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peypino
49 abonnés
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2,5
Publiée le 6 janvier 2011
Jack Nicholson prouve de film en film que sa palette d'acteur n'est pas très étendue : il peu jouer les fous les psychopathes les singlés les méchants mais c'est tout! c'est sans conteste du a son regard si particulier! dans se film on lui a proposé de jouer un salaud ... encore mais en jouant de la corde sensible....résultat c'est touchant décalé parfois drôle mais ça n'révolutionne pas le 7 em art!
Encore une fois, que dire de Jack Nicholson ? Grande comédie romantique, "Pour le pire et pour le meilleur" est un petit bijou de James L. Brooks. Utilisant l'humour noir avec une efficacité surprenante, ce long-métrage est un véritable conte de fées pour adultes qui charme par ses personnages et ses belles mélodies de piano.
Paranoïaque misanthrope, c'est comme à son habitude que Jack Nicholson entre dans la peau d'une personne légèrement dérangée. Ignoble dans la majorité de ses propos, son personnage n'en devient pas moins attachant lors des quelques moments où ses défenses laissent place à un grand cœur. En compagnie d'Hellen Hunt jouant à merveille la femme naturelle et simple ainsi que de Greg Kinnear intégrant une "pédale" brisée, l'acteur au record d'oscars danse avec les émotions de la tristesse, de la joie et du rire.
Scénario magnifiquement écrit qui donne une fluidité parfaite au film, c'est avec énormément de plaisir qu'on se délecte de chaque dialogue et de chaque interaction qui se révèlent extrêmement bien travaillés.
En résumé, "Pour le pire et pour le meilleur" est un équilibre exemplaire entre drame, rire et romance qui se démarque des autres comédies par l'utilisation d'un humour bien particulier. Le casting de qualité joue également dans l'appréciation du long-métrage. Trio très agréable à suivre et mise en scène simple créent une convivialité impartiale à laquelle il vous sera difficile d'échapper.
Très bon film. Jack Nicholson réussit à nous faire aimer Melvin, et pourtant, il y avait du boulot, car Melvin est tout sauf un gentleman, et je crois que le personnage d'Helen Hunt est très patiente avec lui ! Au final, le couple fonctionne bien. Greg Kinnear tire son épingle du jeu.
Au sein d'un casting pas vraiment inspiré, Jack Nicholson livre lui, comme souvent, une excellente prestation, d'une finesse incroyable, il retranscrit parfaitement les changements d'humeur de Melvin et l'incarne de façon très attachante. Mais c'est un coup d'épée dans l'eau car cette prestation de haute volée ne sert qu'un scénario plan-plan, bien propre sur lui, bien gentillet, où tout est convenu et où la mécanique rongée jusqu'à la moelle ne laisse place à aucune fantaisie. Et comme si ça ne suffisait pas, on se retrouve à subir une intrigue étirée à outrance sur plus de deux heures, alors même que le film comporte de nombreux passages à vide. Certes, à son crédit, As Good As It Gets est plutôt bien écrit, les dialogues font souvent mouche et quelques touches d'humour relèvent bien l'ensemble, mais avec une histoire aussi téléguidée, il ne peut prétendre qu'à rejoindre le ventre mou des comédies romantiques.
AS Good as it gets est l'exemple type de ce que les comédies ne doivent surtout pas être. En premier lieu, le manque flagrant d'idées frappe dès le départ, alors que le film présente les personnages, car ça n'est rien de plus qu'une bête copie de ce que fait Woody Allen depuis des années. Un vieux bougon, raciste, impoli, maniaque, persuadé d'être au-dessus de tout, qui finit par révéler ses bons côtés parmi des défauts charmants aux yeux d'une Lady qui voit en lui quelqu'un de séduisant par sa drôlerie. Le pitch est mille fois vus et revus, et comme chez Allen, chaque gags est centré sur le personnage aliéné interprété par Jack Nicholson, dont le film ne cesse de décrire chaque défaut afin de tirer un ou deux rires. Sauf que, n'est pas Woody Allen qui vaut. Ce dernier a beau toujours mettre en scène le même type de personnage, il n'en demeure pas moins qu'il se renouvelle sans cesse, que les blagues sont très drôles au demeurant et les dialogues mille fois mieux écrits. Alors, à trop vouloir copier les formules qui marchent, on oublie parfois que le cinéma ne se limite pas qu'à un stupide jeu d'imitation (De nos jours, la comédie américaine a trouvé son gourou en la personne de Judd Apatow).
Deuxièmement, cette tendance minimaliste de certaines comédies à ne jamais manifester la moindre ambition dans la mise en scène parce que le seul but d'une comédie c'est de faire rire, ça devient très pesant. D'autant plus que l'humour sans mise en scène, c'est un peu comme des pâtes sans sel, ça n'a pas de goûts. Au lie d'être vue comme un artifice visuelle, celle-ci devraient être mise au service de la plaisanterie, afin d'éviter des effets supers lourd et éculés (les musiques qui viennent discrètement nous rappeler qu'il y a une situation comique qui se déroule sous nos yeux).
