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yohanaltec
97 abonnés
767 critiques
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4,5
Publiée le 5 février 2016
Un film magique, d'une grande beauté. Malgré son scénario légèrement facile, le film est quasiment parfait, des scènes de braquages jusqu'a la scène finale. Patrick Swayze est vraiment parfait.
Un film policier au scenario tres tres classique a la mise en scene relativement plate.La reele interet est bien la rencontre au sommet entre Patrick Swayze et Keanu Reeves
Film policier au scénario assez classique , un bande de braqueurs insaisissable qui se retrouve infiltré par un flic , à la différence qu'ici , l'histoire se déroule dans le monde finalement assez peu connu des surfeurs , une originalité qui apporte un réel coup de pouce au film . Pour le reste , les codes habituels du genre sont là , le jeune flic rêveur associeux au vieux flic grincheux , les doutes grandissants de l'infiltré , les fusillades et les courses poursuites , mais comme le tout est bien filmé et bien interprèté , on passe un très bon moment , on regrettera simplement que la personalité du personnage de Patrick Swayze n'est pas été encore plus travaillée .
Pour apprécier ce film, il faut réussir à totalement oublier qu'il y a autant d'invraisemblances dans le scénario qu'il manque de neurones dans le cerveau d'un surfeur réunionnais... En fait, il faut complètement oublier l'histoire et admirer le talent de Kathryn Bigelow pour filmer les scènes bien testéronées que ce soit pour le surf, pour le parachute, et pour celles qui tournent des braquages, toutes hyper-fun. En plus, il y a le charisme du regretté Patrick Swayze dans le peau d'un type barje.
Un film qui a atteint, avec le temps, le rang de film culte. Ca reste au final un bon polar mais qui a su se démarquer des autres grâce à cette immersion dans le monde des surfeurs et de leur "philosophie". Les séquences de surf sont tout simplement magnifiques et représentent l'un des grands intérêts de ce film. Keanu Reeves et Patrick Swayze sont très bons. Ce film aura marqué son temps notamment grâce à son originalité.
Quand j’ai vu l’affiche du film, je me suis dit que non, c’était pas possible. Elle ne donne pas vraiment envie de voir le film, elle fait penser à un bon nanar de derrière les fagots. Mais lorsque j’ai vu le movie, mon avis a vite été relégué au rang de vulgaire a priori que je n’aurais pas du avoir. Dès le début ce film m’a envouté, je pense notamment à ce magnifique plan-séquence où l’on suit les premiers pas de Keanu Reeves dans la police de Los Angeles. Puis ensuite tout se met en place à la perfection, ça faisait un moment que je n’avais pas vu un film aussi bien rythmé. Malgré l’âge le film ne vieillit pas et jouit de quelques scènes cultes et formidables : entre la course poursuite Reeves/Swayze, les séquences de surf, les sauts en chute libre ou les plans larges en général, il y a de quoi s’extasier. Le scénario se tient et on y verrait presque un brin de poésie. Le film est juste dans l’ensemble et très agréable à regarder. Ca tombe bien, c’est tout ce que je demandais pour passer une bonne soirée.
Un scénario solide, une réalisatrice qui connaît son métier et des images de surf, voilà ce qui compose ce film devenu culte. Je devrais aussi parler de Keanu Reeves qui offre l'une des plus belles interprétations de sa carrière mais si je l'évoque, il faut que je souligne la déception qu'a composé l'interprétation de Patrick Swayze, inexpressif. Autre déception : le manque d'audace du film qui reste bien sage sauf spoiler: lors de la chute libre du personnage principal . Mais Point Break reste un très bon film, encore une réussite pour Kathryn Bigelow.
un vrai bol d'air frais entre le film policier et le film sportif de haut niveau (surf, saut en chute libre) magnifiquement lié et qui donne son touché original avec des images sublimes la réalisation, merci Kathryn Bigelow d'être une des seul réalisatrice à s’élever au dessus des réalisateurs, une bouffé d' adrénaline qui ne s'arrête pas jusqu'à la fin où la vague métaphysique aura raison de Bodhi . Keanue Reeves et Patrick Swayze, après Youngblood se retrouve sans Rob lowe avec un très grand plaisir, entre le beau gosse intelligent, sportif et le monsieur muscle expert en art martiaux, très à l'aise dans leur rôle, surtout pour le premier cité, une carrière s'offre alors à lui comme le futur Speed. Lori Petti qu'on a vu dans la série Booker fera une interprétation remarqué, ainsi que Tom Syzemore qui aura dorénavant de rôle plus long. Le scénario est bien calibré sur des hold up avec des masques d'ancien président américain, et Patrick qui joue pour une et dernière fois, le rôle d'un méchant, excitant. qui pour Gary Busey aura pour une fois aussi été du côté de la loi, il aura prit du poids depuis Lethal Weapon. la confrontation entre les acteurs vedette juste à la fin est superbe et quel tableau, génial!. La liberté de ce film qui sent les vacances sera culte au point d'en engendrer un autre, le futur success de Jean Dujardin pour Brice the Nice qui s’appuie justement sur ce film
Un film policier mais qui a également des allures initiatiques. C'est le début de mon 'amour' pour les films de Katheryn Bigelow, diablement efficaces. C'est également le premier film où je me suis dit que Patrick Swayze était autre chose qu'un acteur de navet ou de romance.
