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    Le Loup-Garou
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    3,4
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    44 critiques spectateurs

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    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    997 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 septembre 2013
    Après Dracula, la Créature de Frankenstein, la Momie et l'Homme Invisible, c'est au tour du Loup-Garou de revenir sur les écrans au début des années 40 et plus précisément six ans après Le Monstre de Londres qui présentait Henry Hull dans la peau du lycanthrope. Désormais mis en scène par George Waggner, le mythe du monstre poilu est revisité en se calquant de près sur les légendes ancestrales et les mythes urbains de l'époque et s'intéresse plus à la transformation progressive d'un homme ordinaire en monstre qu'à une succession de meurtres sanglants... Le film suit donc le retour au pays de Larry Talbot, fils d'un riche propriétaire gallois qui était parti aux États-Unis. Son frère ayant tragiquement succombé à un terrible accident, Larry doit reprendre la succession familiale. Il va peu à peu faire connaissance avec les gens du village et en particulier la jolie antiquaire Gwen. Mais au cours d'une ballade en forêt, le bel homme est mordu par un loup. Les jours qui suivront le transformeront en une créature monstrueuse et tueuse d'hommes, portant en elle une terrible malédiction. Et c'est sur cette malédiction que Waggner va s'appuyer, mettant en avant les légendes gitanes et autres fables des temps anciens pour une mise en scène époustouflante de vérité dans laquelle baigne une sublime atmosphère gothique. De plus, la somptueuse musique de Hans J. Salter et Frank Skinner, à la fois sombre et envoutante (Danny Elfman n'a rien inventé), et l'interprétation haut de gamme de Lon Chaney, ici impressionnant, de la sublime Evelyn Ankers et même de l'excellent Claude Rains (l'Homme Invisible en personne !) nous offrent un gage de qualité dans ce long-métrage court mais intense qui regorge de moments forts et d'une émotion sincère. Bien entendu, certains passages ont mal vieilli et plusieurs décors sentent bon le studio mais dans l'ensemble, Le Loup-Garou n'a quasiment pas pris une ride et demeure un spectacle toujours aussi réjouissant pour ce qui est probablement l'un des meilleurs Universal Monsters de tous les temps.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    399 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2016
    J’imaginais un film très codifié, il l’est un peu, mais reste aussi et surtout une oeuvre préoccupée par la nature humaine, mélanger légende et psychanalyse, avec une ambiance en tout point prenante par son esthétique brumeuse et ténébreuse, en plus d’effets spéciaux sobres (donc réussis) et d’un montage inventif à certains moments. L’histoire est certes très simple et ne provoque pas de réelles surprises ou sursauts mais le film en fait sa force pour caractériser son personnage principal, on ne va pas dans toutes les directions et c’est très bien, enfin la seule chose étonnante c’est qu’ils n’aient pas vraiment rentabilisé le maquillage du loup garou, parce qu’on le voit au final très peu, mais du moment que ça reste cohérent et bien filmé … Un réussite.
    Estonius
    Estonius

    3 433 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2013
    Précision importante, ce n'est ni un film d'horreur ni un film d'épouvante, mais un film fantastique (les critiques "même pas peur" sont par conséquent non avenues). Cela dit le résultat est assez moyen : la réalisation est fade, Lon Chaney est peu crédible (surtout quand il joue au séducteur), il n'y a aucun humour, et le rôle de la gitane est peu clair. Se regarde quand même sans déplaisir.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 430 abonnés 4 458 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 avril 2016
    Un petit classique du genre, pas forcément une totale réussite malgré sa réputation très positive.
    Premier problème : Lon Chaney Jr. Acteur que je ne connaissais pas bien, il joue ici assez mal. Encore honorable quand il doit jouer dans le registre dramatique, c’est clair que son face à face avec la jolie Fay Helm est ridicule, et qu’il ne sait pas jouer le romantisme. Globalement il a l’air la plupart du temps hagard, un peu perdu, et c’est vraiment dommage car, en dépit de quelques acteurs importants dans les seconds rôles (dont un Lugosi plus ici en clin d’œil qu’autre chose), ces seconds rôles n’ont pas grand-chose à faire.
    Le film en effet est court, et comme souvent les personnages restent superficiellement traités dans des films aussi serrés (1 heure 05). Surtout qu’il y en a beaucoup je trouve. Du coup l’histoire d’amour reste tout de même bien ténu, on reste un peu sur sa fin quant au mythe du loup-garou, et le métrage donne le sentiment de ne pas traiter pleinement son sujet. Franchement on ne s’ennuie pas, il y a de bonnes scènes, mais un quart d’heure de plus aurait vraiment autorisé une fin plus travaillée, de mieux révéler le glissement vers la lycanthropie du héros, voire de présenter moins synthétiquement les personnages.
    Sur la forme Le Loup-garou conserve ses qualités. Si la mise en scène de Waggner n’a rien de tonitruante, en revanche il y a une bonne ambiance, notamment avec des effets de brumes réussis, un cadre gothique toujours appréciable, une photographie soignée, et les maquillages ne sont pas mauvais. En fait on sent un vrai soin apporté au décor, au contexte du film, et c’est vraiment une constante sur les films de cette époque : souvent une très belle réussite formelle, qui les ont placé comme des classiques du genre, mais au service d’une intrigue et de personnages qui manquent de relief.
    C’est exactement ce que l’on a là. Ca vaut le coup d’œil, c’est sûr, surtout si on aime le genre, mais ce n’est pas indispensable. 3.
    Caine78
    Caine78

