibruk

    146 abonnés 2 550 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2010
    L'un des meilleurs films des Coen, sa palme d'or à Cannes était amplement justifiée. D'une originalité remarquable, superbement mis en image, le scénario est tout simplement époustouflant. A la fois drôle et inquiétant, son ambiance unique oscillant entre critique sociale du monde du cinéma, polar et film fantastique, en fait l'un des monuments incontestables du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mars 2010
    Un des meilleurs Coen, palme d'or méritée, John Turturro est très très très très bon.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mars 2010
    Un film étrange sur la vie d'un écrivain qui part pour hollywood après avoir eu un énorme succès avec une pièce apparemment incomprise ... Difficile à savoir ce qu'on voulu montrer les frères Coen, l'enfer d'hollywood peut-être, avec les grands palaces pour les grands producteurs, les hôtels miteux pour les scénaristes ... L'ambiance est angoissante, pesante, les acteurs jouent à merveille avec des personnages bien travaillé. Un bon film des frères Coen.
    totoro35
    totoro35

    103 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2012
    Palme d'or à Cannes, une oeuvre ambitieuse et personnelle mais qui pourra paraître absconse pour certaines personnes, visuellement très aboutie, critique virulente d'un Hollywood montré comme un gigantesque asile de fous.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 février 2010
    un peu déçu des 2 frangins....il se laisse regarder...quelques scènes mémorables....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 juin 2011
    C'est souvent difficile d'écrire quelque chose sur un film qui laisse bouche bée, on a l'impression un peu comme Barton Fink dans le film, qu'il y a un monde de choses à dire, mais qu'on est pas capable de savoir lesquelles sont en adhésion avec nous même. Le quatrième film des frères Coen a cette étrange aptitude à être évidemment personnel mais tout à la fois s'ouvrir à chacun. Chacun peut y voir à peu près ce qu'il veut, en cela c'est une œuvre de cinéma dans ce qu'elle a de plus accompli mais en même temps, Barton Fink est une évidente œuvre absolue, qui confronte les idées qu'il évoque à leur jusqu’au-boutisme, que ce soit une renaissance ou la fatalité de leurs appropriations.

    Dès lors il s'agit de voir que Barton Fink se construit sur deux axes associés dans la structure narrative et qui sont complémentaires dans la réflexion des Coen : le premier est celui de l'art, au sens parnassien, l'art qui n'a d'autre but que lui même ( l'esthétique ) et d'autre part l'histoire qui prend une dimension ici tout à fait originale car indissociable d'un contexte d'après guerre nourri de doutes, de troubles, d'espoirs et de déceptions. L'évolution de l'art, et finalement l'évolution de l'imaginaire collectif qui a subit les traumas de sa remise en question est une sorte de syndrome de réhabilitation qui tente de ressouder une identité autour d'idéaux communs. Or, et c'est le constat affligeant de Barton Fink, l'identité américaine n'a jamais existé autrement qu'en opposition à une autre, la vision rétrospective du film ( qui date 1991 ) englobe même de ce fait la construction d'une nouvelle identité par antagonisme vis à vis de celle proposé par le communisme. Le personnage de Barton Fink apparait comme cet américain moyen, qui part le travail a acquis une certaine notoriété, mais il est aussi et surtout la preuve que le système libéral ( triomphe de l'individualité ) est un leurre où l'individu est en fait soumis au passé d'un collectif national, qui bien que multifacette, est uni par ses hantises et ses espoirs. Barton Fink est une sorte de client parfait pour le maccarthysme grandissant, un homme auquel on jure qu'un mal est remplacé par un autre. C'est dans cette optique qu'on comprend mieux la place de l'art et de l'artiste dans le film. Reconstruire une identité c'est un travail de l'esprit, de l'imaginaire, la "feuille blanche" n'est pas autre chose que le symbole de cette immense tâche qui incombe à un individu finalement commun ( "the common man" ) auquel on demande de s'adapter ( son art et finalement lui même ) à un nouveau contexte, comme son pays doit s'adapter à l'ère nouvelle dont il se veut parrain mais dont il est aussi victime ( car dépassé par elle ) ! Pour l'écrivain l'adaptation est celle d'un univers de dramaturge, élégant bien que populaire, à un scénariste de série B aux ordres d'un producteur véreux et avide; pour les États Unis, c'est le passage d'un modèle de lutte pour le droit à un modèle de consommation outrance dans une optique de confrontation idéologique. l'interprétation de John Torturro est impressionnante en cela qu'elle cristallise autour d'un faciès et d'un comportement, une désorientation chronique propre à un siècle d’extrêmes. C'est en fait la mutation système dans son ensemble qui est condamné, ses dérives voire ses déviances, son irrationalité qui le condamne à une âpre déchéance. L'alcoolisme d'une star hollywoodienne dans le film dont Barton Fink, fan de la première heure, ne peut se résoudre à voir succomber, participe à la transition du personnage central; et finalement son admiration transverse vers la femme de cet homme. il est intéressant de voir que le seul acte immoral de la part de Fink, l'adultère, se traduit par une sanction immédiate, celle de sa possible culpabilité et le remord qui l'accompagne.
    Inséparable de son encrage historique, la force du film est tout de même d'arriver à le transcender, à faire de Barton Fink tout à la fois le symbole de ce changement radical de perception, et la figure symptomatique de la brutalité avec laquelle s'effectue le changement. Au final la place de l'histoire est engloutie par l'essentialisme du film et ne fait plus figure que de représentations mentales, bien plus que de caricatures modelées. Le style est à l'image de l’hôtel, miteux, imprécis, vague, étrange, irréel. Un espace clôt qui semble entrouvrir à un univers de pensée, de conception. Pourtant Fink ne semble pas y trouver son inspiration, il lui faut le regard nouveau de son voisin de chambre Charlie, qui chaque jour lui fait part de nouvelle idée qui lui ont traversé l'esprit. C'est par leur rapport que le personnage de Fink évolue, il ne pouvait pas évoluer par lui même, tout comme l'art ne peut pas évoluer sans le monde qui l'entoure. La fin du film semble vouloir assombrir la lecture, mais finalement elle en est l’insondable parachèvement... [ le suite sur http://ben-the-dude.blogs.allocine.fr/ ]
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 février 2010
    Un tres tres bon film. Une Bonne ambiance. Un peu long a demarrer selon moi mais une fois lancé on est completement dans le film. A la fois mysterieux et insolite ce film fait partie des nombreuses reussites des freres coen.
    Genial !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2010
    Le meilleur film des frères Coen, une merveille. Tout est parfait dans ce film.
    this is my movies
    this is my movies