Excellent duo d'acteur (P. Swayze et K. Reeves) au service du meilleur film sur le surf à ce jour. Les braquages de banque avec les masques des anciens présidents américains sont des moments cultes pour beaucoup de monde aujourd'hui. La mise en scène est rythmée avec de sublimes images de l'océan et du ciel. La réalisatrice (et oui, c'est une femme et pas n'importe laquelle) se nomme Kathryn Bigelow (ex Mme James Cameron, qui est le producteur du film d'ailleurs) qui réalisa "Démineurs" (film multi oscarisé) plus récemment. En bref, "Point Break" est un excellent film à voir et à revoir... avec du pop corn de préférence.
Les films d’action des années 90 avaient un atout non négligeable comparé à ceux de notre époque, une originalité dans le scénario qui ne donnait pas l’impression de revoir le même film indéfiniment. C’est clairement le cas du "Point Break" de Kathryn Bigelow. Fraîchement sorti de l’académie du F.B.I avec les honneurs, l’inspecteur Johnny Utah est muté à la brigade anti crime de Los Angeles et affecté au dossier d’un groupe de surfeurs qui aurait méthodiquement braqué 26 banques. Tête brûlée il va tenter une approche qu’aucun de ses collègues n’aurait envisagé, s’infiltrer dans cette communauté très fermée pour démasquer et arrêter les coupables. Sans être un chef d’œuvre, "Point Break extrême limite" présente de nombreux atouts qui font de lui plus qu’un simple film d’action. Tout d’abord le cadre idyllique des plages de Los Angeles et plongée dans le monde des surfeurs et leurs codes de conduite, mais aussi un casting solide. Patrick Swayze est excellent en "gourou" du crime et de la cool attitude et Keanu Reeves donne le change malgré un rôle qui manque de background. Le film de Kathryn Bigelow est un polar très divertissant et définitivement culte.
Le surf n’est pas un sport, c’est bien plus que ça : Une philosophie ! La première idée qui est même l’accroche du film, c’est de faire passer ce film pour un bon petit polar avec une enquête policière des plus classiques. Celle-ci amène les deux flics Johnny Utah et Angelo Pappas (Keanu Reeves dont c’est le premier grand film et Gary Busey, acteur aux innombrables seconds rôles) à se pencher de plus près vers un gang de surfeurs un peu louche. Ils sont rassemblés et vouent un culte au leader de la bande, un être mystique se faisant appeler Bodhi Salver : l’incroyable Patrick Swayze. Entre les deux parties, Tyler (Lori Petty) essaie de jouer les médiatrices avec son lot de complications (Bien sûr, l’enquête amène à penser que les policiers visent juste quant aux coupables ce qui n’est pas du goût de leur boss qui juge leurs preuves peu crédibles. La mise en scène est d’enfer, le rythme est haletant et on est assuré de passer un bon moment étant donné que le charisme de Swayze écrase tout et donne une réelle intensité au film. Au-delà des faits policiers, le film part totalement ailleurs dans une immense apogée du surf, plus état d’esprit que pur sport de glisse. Le mysticisme, bien que modéré au départ, est surexposé plus on avance dans le récit. Tous recherchent la vague et cette quête va les mener à la tempête des 50 ans pendant la confrontation finale et tant attendue. Malheureusement, ce qui alimente Bodhi devrait aussi logiquement le détruire à cause de la dangerosité de ce sport qui peut devenir extrême quand on lui en demande de trop… Les scènes de surf au ralenti sont tout simplement magiques notamment la scène finale très impressionnante, les répliques sont maintenant cultes, tous les acteurs principaux (quatre à vrai dire) sont géniaux. Bref, c’est un film assez unique qui tranche avec ce que l’on peut voir cette années au cinéma, c’est-à-dire qu’il est spécial avec pour comparer ‘Reservoir Dogs’, ‘Thelma et Louise’ ou bien ‘Le silence des agneaux’. Katheryn Bigelow signe là son 4e film et son premier succès commercial et international avec un coach personnel qui n’est autre que son mari de l’époque James Cameron (producteur exécutif) et on retrouve bien évidemment tous les thèmes chers à cette réal à savoir l’univers masculin, la terreur, la violence. Même si ce film est effectivement aux premiers abords un polar plutôt classique dans sa conception et pourtant très efficace, c’est avant tout un film sur le surf vu avec profondeur. Avec actuellement 20 ans de recul sur ‘Point Break’, on peut effectivement dire qu’il ne vieillira pas et on a même du mal à croire qu’il est du début des années 90 tant les vêtements, la musique et la mise enscène ne sont pas datés. Raison de plus pour faire perdurer le culte et le faire connaître pour qu’il ne puisse pas tomber dans l’anonymat des polars en apparence banals.