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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Le meilleur film sur les quartiers populaires des pays occidentalisés. Le manque de père est donc la cause de la salle vie dans les ghettos. Le film repose sur cette trame, on regrettera que Singleton ne soit pas, contrairement aux idées reçues, un réalisateur engagé, le film étant plus autobiographique que militant.
Un excellent film, superieur en tout point a "Menace II Society". La au moins il y a des messages, et les cliches sont inexistants. Le film semble touche de tres pres la realite, et c'est qui fait de ce film un film inoubliable, qui fait reflechir...
Ce film réussi à faire passer des émotions et je crois que c'est le plus important. Et la dramaturgie, le rythme. J'ai pleuré comme j'ai jamais pleuré.
Un film old-school culte et bien réalisé ! Film simple mais super captivant,des acteurs intéressants et des personnages tous bien créés auxquels on s'attache très vite ! On y voit aussi une sorte de réalité dans les ghettos Américain,je le conseille fortement ! 4.5/5
Un film intelligent et criant de vérité, traitant de la réussite, Boyz'n Hood accuse un certain poids des années, mais reste une référence en terme de critique de la vie dans les ghettos américains.
Trés beau film, avec une bonne moral à la fin pas comme des films de cité française a la "ma cité va craquer" Mais bon celui la et le tout premier que g vu il et trop bien g du le voir plus de 100 fois!!!!!!
Ce premier film de John Singelton est très politique. Dans la lignée de Spike Lee à New York, Singelton s'intéresse à la vie de la communauté noire de Los Angeles. Etre ado au début des années 90 à Los Angeles n'est pas un cadeau. Rentrer dans la vie adulte au milieu de la guerre des gangs, du trafic de drogue et des vendettas assassines, est un parcours semé d'embûches. C'est pourtant le quotidien de Darin et Rick, deux demi-frères élevés par leur mère, le premier alternant incarcération et liberté conditionnelle, le second, père adolescent, rêvant d'obtenir une bourse grâce à son talent de footballeur. Et puis il y a Tre, qui a la chance d'avoir ses deux parents et d'être élevé par son père Furious (Lawrence Fishburne), courtier en immobilier et activiste. Dans ces quartiers difficiles, abandonnés de tous, la loi de la rue ressemble à la loi du Talion mais la seule victime est le jeune homme noir qui tombe sous les balles de ses frères. C'est la révélation de Cuba Gooding Junior et de Maurice Chesnut, mais le film est porté par Lawrence Fishburne et Ice Cube. Ce dernier crève l'écran pour son premier rôle, plus par son charisme que son jeu d'acteur, il incarne à merveille le personnage de Darin, sans excès, avec beaucoup de pudeur et de justesse. Le dernier quart d'heure du film est bouleversant, accompagné par le morceau légendaire de Stanley Clarke : Black on Black crime.
Alors je ne recommande pas du tout! Ce film n’a rien d’un classique. Acting moyen et quasiment pas de développement de personnage ou même de l’histoire. J’étais à la fin du film que je me demandais encore à quel moment l’histoire débute… Je donne pas plus de 2/5 étoiles
Boyz'n the hood nous plonge dans l'univers violent et sans loi que sont les ghettos de la ville de LA. Contrairement à Menace to Society, le film a un réel approfondissement autour de la bande de Tre et ses "frères"; et même si l'approfondissement est utilisé pour donner un sens moral et un peu manichéen spoiler: Par exemple quand le père de Tre fait un discours sur l'organisation des quartiers noirs au film, cela nous permet de nous attacher à eux. Il n'est pas réellement question de scénario complexe ici puisque le film est engagé et a pour but de dénoncer, alors autant que le plus grand nombre comprenne. La musique est sympa et va très bien avec l'ambiance, elle est comme entrainante et porteuse. Il est important de noter que le film a été réalisé par un réalisateur qui connaissait très bien son sujet puisqu'il aurait très bien pu être l'un des acteurs. Les scènes que nous montre ce film sont des scènes qui arrivent tous les jours dans ces quartiers. L'époque a changé mais le résultat est le même: Les jeunes grandissent en voyant des dealers faire de l'argent facile ou finir criblés de balles tandis que d'autres vont en prison. Ce film est doté d'un réalisme très légèrement moraliste mais il sonne juste gràce à une retranscription de l'ambiance qui est très bonne et surtout une interprétation remarquable de ces jeunes acteurs. On pourrait lui reprocher de vouloir faire passer son message trop clairement au travers de Furious.
Mis à part un casting plus que douteux et une composition musicale au ras des pâquerettes, John Singleton peine à faire passer son message, qui se voudrait moralisateur. Cependant il se peut que quelques amateurs de hip hop trouvent en son film du divertissement.