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    Les Commitments
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    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2017
    une histoire simple mais réaliste avec des personnages qui vous tiennent, une musique excellente, un très bon moment en perspective.
    PLV : un film entrainant avec une excellente bande son et des personnages avec personnalités, on passe un très bon moment
    Vivien19
    Vivien19

    66 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juin 2011
    Considéré par les fans d'Alan Parker (réalisateur engagé bien connu pour ses convictions envers la liberté et les rêves, auteur du superbe Midnight Express, Mississippi Burning, Fame ou encore Birdy) comme le Fame irlandais de la musique soul, The Commitments n'a pas marqué les esprits à l'image de son aîné (devenu le High School Musical puissance 10 en qualité des jeunes des 70/80). Très peu connu, très peu encensé, il est quand même considéré par ses rares spectateurs comme un élément marquant de la carrière du cinéaste et du cinéma musical. Outre une bande-originale convaincante et rythmée, et des jeunes acteurs (dont pour la plupart il s'agira du seul rôle de leur vie) qui nous livrent une très bonne prestation, Les Commitments dispose une nouvelle fois de la réalisation glauque et très 80' d'Alan Parker, une réalisation qu'on retrouve dans tous ses films et dont on ne se lasse pas de son côté nostalgique. La faiblesse du film reste un scénario trop convenue et sans trop d'ambitions, un déroulement un peu bancal sur la réalisation des rêves et la liberté comme il est d'habitude du cinéaste. On regrettera donc un développement plus important et un peu d'ambitions pour ce film qui souffre d'ailleurs du manque de popularité.
    Les Commitments est loin d'être le meilleur film d'Alan Parker mais dispose des mêmes qualités que chacun de ses longs-métrage : superbe mise en scène, bande-originale et direction artistique. A découvrir pour les inconditionnels de Fame, de musique soul et d'Irlande dévastée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2013
    Chronique attachante retraçant l'histoire de la naissance d'un groupe et des ses petits travers dans l'Irlande des années 80, interprété par des comédiens épatants. La partie musicale du film est un régal.
    coperhead
    coperhead

    26 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2018
    Film qui montre la naissance et la construction d'un groupe de musique amateur de soul dans un Dublin dévasté par le chômage . Le groupe déborde d'énergies et les moments d'émotions sont fréquents quand celui ci est en concert avec notamment un chanteur qui peut rappeler Joe cocker .les morceaux choisis sont par ailleurs remarquables souvent pris dans le répertoire de Otis Redding et Aretha Franklin.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 132 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2011
    Alan Parker fait mouche avec chaque sujet qu'il met en scène. En rendant à la fois hommage à la Soul et à la classe ouvrière, le réalisateur nous a concocté un petit bijou d'authenticité qui émeut autant qu'il donne la pêche. Une œuvre énergique d'une rare intensité.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2019
    Tout comme Dublin cache ses secrets derrière ses murs crasseux, grisâtres et humides, Parker a tout dissimulé dans sa préproduction. Quand un film fait appel à des musiciens avant de questionner leurs aptitudes d’acteurs, il y a de quoi faire tout le film avant le film. Il l’a payé au prix d’une figuration difficilement gérable qui substitua des outils de chirurgien aux ciseaux habituels dans les mains du monteur, mais le résultat est là : un vrai groupe Les Commitments, où tout le monde joue de son charisme et de son instrument, avec une performance musicale fabuleuse qui fait marcher une alchimie toute anglo-saxonne, la recette de gourmet pour transformer un home cinéma en pub. Le tout jusqu’au détail que personne ne voit, comme la présence dans le casting du Boy de U2 qu’on a revu sur la jaquette de War.

    [Spoilers] Parker trace un chemin rarement usité, celui de la gloire quand elle arrive contre toute attente. Elle est voulue, bien sûr, mais on lui court après en pleine conscience des risques d’être désilusionné tout comme de la forte probabilité de rencontrer des obstacles idiots. Sûrement involontairement, Les Commitments est la parfaite image du dicton prétendant que le pouvoir ne vient qu’à ceux qui n’en veulent pas ou ne s’y attendent pas. La simple progression sur ce chemin escarpé est digne d’un Oscar pas encore inventé pour la façon qu’il a de rendre le succès concret et de le relativiser par l’intérieur. On nous dit bien qu’il n’y a pas de secret pour être artiste, mais Parker le montre pour de vrai, comme s’il avait pénétré dans les Enfers et en était ressorti sans se retourner, détenteur privilégié et généreux de ses mystères.