    6 764 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    L'un des classiques du studio universal en matière de film d'horreur. Ca a vieilli a tous les points de vue (effets spéciaux, jeux d'acteurs...), mais ca garde tout d emême un certain charme, avec une bonne petite atmosphère.
    Eselce
    Eselce

    1 411 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2018
    En tentant de sauver une femme d'un loup, un homme se fait mordre et subit la malédiction du loup-garou. Une histoire intéressante avec des gitans, des pentacles, une canne en argent et de la lycanthropie. J'aime bien les explications du film qui forment la légende des loups-garou. C'est assez bien joué, le scénario passe bien, seul le déguisement du loup-garou est mauvais, surtout le visage. Un gros chien aurait donné un meilleur effet pour ce film en noir et blanc. D'autant que le premier loup-garou que l'on voit mal ressemblait réellement à un loup ou chien de taille ni trop grande ni trop petite. Pas mauvais pour un film de 1941, pas trop long, pas trop court, un bon rythme et quelques scènes de charme sympathiques. Pauvre Larry...
    romano31
    romano31

    283 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2018
    Le Loup-Garou fait parti, avec Dracula et Frankenstein entre autres, de ces figures cultissimes du cinéma d'horreur et qui ont marquées l'histoire du cinéma tout court. Première adaptation sur grand écran, j'ai trouvé le film sympathique mais quelque peu longuet à certains moments (déjà que le film n'est pas très long...). De plus, je n'ai pas trouvé l'acteur principal des plus charismatiques. En revanche, l'atmosphère y est, les maquillages sont plutôt réussis et la réalisation de George Waggner est maîtrisée. Sympathique et cultissime par son aspect et son apport au cinéma, Le Loup-Garou n'est pas des plus mémorables non plus. A noter la présence du grand Béla Lugosi.
    7eme critique
    7eme critique

    539 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2018
    "Le loup-garou" est un classique de l'horreur des studios Universal.
    De jolis décors, une histoire entraînante, un monstre désormais culte et indispensable dans le 7ème art, "Le loup-garou" se laissera facilement découvrir, bien que l'on regrettera une fois de plus, et comme ce fut le cas pour ses confrères "Dracula", "Frankenstein" ou encore "La Momie", sa façon de se clôturer, quelque peu expéditive.
    Cinememories
    Cinememories

    485 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2021
    Nouveau monstre, nouvelle culture, nouveau look. George Waggner a la lourde tâche d’introduire un personnage très discutable dans l’univers des monstres Universal. Après avoir exploité le succès de Frankenstein à travers quelques suites de bons goûts, l’homme-loup apparaît comme un cousin éloigné des vampires et du mythe de Dracula. Entre le glauque et de subtil, on parvient à élargir cette famille de monstres, liés aux hommages de ceux qui ont précédés.

