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nouette
3 critiques
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4,0
Publiée le 4 décembre 2023
Un film magnifique mêlant suspense et esthétisme. Il soulève également plusieurs thématiques plus que d'actualité telles que le consentement, la notion de complicité, l'abus. Je le visionne 32 ans après sa sortie et il n'a pas pris une ride. Un chef-d'œuvre à voir absolument.
Comme tous les road-movie cette histoire est une véritable ode à la vie et à l'accomplissement de soi dans la quête de liberté. Cette pulsion de vie est incarnée dans le personnage de Thelma qui provoque les situations qui vont faire basculer leur destin. À chaque "infraction" vient se calquer une nouvelle étape de l'évolution individuelle des deux personnages qui prennent conscience de leur liberté et de l'enrichissement personnel qu'elle leur procure. On ne peut que mettre en apposition - et c'est le principe du road-movie - la pulsion de vie et sa réalisation dans une fuite transgressive, le besoin de se soustraire à une société surprotectrice, étouffante, voire de coercition. Le message ici est le même que dans d'autres chef-d'oeuvres d'hymne à la liberté tel que Le Cercle des Poètes Disparus : derrière nos vies rangées et contrites se cache un vrai potentiel à être, un aboutissement dont l'ultime ressort sont la compassion et un amour authentique. Ici, vécu dans une désintégration du moi "sociétal" pourrait-on dire, pour s'incarner enfin pleinement jusqu'à une forme ultime du don de soi. C'est cette "folie" présumée que porte Thelma et qui est son joyau intérieur attendant de se révéler.
Incroyable film. Tout simplement. Il faisait pour moi partie de ces films cultes que l'on a toujours pas vu, et quelle séance quoi! Un jeudi soir de novembre, salle presque remplie au Pathé Grenoble, et Ridley Scott qui dévoile un film émouvant, naturellement féministe et même w*ke avant l'heure, à la soundtrack rebelle et lancinante, aux actrices et acteurs parfaits, et aux dialogues qui font marrer la salle à l'unisson. Complétement génial, foncez si vous ne l'avez pas encore découvert, absolument.
C'est en voyant la bande-annonce de ce film sur internet que mon intérêt s'est éveillé. Et je n'ai pas été déçu en le visionnant. Quelle claque ! On se laisse embarquer dans ce road movie à la fois drôle, émouvant et rempli de suspense. Les images sont magnifiques. C'est évidemment l'un des meilleurs films de Ridley Scott. On apprécie également que le féminisme ne soit pas appuyé lourdement comme il peut l'être dans les films d'aujourd'hui. Dans Thelma et Louise, tout est subtil.
TOP GIRLS : Datant de 1991, « Thelma et Louise » est ressorti en format restauré : une bonne occasion de retrouver un « road movie » (voiture décapotable, grands espaces, poussière dans le soleil couchant) transcendé par la superbe photographie d’Adrian Biddle. Mais la principale force du film réside dans l’alchimie lumineuse entre deux actrices exceptionnelles : Geena Davis (Thelma) et Suzanne Sarandon (Louise), qui traversent une partie des Etats-Unis dans une cavale romantico-rocambolesque. Au-delà du film d’action ordinaire, les deux jeunes femmes ne fuient pas seulement la police, mais les caractères les plus nauséabonds du patriarcat (violence, machisme, bêtise, autoritarisme, vulgarité, etc..). Mis à part le personnage de policier bienveillant d’Harvey Keitel, force est de constater que les hommes en prennent pour leur matricule ; y compris le beau gosse de service (Brad Pitt). Il faut reconnaitre le courage du producteur et réalisateur, Ridley Scott, d’avoir porté un film de femmes en pleine période de films d’action sous testostérones, comme le « Top Gun » de son frère, Tony, sorti en 1986. Le mélange des codes est partout dans le film. On notera par exemple que la transformation physique et psychologique des deux femmes passe par l’appropriation des attributs de la masculinité (armes à feu, jean, chapeau de cow-boy et casquette de routier). Quant au plan final, devenu iconique, il symbolise explicitement que deux femmes émancipées n’ont besoin de personne pour s’envoyer en l’air (dans tous les sens du terme) ! En avance de phase sur le basculement des rapports de forces homme-femme dans la société, « Thelma et Louise » mérite totalement son statut de film culte et se revoit avec grand plaisir.