    La jeunesse et les jurons ne sont pas le paradigme (qui eût été simpliste) de cette tête dublinoise fanfaronne et bonne-vivante. Avec Sinéad en arrière-plan, la Big Sister qui veille, Parker va donner la parole à des noms, juste des noms : U2, Madness, il y en a pour tous les goûts car ce sont là les vraies racines qu’on cherche à nous (re)mettre en tête. Des jumelles de Kubrick aux décors de Loach, d’un batteur-videur version Keith Moon à la comptine de sauteuses à la corde, le cinéma et la musique se disent « I’m One » (oups, malheur à moi, les Who sont anglais !) et cimentent définitivement le naturel ravageur qui liait déjà d’atomes crochus tous ces acteurs qui n’en sont pas, où passent inaperçus des « détails » comme les allusions au gaélique (chanté pour une berceuse… l’espoir que les jeunes reprennent le flambeau de la langue peut-être ?) ou l’autoréférence de Parker à son Mississippi Burning.

    Parce qu’au-delà des noms et de la gloire, il y a les personnages, ce qu’ils veulent, ce qu’ils signifient… et ce qu’ils jouent.

    D’ailleurs, peut-être le film est-il tellement évocateur parce qu’il ne cherche pas à developper ce que promet son sujet. Comme l’illustre le personnage du chanteur dans le rôle (pardonnez-moi) du c****rd d’une manière aussi fortement charismatique que superficielle (il est le plus crédible mais rend d’autant plus fine la pertinence de la vulgaro-sexo-centralisation des dialogues), on ne connaît les protagonistes que par leurs interactions avec les autres. Des liens fortuits créés d’ailleurs par l’improvisation. Voilà peut-être la faille voulant que je ne sache vaincre la frustration que m’occasionne la conclusion, et que cinq visionnages ne m’aient suffi pour voir la poésie se voulant son corollaire : les personnages se tissent les uns les autres, ils n’ont pas de personnalité propre.

    Mais on peut compter sur une conséquence à cette toile de relations dont on a déjà parlé : l’ambiance. Pour ce film, les personnages sont les points de peinture d’une image sociétale impressionniste, qui n’a de sens que de loin, quand on voit l’image globale. Pour peu qu’on choisisse d’y plonger, on ne regrette pas l’apnée.

    Les Commitments n’est pas un film parfait, il est victime du manque de panache propre à Parker que je ressens avec Birdie et The Wall, l’impression qu’il ne manque qu’une seule chose, mais une chose essentielle. Toutefois, je n’ai qu’à détourner les yeux de mes doutes pour m’apercevoir que la qualité cinématographique est là, que l’expérience est de taille, et son « commitment » énorme. Je le disais, mon intérêt pour l’œuvre allait croissant, mais je crois qu’il est maintenant stable au niveau d’une admiration mi-blasée mi-contemplative de cette immersion ultra-crédible dans une célébrité qu’on discerne pour une fois si bien, pas si loin…

    septiemeartetdemi.com
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    54 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Je me suis bien marré. Les commitments est un film drôle, léger, qui ne se prend pas au sérieux et qui est servi par des musiques endiablées. Une belle aventure courte, mais humaine avant tout que vont vivre ce groupe. Ce n'est pas le meilleur film d'Alan Parker mais ça vaut quand même le coup d’œil.
    Krokodebil
    Krokodebil

