Allez, on continue la série, après « Faster Pussycat », j’vais pas m’faire chier à écrire de nouveau le titre en entier hein, position flemmard activée ! Je disais donc, on continue et nous arrivons à ce « Motorpsycho » dans lequel trois loubards en bécane passent leur temps à agresser et violer des nanas. Typiquement le genre de mecs qui font bien chier le monde. Mais y a un véto qui dit merde et qui entend bien mettre un terme à ces agissements. En ce qui me concerne, le constat reste inchangé, ça démarre assez fort, on se dit ouais d’accord, c’est encore plus fauché que fauché mais ça peut le faire. Mais encore une fois l’ensemble s’effiloche violemment et brutalement et on finit par s’emmerder encore une fois. Si l’on s’en tient à l’aspect purement cinématographique, ça ne vaut presque rien. En revanche, si l’on s’aventure sur le côté voyeuriste, nous les mecs, on est encore servis par le père Meyer. Encore des jolies nanas, avec de bons gigots et des gros nénés bien comme il faut. A chaque fois qu’on parle d’un film de Russ Meyer, on ne peut pas s’empêcher de parler de nichons, on devrait pourtant le savoir que c’est la marque de fabrique du réalisateur. Mais à chaque film, les nénés sont plus gros, alors c’est difficile de ne pas les mentionner merde ! Voyez-vous, les deux films que je viens de m’envoyer ne font que me confirmer une remarque que je m’étais faite en moi-même. Si Russ Meyer ne s’était pas laissé emporté par ses délires (« Ultravixens » étant l’exemple parfait d’un craquage à la Meyer), ses films auraient pu avoir largement plus de gueule ! Mais bon, on ne peut pas lui en vouloir, étant qu’il nous a laissé, ne l’oublions pas le jouissif « Supervixens ». Voila, en ce qui concerne le cinoche de Russ Meyer et moi c’est terminé, j’ai vu les six films que je voulais voir. Sur ce, salut mon pote !