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Un visiteur
0,5
Publiée le 28 janvier 2014
dans le genre nanar y a pas mieux, lawrence Fishburn qui est un excellent acteur a un role antipathique insupportable le donneur de leçon le ,pseudo patriarche d'un peuple c'est complètement ridicule , toujours les mêmes dialogues téléphonés boooo vilains blanc n'importe quoi je croyais que american histoire x était l'un des pires films sur le racisme mais là ça touche le fond et le dépasse largement
dans le genre nanar y a pas mieux, lawrence Fishburn qui est un excellent acteur a un role antipathique insupportable le donneur de leçon le ,pseudo patriarche d'un peuple c'est complètement ridicule , toujours les mêmes dialogues téléphonés boooo vilains blanc n'importe quoi je croyais que american histoire x était l'un des pires films sur le racisme mais là ça touche le fond et le dépasse largement
dans le genre nanar y a pas mieux, lawrence Fishburn qui est un excellent acteur a un role antipathique insupportable le donneur de leçon le ,pseudo patriarche d'un peuple c'est complètement ridicule , toujours les mêmes dialogues téléphonés boooo vilains blanc n'importe quoi je croyais que american histoire x était l'un des pires films sur le racisme mais là ça touche le fond et le dépasse largement
Mon dieu que ce film à mal vieillit ! Visuellement, c'est une torture à tel point que mes yeux on saigné pendant les deux heures du film. Boyz'n the hood, n'a qu'un peu plus de 20 ans, et pourtant il est deja incroyablement kitsch. A travers les vêtements d'abord. Des chemises orange rentrées dans le pantalon, des coupes en brosses, des tétines (???)... Mais ça c'est normal me direz-vous. Ça n'entre pas en compte dans la qualité du film. Ce qui est plus problématique c'est que ce film est également démodé dans la réalisation. Visuellement, on dirait un vieux sitcom ds années 90. La photo est absolument dégueulasse et le réalisateur ne va jamais plus loin qu'un banal champ / contre-champ. Mais le pire dans tout ça, c'est la musique. Je m'attendais à du "gangstarr", du "Ice-Cube" ou du "Public Enemy". J'ai trouvé une BO a base de piano minable et de saxophone langoureux digne des téléfilm érotiques qui passaient autrefois sur M6. Mais en faisant abstraction de ses défauts, il faut reconnaître que John Singleton aborde son sujet de manière réaliste et intelligente, bien qu'un brin moralisateur. Il n’empêche que préfère nettement des films comme "Menace II Society" ou" Colors".
"Boyz'n the Hood" est un film magistralement bien orchestré avec des acteurs charismatiques et doués. Le film raconte la vie de trois jeunes de la banlieue noire de Los Angeles assez caricaturaux: un sportif, un intello et un délinquant. Ces trois jeunes vivent dans un monde difficile et dangereux : drogue, trafics, meurtres, intra-racisme, oppression policière, etc. Essayant de s'en sortir, ils devront faire face à de nombreux problèmes. Loin de la caricature, le film est plutôt démonstratif, parfois choquant. Et je pense qu'il est également très proche de la réalité de l'époque (pour une partie des gens en "ghetto noir"), et avec quelques distorsions, de la réalité d'aujourd'hui.
Un très bon film qui essaie de montrer une autre facette des quartiers afro américains tout en montrant la réalité c'est à dire la violence, les trafics etc mais ceci n'est pas mis au 1er plan ce qui est encore plus fort car la facilité n'est pas choisi dans ce film. Le scénario est bien écrit même si il y a quelques longueurs et le casting est intéressant avec des acteurs qui s'en sortent très bien.
Doté d'un scénario réaliste, "Boyz'n the Hood, la loi de la rue" nous entraîne dans une histoire vraiment touchante. De ce fait, la réalisation est simple et colle au plus près de la réalité avec un but de crédibilité. Les acteurs sont convaincants, naturels et émouvants. Ainsi, le film est divertissant mais surtout captivant grâce à un travail maîtrisé.
Le propos est fort, très fort même tant le sentiment d inexorabilité de la violence quotidienne de cette jeunesse est prenant. Le film est aussi entraîné par les excellentes partitions de Laurence Fishburne et d un surprenant Ice cube. Si le propos est fort, le film est selon moi un peu plombé par quelques maladresses de débutant.
Encore aujourd'hui, il reste un classique. Un film superbe qui n'a pas pris une ride. Pas de mélodrame, tout y est filmé avec simplicité et sincérité. La BO est elle aussi infatigable !
Un drame sincère sur la vie des quartiers afro-américains dans les années 90, un récit plus porté sur l'émotion que sur la simple violence. Chronique d'un gamin des quartiers, le scénario raconte la vie d'une bande de potes et de Tre, jeune homme responsabilisé par un père honnête et par son meilleur ami qui veut réussir sa vie, mais la violence de leur environnement va s'opposer a leurs rêves, une chronique triste et très sincère, que l'on sent écrite avec l'expérience et pas avec de la guimauve, et qui arrive a placer la violence au bon moment sans jamais tomber dans les gros clichés. Encore au début de sa carrière (et loin de s'imaginer dans les nanars qu'il fait aujourd'hui), Cuba Gooding Jr. semble presque timide devant la caméra, une sorte de malaise qui colle a son personnage, Ice Cube est le personnage type de la violence des quartiers, et Laurence Fishburne dégage une sorte de sagesse dans le rôle du père responsable. Fait avec peu de moyens, John Singleton arrive a recréer la vie de ces quartiers et éviter les excés avec une certaine efficacité, bien loin de son nanardesque "Identité Secrète"... Un drame fort, sincère, porté par un bon casting et par une envie de montrer la réalité a l'écran palpable.
Boyz N' The Hood est considéré comme le premier d'une nouvelle vague de films sur les ghettos noirs dans les années 90 (ex: Juice, Menace II Society, Above The Rim, Fresh, Clockers, Génération Sacrifiée...). Toutefois, quelques mois plus tôt sortait New Jack City de Mario Van Peebles (accessoirement fils de Melvin Van Peebles, réalisateur en 1971 du culte Sweet Sweetback's Baadasssss Song, film référence du courant blaxploitation), film policier dont certains thèmes correspondent avec le film de John Singleton et auquel participait un autre grand nom du rap US, Ice T.. Si la direction des acteurs laisse parfois perplexe, Laurence Fishburne connaît là, néanmoins, un de ses meilleurs rôles. L'art de la mise en scène n'est pas non plus le point fort du réalisateur de Boyz N' The Hood avec des prises un peu maladroites et un goût prononcé pour le pathos, mais l'atout du film est la sincérité de l'histoire qui s'inspire de la vraie vie de Singleton. D'autre part, celui-ci n'hésite pas à sortir des clichés. En effet, le racisme évoqué ici est le plus souvent celui entre les Noirs eux-mêmes. Ce film a donc eu une influence essentielle en montrant au grand public l'univers des ghettos américains et en diffusant une musique hip-hop en plein essor. Dommage que la réalisation soit un peu lisse et légèrement maladroite.