    Essentiellement nocturne, on nous plonge dans un studio dont les décors bluffent. On s’y croit à l’air libre, tout en baignant dans l’atmosphère dérangeant qui souligne les superstitions qui en découlent. L’Angleterre devient alors une terre où ce genre de croyance alimente les méfaits de la lycanthropie. Il s’agit d’un maléfice qui ronge l’âme et qui fait resurgir des instincts primaires. Larry Talbot (Lon Chany Jr.), jeune héritier d’un domaine, correspond parfaitement à la définition que l’on s’efforce de développer. Cet homme, aussi touchant, tendre et cultivé est tranché entre deux bords, celui de la rationalité et d’une malédiction qui le mettra à l’épreuve. Innocent, il finit tout de même par se faire agresser. Et de cet affrontement dont il ne ressort pas indemne, il devient le monstre qui l’a attaqué, comme si cette rencontre l’attirait dans le côté obscur. Il découvre ainsi une nature animale qui le contraint à réagir à ses pulsions, sous l’effet de la lune.

    On peut ainsi y voir une double personnalité dans ce personnage tourmenté, qui peine à rester crédible une fois transformé. Le maquillage ne lui rend pas service, malgré la prestation de l’acteur. Le concept de bête incontrôlable nous en fait immédiatement écho au cas du docteur Jekyll et de M. Hyde. Cependant, on ne donne pas assez de temps et de relief à cette face cachée, indomptable, même pour le père du concerné, Sir John Talbot (Claude Rains). Tout le jeu de cache-cache prend forme de façon honnête, tout en faisant le pont avec la montée du Nazisme au moment même où le film est réalisé. Une discrimination sans concession, la chasse au lieu de la compréhension et de la curiosité, tous les facteurs peuvent rappeler ce naufrage où l’humanité s’est abandonnée dans un conflit qui se veut uniquement bestial.

    « Le Loup-Garou » convainc par son décor brumeux et presque authentique. Tout est présent afin que l’on baigne dans l’étrangeté et ce bon point rattrape bien les déchirures scénaristiques. La métaphore se transmet correctement afin que l’on s’identifie rapidement aux personnages, superstitieux ou non. Le passif d’un homme parvient à nous captiver, à défaut de nous émerveiller. Néanmoins, les bases ont été posées, en attendant de découvrir de nouvelles aventures aux côtés de la bête.
    Terreurvision
    Terreurvision

    217 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2013
    Moins théâtral que Dracula, mais peut-être un cran en deçà de Frankenstein, Le Loup-Garou a tout de même pris un petit coup de vieux, notamment en terme d'effets spéciaux. Malgré ses imperfections, il n'en demeure pas moins un grand classique. Si l'on accepte sa simplicité, on se laisse volontiers entraîner dans son univers, non sans un certain plaisir nostalgique. Notre critique complète est en ligne sur le site terreurvision.
    benoitparis
    benoitparis

    112 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2010
    Ça cristallise tous les schémas du récit et du film fantastiques avec une économie remarquable. On retrouve les thèmes des rapports entre l'Amérique moderne et l'Europe archaïque, le retour du fils prodigue, l'aristocratie prédatrice, la bestialité et le sexe, le fétiche ou le totem et le chamanisme, et même les rapports oedipiens père-fils. Tout cela et aussi le thème de la morsure rapprochent du thème du vampire. La réalisation est sobre, presque discrète, avec un tel arrière fond... Un excellent moment. Les cinéphiles connaissent toute la valeur du cinéma fantastique de l'Universal des années 30 et 40.
    dougray
    dougray