Un film génial intemporel qui ne prend pas de rides. La composition des acteurs et actrices est juste parfaite de Susan Sarandon à Geena Davis en passant par Michael Mardsen, Harvey Keitel et Brad Pitt que j'ai tellement déteste pour son rôle. La photographie est fantastique, les émotions à fleur de peau on y laisse toujours des larmes et que dire de la bande son ??? Ridley Scott est l'un des plus grands réalisateurs.
Malgré un rythme pas toujours présent et un scénario fragile le film mené par l'excellent duo Davis-Sarandon s'avère rafraîchissant. Les personnages sont atypiques et bien écrits. Avec en plus un humour habile et quelques scènes vraiment très singulières. Sans oublier le sujet d'émancipation féminine.
Cela faisait longtemps que je voulais voir ce Thelma et Louise, et c'est enfin chose faite après toutes ces années. Et bien je peux dire que je n'ai pas été déçu du résultat.
Je ne savais pas qui avait réalisé ce classique avant de me renseigner dessus, et après avoir vu qu'il s'agissait de Ridley Scott, j'ai été encore plus motivé de le voir. C'est dingue comme Ridley Scott est capable de réaliser de grands films dans tous les genres possibles et imaginables. Il a révolutionné la science-fiction avec Alien et Blade runner, remis au goût du jour le péplum avec Gladiator, réalisé de grandes fresques historiques comme le dernier duel, ou avec le futur Napoléon qui s'annonce prometteur. Et voilà que Ridley Scott s'essaie encore à un nouveau genre avec une comédie dramatique en road movie.
On suit l'histoire de deux amies, lassées de leur vie familiale et qui ont besoin de se consacrer du temps à elles et de faire ce qu'elles veulent. Elles partent donc un week-end en Arizona, histoire d'oublier leurs conjoints et tous les problèmes qui y sont liés. Mais suite à un événement tragique, tout va basculer, et on va embarquer pour un road trip plein de rebondissements, sans voir passer les deux heures de film.
Dans cette folle cavale, même si le contexte est grave, on a cependant droit à quelques moments de légèreté et de rire. On s'émeut du sort de ces deux femmes en quête de liberté. Thelma et louise prennent leur revanche sur les hommes qui ne cessent de les rabaisser à leur condition de boniche ou de putain. C'est en ce sens, une belle histoire d'émancipation de la femme face au poids des diktats masculins. Mais, c'est aussi une belle histoire d'amitié entre deux copines qui se complètent plutôt bien. Louise est une femme forte, plutôt sûre d'elle et indépendante et Thelma aimerait lui ressembler davantage avoir le courage de vivre plus comme elle.
Le film est porté par un duo d'actrices convaincantes et attachantes. Ainsi que des personnages secondaires plutôt efficaces. Brad Pitt est irrésistible en campagnard escroc, Harvey Keitel joue un flic compréhensif qui aimerait aider ces femmes, et les compagnons des deux protagonistes sont aussi très justes et donnent place à des scènes drôles et touchantes. Le tout est accompagné d'une bande son qui nous plonge dans cette Amérique profonde, où l'on croise à peine âme qui vive à travers ces coins de route reculés.
Thelma et Louise, c'est enfin une fin iconique que je connaissais malheureusement déjà avant le visionnage du film, mais qui n'en reste pour autant pas moins impactante.