    703 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2016
    Prototype du film labyrinthique, cet OFNI des frères Coen fût écrit en 3 semaines pendant que le duo était en panne sèche sur celui de "Miller's crossing". Se servant de leur expérience personnelle mais aussi de la vie d'un scénariste et romancier américain, le duo nous offre un monument de cinéma, réalisé et interprété avec brio, sans oublier un scénario à tiroirs qui vous laisse à la fin plus perplexe que jamais. J. Turturro est tout simplement ahurissant, tout comme J. Goodman, plus habité que jamais. Bénéficiant d'un travail sonore (le plus souvent hors champ) incroyable, C. Burwell nous offre sa meilleure partition et le tout dans un décor comme on n'en a jamais vu, sans oublier des séquences et des répliques dont seules eux ont la recette, un film drôle, tourmenté, dérangeant, acide, virtuose et cinglant. Il n'y a pas de solution unique, il n'y que ce que voulez voir. A noter aussi un M. Lerner hilarant. D'autres critiques sur
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 janvier 2010
    C’est un excellent Coen que ce Barton Fink. On y voie la compléxité et la solitude du métier d’auteur a hollywood. Les acteurs sont excellents, John Turturro tout en retenue, John Goodman en puissance et en folie, et Michael Lerner, en patron de boite de production complètement fou. A voir absolument.

    http://cinem76.skyrock.com/
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2010
    Au vu de la prestigieuse réputation qui précédée ce film : Palme d’Or à Cannes, prix de la mise en scène, prix d’interprétation masculine, plus 3 Oscars et 1 Golden Globe et ayant déjà vu d’autre film des frères Cohen c’est avec curiosité et plein d’espoir de voir un grand film que je me suis mi devant mon écran ! Quelle déception ! Autant je comprends le prix d’interprétation masculine accordé à John Turturro et celui de la mise en scène à John Cohen, autant je me demande ce qui a motiver le jury de Cannes pour donner à ce film la Palme d’or. Faut-il vraiment que la sélection de cette année là est été décevante pour la donner à ce film. La mise en scène ne parvient pas à donner du rythme au film et de ce fait on est rapidement gagner par un ennui rampant. Les personnages et le héro en premier lieu ne donnent pas envie que l’on s’intéresse à eux. L’intrigue est floue et l’on passe d’un écrivain torturé, qui n’arrive pas à pondre un scénario de commande sur le catch pour le cinéma à une intrigue de thriller avec un tuer fou digne d’un livre de Stephen King, pour finir de façon abrupte sur une plage, le tout sans qu’aucunes réponses satisfaisantes ne soient donner aux questions qui nous sont venues durant le film… Non vraiment très déçu par ce film que je me dépêcherai d’oublier au profit d’autres films des frères Cohen beaucoup plus réussis !
    TCovert
    TCovert

    79 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2010
    Un film étonnant et unique des frères Coen avec une mise en scène particulièrement stylisée. Les personnages sont excellents comme d'habitude chez les Coen. Les 3 plus marquants sont évidemment Meadows (John Goodman, excellent), le producteur de Capitols Lipnick (Michael Lerner, hilarant) et Barton lui-même incarné par John Turturro. Si le film possède ces indéniables qualités il possède aussi ses défauts. Trop de longueurs, surtout au début, nous empêchent de rentrer dans le film, je pense qu'une présence plus forte de la musique aurait largement pu palier ce problème.
    Barton Fink reste cependant un film à voir ne serait-ce que pour les scènes avec Michael Lerner et les dernières 20 minutes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 janvier 2010
    Sublime.
    NeoLain
    NeoLain

    4 976 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Très bon Coen avec un casting bien connu, pas un seul problème au niveau des prestations. J'aime bien Barton Fink, mais sur certains passages il manque de la profondeur qui puisse accélérer un peu le tout. Sinon je retiens surtout la scène du couloir de l'hôtel en flamme et une fin très songeuse.
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