    242 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2013
    Icône du bestiaire de monstres des Studios Universal, le Loup-Garou a un peu plus subi les affres du temps que le classieux Dracula et l’intemporel Frankenstein. Pour autant, "The Wolf Man" restera comme la première apparition marquante du légendaire monstre à l’écran ("Le Monstre de Londres", sorti quelques années avant, ne bénéficiant pas de la même place de la culture populaire aujourd’hui) et se regarde, aujourd’hui avec un plaisir certain… pour peu qu’on ne soit pas réfractaires aux films d’horreur des années 30 (voir 40, le film étant sorti en 1941). Car, le film réunit tous les ingrédients qui raviront les nostalgiques de l’horreur à l’ancienne avec sa légende ancestrale que tout le monde connaît mais à laquelle personne ne veut croire, sa musique d’autrefois venant accentuer l’ambiance, ses forêts brumeuses… Mais le film dispose de quelques atouts par rapport à ses concurrents de l’époque à commencer par le talent du réalisateur George Waggner qui est parvenu à donner à son film un rythme qui reste acceptable aujourd’hui encore (même si on peut regretter quelques baisse de rythme par moment) mais, surtout, à ancrer son intrigue dans une époque difficilement cernable, ce qui offre à "The Wolf Man" un caractère intemporel plein de charme. Mais, l’atout principal du film reste, selon moi, son scénario qui fait la part belle à la tragédie vécu par son héros, Lawrence Talbot (Lon Chaney Jr, formidable d’humanité), qui est, avant tout, une victime et qui souffre du mal qu’il fait aux autres. Les tourments de cet homme qui se sait coupable, sans pour autant être responsable de ses crimes, confère au récit une dimension à laquelle peu d’autres films d’horreur de l’époque peuvent prétendre (à part, peut-être, "Frankenstein" avec un monstre moins humain). A ce titre, le final, bien qu’attendu (pourquoi donner la canne au père ou priver la belle de son talisman si ce n’est pour arriver à cette conclusion ?), parvient à émouvoir, notamment grâce à l’empathie immédiate que suscite l’interprétation de Lon Chaney Jr. Il serait injuste d’oublier la prestation de Claude Rains en père dubitatif, de Maria Ouspenskaya en vieille gitane ou encore du furtif Bela Lugosi en gitan. J’ai moins été convaincu par Evelyn Ankers, peu marquante dans le rôle de la belle du héros, ou encore par Ralph Bellamy en enquêteur un peu transparent. Enfin, difficile de ne pas évoquer le maquillage du loup-garou, confectionné par l’artiste Jack Pierce, qui, certes, est moins impressionnant que les autres créations marquantes du génie (à commencer par Frankenstein et la Momie) mais pas forcément moins iconoclaste. On s’amusera, d’ailleurs, des scènes où ce pauvre Talbot se transforme en loup-garou, ces scènes paraissant franchement datées aujourd’hui mais étant filmés avec assez de retenu pour ne pas sombrer dans le ridicule. "The Wolf Man" est donc l’un des meilleurs films d’horreur classiques des studios Universal et est parvenu à marquer durablement le cinéma en posant les bases d’un univers qui valent encore aujourd’hui (la pleine lune, les transformations progressives, la brume, l’argent comme moyen de défense…).
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 089 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 octobre 2011
    Je voulais voir ce film depuis que j'ai vu l'horrible remake, de mémoire il ne me semble pas déjà avoir adoré un film de loup garou, malgré que j'aime beaucoup le concept. Ce film laissait présager du bon, Lon Chaney, Bela Lugosi, les fans de vieux films d'horreurs peuvent saliver. Alors je suis très déçu, parce qu'en fait ce film c'est rien du tout, c'est très court, il ne se passe pas grand chose du coup, et pourtant il semble bien long. Je veux dire, c'est pas vraiment un film d'horreur, c'est juste un mec qui se transforme en loup malgré lui, il n'y a pas le but de faire peur, mais il n'a pas le but d'émouvoir non plus, ni de faire rire. Du coup je ne sais pas trop ce que voulait faire le réalisateur. Je préfère mille fois regarder un Tourneur, où la mise en scène va créer une tension folle, une ambiance macabre, parce que là malgré la brume, le petit village isolé, j'ai l'impression que tout est du toc, je n'arrive pas à y croire, il n'y a aucun personnage qui soit vraiment développé, je sais pas, pour moi c'est vraiment pas terrible, même si l'histoire n'est pas trop mal, je reste très déçu, parce que finalement ce film c'est pas grand chose.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    762 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Sympathique découverte que ce long métrage de George Wagger qui dispose d'un casting assez prestigieux ( Lon Chaney Jr et Claude Rains sont excellent ) et des maquillages qui sont d'une totale réussite pour l'époque. Cette histoire sur le thème de la lycanthropie est agréable à visionner ( même si le scénario n'est pas d'une grande originalité ) et certaines séquences s'avère bien marquantes, grandement aidé également par une photographie en noir et blanc qui n'a pas prit la moindre ride. A découvrir donc pour les fans des films de loup-garou.
    Charlotte28
    Charlotte28

    126 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2024
    Une fois acceptées les limites techniques, on s'immerge dans l'atmosphère gothique de ce châtelain paysage où une légende millénaire plane. Très resserré, la narration efficace est raffermie par un montage dynamique (avec une excellente symétrie entre la première et l'ultime attaque) et le refus du superflu, tout en peignant avec une acuité psychologique habile les divers protagonistes - dont un père très moderne dans son approche de la vie sentimentale de sa fille! Du très bon fantastique!
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