Réalisé en 1991 par Ridley Scott, sur un scénario de Callie Khouri qui lui valut un Oscar mérité du meilleur scénario original, Thelma et Louise mérite largement son statut d’œuvre culte. Ce film fondateur prend la forme d’un pamphlet dénonçant une société états-unienne rongée par la domination des hommes et de la masculinité toxique sous toutes ses formes. Porté par un somptueux duo Susan Sarandon/Geena Davis, ainsi que par Harvey Keitel et un Brad Pitt dont ce fut le premier rôle marquant, Thelma et Louise raconte l’émancipation de deux femmes à travers un road trip spoiler: qui se transforme malgré elles en cavale meurtrière . Tourné dans des paysages de grands espaces nord-américains magnifiques, cette ode à la liberté est à la fois porteuse d’espoir et terriblement désespérée. Tour à tour drame, comédie, road movie, thriller, western, policier, ce film d’une actualité incroyable reste un hymne féministe d’une puissance incontestée, à la séquence finale bouleversante.
Ce road movie, innovant pour l'époque, traverse fort bien les années. Les deux actrices sont au top, l'histoire envoûtante et on ne peut qu'adhėrer à cette amitié féminine. Tout part en vrille pour un incident. Mais, finalement, cet événement arrive à point nommé pour ces desperate housewives avant l'heure. Belle freque aux paysages grandoses et à l'interprétation magistrale. Du bon cinéma.
Le film est devenu un modèle de road movie réussi . Si , sans doute, on pourra débattre sans fin, à raison, sur les partis pris féministes parfois contradictoires ; reste que le tout est porté par des interprètes principaux inspirés , que la photographie et les paysages sont magnifiques, que le tout ne manque pas d'humour . Un classique instantané , à remettre dans son contexte , qui est aussi un regard ironique et british sur l' Amérique à la charnière des années 80-90. Un petit bémol cependant sur les seconds rôles , caricaturaux et horriblement surjoués, en dehors du trio Keytel-Pitt Madsen bien sûr . Et sur certains tics de mise en scène , qui auront d'ailleurs tendance à s'aggraver avec le temps chez Ridley Scott . reste que l'on aurait tort de bouder son plaisir : Sarandon et Davis sont formidables , l'émotion est toujours présente , sans pathos, et on ne s'ennuie pas une seconde . Et , en prime la très belle "ballade de Lucy Jordan" par Marianne Faithfull.
Un tres bon road trip realise au debut des annees 90,un film feministe a la bonnie and clyde. On s attache beaucoup a ces 2 femmes dont la vie est en plus d etre morne et ennuyant il est peu reluisant. En effet l une s sst fait violer et l autre est marie a un tyran domestique. Pour tenter de s evader de cette vie malheureuse,elles decident de s octroyer un week end. Cette viree va etre un chemin initiatique. Un beau film
Si il faut tuer des mecs, voler les gens, se bourrer la tronche pour être soi disant une femme libre ...se ridiculisé au passage passer pour une p...aguicher les mecs et après les traiter de gros porc . La femme qui veux que la respect alors que elle ne se respecte déjà pas elle même.
On faire passer un message de manière intelligente et plus fine .J'apprécie Susan Sarandon comme actrice Geena Davis bof sans plus Bête et stupide et énervante dans cette comédie satirique. Susan Sarandon qui pourrait être la plus censé des deux .Aller viens copine on se fout en l'ai avec la voiture les vilains messieurs ne nous auront pas vivante .Tu parles d'une liberté elles se sont surtout retrouver enfermer dans leur connerie. Alors T et L c'est ça vu et je me suis vite lasser et les débuts de BPitt le sex smbol relaguer a sortir son truc pour le plaisir de G Davis complément paumée et chialeuse.
Long et chiant hôtel sordide ,sale actrices enfin leur personnage débrayées au lieu de nous faire une virée à travers tous les Etats-Unis tourner en rond pour finir par se balancer d'une falaise elles auraient essayer le gaz....
Deux nanas completement paumées qui se font tirer par ci par la et au passage les hommes les vilains vos pères,vos frères vos fils sont des hommes ...
Tout sauf la libération de la femme je me suis senti humilier par certaines scénes je me suis fait ch... Voila ce qui arrive avec les féministes extrémes on humilie la femme elles se mettent pire que les hommes au final.