    101 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2009
    Ce film est une franche réussite. Oscillant en permanence entre réel et invention, entre documentaire et fiction, jusqu'à pousser le vice avec les fausses interviews par le manager dans son bain, le film ets là pour paumer le spectateur, et le divertir. Le groupe a-t-il existé ? Existe-t-il toujours ? En réalité il fut monté pour le film et a connu un bref succès. Le chanteur a ensuite fait carrière, ainsi qu'une des choristes, qui d'ailleurs a également interprété Catherine D'Aragon dans la série The Tudors récemment.
    Pour en revenir au film, c'est une sorte à la fois de film musical sur la soul blanche, mais aussi de témoignage d'un climat et d'une époque, l'Irlande des années 80-90. La vie ets rude, le prolétariat galère. Et cette bande de jeunes motivés par la musique pour vivre et pour faivre vivre leur ville, c'est assez beau.
    La musique est d'enfer, avec des reprises de grands standards, les acteurs sont de bons performers, à l'aise dans leurs rôles et dans leur groupe. Les tensions sont souvent drôles, parfois graves.
    Un film touchant et humain, à voir quand on déprime un peu.
    Sylvain G.
    Sylvain G.

    7 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2012
    Un excellent film sur la création d'un groupe avec une bonne ambiance irlandaise
    et des acteurs au niveau.
    Une bande son toujours agréable surtout si on aime les cuivres et la soul.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juin 2011
    Il est dit que la soul vient des peuples meurtris, ainsi "les irlandais sont les "blacks" de l'Europe". Ici les cochons se trémoussent à l’abattoir et les longs cheveux lisses se balancent violemment, plein tension relâchée en un cris nasillard.
    Le groupe se forme maladroitement, réunissant des êtres qui se haïssent et qui pourtant s'unissent sur scène. Cela ne suffit pas et chaque âme s'implique, les comitments rapporte donc merveilleusement ces destins éphémères dans l'Irlande oubliée, crasseuse qui renferme, j'en ais bien l'impression, beaucoup d'idées lumineuses.
    Les films irlandais devraient vraiment être mis en avant plus souvent, car ils sont profondément puissants.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 septembre 2010
    Petit film sympa, plein de bons sons. On y traite de la difficulté pour un groupe de musique de trouver une vraie cohésion, quand de forts égos se côtoient.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    234 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2008
    Un des meilleurs films de Parker. Absolument génial, un film montrant une bande de jeunes désoeuvrés d'une banlieue anglaise (ambiance telle qu'on la retrouvera dans "The Full Monty" bien plus tard) voulant monter un groupe de blues-revival. La chanson "Try A Little Tenderness" est, à ce titre, fantastique. "The Commitmens" est un des films cultes des années 90.
    Christophe V.
    Christophe V.

    19 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Très bonne bande son, un régale et bonne histoire !
    Akamaru
    Akamaru

    3 133 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2011
    Quelque part entre la chronique chaleureuse et la fable musicale,"The Commitments"(1991)reste un film très appréciable,de par sa bonne humeur communicative.Aucun doute,on retrouve bien la patte d'Alan Parker,les envolées lyriques cotoyant les observations sociales.Dans le Dublin du début des années 90,Jimmy Rabite,petit malin ayant de la suite dans les idées,envisage de devenir le manager d'un groupe de soul crée de toutes pièces.Après des débuts loufoques,le groupe turbulent trouve son rythme de croisière,avant d'exploser en pleine ascension pour des querelles d'ego.La BO est bien évidemment à tomber.Entraînante et vivante,elle retranscrit toutes les facettes d'un style musical,avant tout scénique et emballant.Chacun des membres possède sa particularité.Les rapports entre eux sont houleux,dans un joyeux bordel,dont Parker fait ressortir toute la tendresse.Dublin est montré sous son vrai jour.Morne pour des post-ados désoeuvrés qui n'ont qu'un seul échappatoire au travail à l'usine:la musique.Si le récit est franchement relâché,il laisse une place importante aux prestations truculentes dans les bars locaux,et à un humour qui respire l'authenticité ou le vécu.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2015
    Le film d'Allan Parker est étonnement revigorant. Le long métrage, rythmé par les chants et la musique soul, très réussis, transporte ses spectateurs vers d'autres cieux. Les interprètes campent des personnages attachants et passionnants. La conclusion triste et réaliste appuie à la réussite du film.
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