Et pour finir, la lassitude imprègne logiquement un spectateur continuellement confronté à des films démagos, qui nous rappellent avec une subtilité rare à quel point il est méchant de se moquer des homosexuels, des juifs, etc...qu'il faut être gentil avec tout le monde et patati et patata, comme si c'était le scoop de l'année!!!
Heureusement, le casting vient relever un peu le niveau du long-métrage, grâce à une Helen Hunt rayonnante.
Très bonne comédie américaine, fort bien servie par ses 3 principaux interprètes. Melvin Udall (Jack Nicholson) , homme bipolaire, acariâtre et un brin méchant, va se bonifier au contact de son voisin gay (Greg Kinnear) et ses déboires, il va aussi découvrir l’amour avec la sympathique Carol (Helen Hunt). Ici pas de vulgarité, pas de guimauve non plus, les dialogues sont de bonne facture. Je la découvre tardivement mais avec plaisir, il y a de l’humour et de la tendresse et c'est très bien joué.
Parfois on rencontre des chieurs, imaginez vous tous ces chieurs en une personne. C'est le personnage qu'incarne Jack Nicholson. Ce film est sympa, loin d'être le film du siècle celui-ci reste agréable à voir.
Doté d'un scénario très bien écrit, solide et atypique, "Pour le pire et pour le meilleur" est réussi dans tous les domaines. Tout d'abord, l'histoire est captivante du début à la fin et la réalisation offre des scènes touchantes, drôles et dramatiques. Par ailleurs, c'est surtout le casting qui marque véritablement ce long-métrage avec des acteurs très convainquants dont un Jack Nicholson fantastique !!! Le film laisse place à des sensations diverses chez le spectateur (rire, émotion, dégoût...) qui toutes, l'entraînent jusqu'au dénouement sans jamais cesser de le divertir !
Agréable surprise ! Par sa tournure et son esprit assez bonne enfant , ce film réussit à convaincre . Pourtant la première demi-heure nous laisse perplexe mais la suite réussit largement à nous amuser et à nous en faire voir de toutes les couleurs . Jack Nicholson est parfait , Greg Kinnear touchant et Cuba Gooding Jr hillarant !
Sans aucun doute l’un des meilleurs rôles de Jack Nicholson en jubilatoire Melvin aussi sympathique qu’exécrable. Ce romancier adulé pour ses œuvres d’amour déborde pourtant de défauts à n’en plus finir : maniaque compulsif, misogyne antisémite, misanthrope raciste… Et pourtant, on ne peut que s’attacher à ce personnage déluré tout simplement en manque d’amour, que combleront tout d’abord un chien à la bouille attendrissante puis cette serveuse dépassée par ses problèmes personnels que campe la géniale Helen Hunt. Ajoutez à cela un voisin homosexuel ruiné (magnifique Greg Kinnear) et vous obtenez un trio dépressif qui, ensemble, vont apprendre à se connaitre et à acquérir une joie de vivre exaltante, comme une seconde naissance. La réalisation de James L. Brooks est empreinte de magie et d’humour omniprésent, servie par des interprètes majestueux dans ce film dont on ne se lasse pas de regarder.
Nicholson encore une fois inoubliable dans l'un de ses plus grands rôles. Ce film nous présente la mutation d'un écrivain antipathique qui va prendre conscience du monde qui l'entoure et connaitre d'autres sentiments que ceux artificiellement décrits dans ses livres. Un très beau film!
Je n'ai pas du voir le même film que la majorité des spectateurs de ce forum, car franchement, ce film est assez insupportable. C'est beaucoup trop long, assez niais et bourré de clichés. L'actrice principale, oscarisée !..., est plutôt pénible. Nicholson en total contre-emploi, pas mal, mais on le préfère dans Shining ou Vol au-dessus d'un nid de Coucou. Le chien est remarquable, par contre... Dispensez-vous de voir ce film, il y a beaucoup mieux à faire.
J'aime bien le cast et c'est parfois ce qui me motive a regarder tel ou tel film mais ici attention c'est un piege!ni le cast ni les recompenses (je m'etonne que deja a l'epoque les oscars ne voulaient rien dire) un duo assez improbable meme ac la plus gde volonté du monde je me demande cmt la fille peut s'eprendre d'un tel personnage...bref en plus c'est cliché c'est con pas drole et surtout tres long...jamais a un moment l'equipe ou la prod ne s'est dit "les mecs faut qu'on arrete la une comedie de 2h15, c'est trooop long!", mince!!
Nous avons ici un film du célèbre James Brooks, réalisateur à forte personnalité, aimant montrer les choses simples de la vie selon un autre angle. Pour amener aisément le spectateur à s'identifier aux personnages et aux situations.
Cette réalisation là, est sa plus grande réussite.
D'abord grâce au casting mais pas seulement. A l'originalité de l'histoire, L'humour noir très bien mesuré, l'ambiance émotive chère à Brooks.
Nicholson donne ici, en 1998 sa dernière grande performance d'acteur, après quoi, ses rôles au cinéma dépeindront de lui une image évasive et brouillon. Il joue avec Helen Hunt un duo brillant, récompensé à juste titre aux oscars (ça change). Plus tous les personnages secondaire sont très bien développé et respecté.