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SB88
25 abonnés
1 176 critiques
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2,5
Publiée le 25 mai 2024
Vu en version courte (2 heures). C'est encore lent ! Il n'y a pas beaucoup de péripéties et d'enjeux. Peu importe si le film dure 20 minutes ou 4 heures. C'est un film pour les gens qui aiment contempler sans réflexions spéciales. Tout est dans le résumé ! Le corps de l'actrice est en effet très joli, sinon. 2,4/5
Un film tout en longueur dont l'intérêt tient surtout à la beauté vertigineuse d'Emmanuelle Béart, le scénario et les dialogues étant d'une faiblesse coupable.
Ma critique porte sur la version courte Divertimento qui dure 2h10. Hélas c'est encore beaucoup trop long car il ne se passe rien pendant la première heure qui aurait du être réduite à 15mns pour planter le décor. Les dialogues sont consternants de vacuité, on dirait une chronique de la vie quotidienne filmée par un membre de la famille !lisateur nous emmène. Puis vient enfin cette fameuse scène de doute où Frenhofer se rend compte de son échec ; elle est pour moi la meilleure partie du film (20 mns) qui éclaire sur le côté aléatoire du processus créatif. Dans la foulée, je n'ai pas compris pourquoi Marianne reprend à ce point les commandes pour l'encourager ... peut-être pour fuir son couple ?? Par la suite, pourquoi Freinhofer emmure t-il son tableau au lieu de simplement le détruire ??? Ceci me semble très excessif. La fin du film tombe brutalement sans qu'on s'y attende comme si le temps était écoulé et qu'il fallait fermer la boutique ! La musique du générique est épouvantable, on dirait de la musique expérimentale. En ce qui concerne les acteurs, ce rôle sage n'est pas le meilleur de Piccoli qui excelle plutôt dans le glauque, je ne comprends pas l'engouement autour de Jane Birkin que je ne trouve pas bonne actrice. Enfin Emmanuelle Béart s'en sort plutôt bien même si j'aurais souhaité un peu plus de consistance dans son rôle exhibitionniste. Mon étoile et demie va donc à la scène de doute de Frenhofer et à la belle plastique de Marianne.
Film prétexte au voyeurisme, d'une banalité. On comprend mieux la montée de la droite un peu partout en voyant cela. Très ordinaire. Picoli la même chemise tout le long du film, faut le faire. Noiseuse=gnaiseuse au Québec. Birkin, pas capable.
charnier de grandes idées-caveaux bourgeoises à la vie-artiste, tôt naufragé sur le roc de l'embarras profond que ce film m'inspire, embarras sincère pour l'auteur et le réalisateur et l'ensemble sans exception des acteurs. il manque même à la nullité pure et simple tant il se refuse à toute qualité pleine, fut-elle négative. expérience cinématographique qui entraîne un stress post-traumatique important, ne recommande pas à des amis