Avis sur Young Guns 2

J'ai vu un film... dans la lancée de la V1, vue il y a qq semaines... Eh bien, là, ce fut une successions d'occasions ratées de faire un bon film sur une excellente idée... Malheureusement, j'ai trouvé la réalisation bien faible, le jeu d'acteurs décevant, et surtout, surtout la musique d'une médiocrité sans nom... Alors, bien sûr, il y a des moments bien forts. On retrouve avec plaisir Emilio Extevez, Kiefer Sutherland Lou Diamond Philips, mais le malheur de ce film c'est l'absence d'un réalisateur... Et certains dialogues sont à la limite du grand n'importe quoi, notamment dans les envolées mystique de Chavez... Les personnages secondaires sont d'un ennui terrible, et tous, ce qui est qd même dommage. ce film ne réussit sa crise d'adolescence et m'a laissé un goût d'inachevé...

Tout juste deux ans après Young Guns, voici que sort à la surprise générale une suite toujours interprétée par le trio Emilio Estevez / Kiefer Sutherland / Lou Diamond Phillips mais cette fois-ci réalisée par Geoff Murphy. Raconté sous forme de long flash-back par un William Bonney vieux comme le monde dans les années 50, Young Guns 2 s'éloigne beaucoup de la réalité historique pour proposer une suite riche en action, en coups bas et en chevauchées épiques, quitte à égratigner allégrement l'Histoire de par ces aventures fantasques. S'intéressant désormais à la traque de Pat Garrett sur son ancien compagnon Billy the Kid, le long-métrage se la joue western tonitruant, comme son prédécesseur, l'efficacité redoublée mais le charme en moins. En effet, si quelques personnages du premier opus étaient bien effacés (Charlie Sheen notamment), les nouveaux venus sont ici doublement inutiles, ne faisant principalement que partie du décor, en témoigne la présence invisible de Alan Ruck, celle peu travaillée de Balthazar Getty et même les personnages principaux que sont Kiefer Sutherland et Lou Diamond Phillips, bien éclipsés par le véritable héros de l'aventure, à savoir Billy the Kid himself, toujours interprété avec fougue par un Emilio Estevez survolté. Moins touchant que le premier film, Young Guns 2 réserve néanmoins d'excellentes scènes d'action et autres duels poussiéreux accompagnés comme il se doit d'une traque à travers l'ouest par Pat Garrett et quelques hommes du gouvernement. Et si certaines scènes restent obscures (le retournement de veste de Garrett surtout), le film reste une bonne séquelle quelque peu inutile mais bigrement sympathique.

Si vous n’avez pas aimé (tout comme moi) le « Young Guns I » et bien vous m’aimerez pas le « Young Guns II » (tout comme moi). Le postulat de départ est celui repris dans des films comme « Le banni » (1940) ou « « Billy the Kid » (1930) selon lequel William H. Bonney aurait été épargné par son « ami » Pat Garrett. Effectivement, un type dans les années 50 a reconnu être le légendaire Billy the Kid. Admettons l’improbable. Donc, on recycle l’info et grâce à la magie du cinéma et on brode un scénario totalement improbable. « Young Guns II » est simplement l’histoire de la traque interminable de la bande à W. Bonney par Pat Garrett et ses acolytes. Emilio Estevez, qui jouait un Billy the Kid hystérique et paranoïaque dans l’opus 1, s’est totalement assagi. Et comme il faut un borderline dans le groupe, c’est Christian Slater qui s’y colle. Le seul intérêt du film est de voir à leur presque débuts quelques acteurs phares des années 90/2000 : Kiefer Sutherland (« 24 heures chrono »), William Petersen (« Les experts »), Wiggo Mortensen, Lou Diamond Phillips, Christian Slater. Emilio Estevez semble le seul de la bande à n’avoir pas fait décoller sa carrière… « Blaze of Glory », la chanson du film interprétée par Jon Bon Jovi reste le meilleur.
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La suite des aventures de la bande à Billy The Kid, narré par ce dernier dorénavant bien âgé (au doublage français malheureusement ridicule et insupportable). Dans la parfaite lignée du précédent, "Young guns 2" redébarque avec son brin d'humour et sa folie qui ont su faire le charme de son premier opus, ainsi que la même équipe de cowboys, à l'exception que cette fois-ci, les acteurs Christian Slater & Viggo Mortensen rejoignent le casting, sans oublier l'excellent compositeur des musiques de "Predator", Alan Silvestri.

Suite du génial premier volet, ce film valide la géniale interprétation d'Emilio Estevez et celle de Kiefer Sutherland. Bien que la fin ne soit pas réelement fidèle à la réalité mais en même temps celle-ci n'est pas véritablement élucidée. A voir absolument.

Dans la continuité du premier volet, ce second volet clot bien la saga.

La vérité historique reste malmenée, en raison du 1er volet qui le faisait aussi, mais le film imprime une forme de légende fantasque, et parfois euphorisante, avec un Estevez habité par le rôle, et assez jouissif. Cain est également remplacé au poste de réalisateur par Geoff Murphy, tout droit venu de Nouvelle-Zélande, qui s'était fait connaître avec "Utu" avant de signer de nombreux films d'action aux USA (dont "Piège à grande vitesse" avec Steven Seagal, grand portnawak bourrin mais fun) avant d'être embauché par Peter Jackson comme réalisateur de 2nde équipe sur sa trilogie "Le Seigneur des Anneaux". Oui, sa carrière n'a aucun sens mais son talent est avéré. Bref, Murphy en fait des caisses avec ses ralentis, mais ça reste efficace et plaisant. Un western agréable, avec fusillades, cavalcades et bandits au grand cœur à la destinée tragique, faisant face à un empire d'industriels prenant le contrôle du pays. On y trouve toute une galerie de 2nds rôles campés par Christian Slater, Viggo Mortensen, Scott Wilson et bien d'autres trognes. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com

Un bon petit western biopic librement adapté, avec un casting incroyable pour l'époque, une réalisation bien dosé entre action et drame, même si il est assez convenu. Un divertissement pop-corn.

"Young Guns" était un western méconnu au casting prometteur mais à la réalisation décevante. Une fois n’est pas coutume, sa suite est nettement supérieure, les producteurs ayant visiblement pris conscience des forces et des faiblesses du 1er film. On a donc droit à un casting toujours aussi soigné avec, outre le retour d’Emilio Estevez dans le rôle du cinglé Billy The Kid, de Kiefer Sutherland en Doc rangé (dans un rôle cependant moins riche) et de Lou Diamond Philips en mystique Chavez, l’arrivée de petits nouveaux parmi lesquels l’excellent Christian Slater en complexé Arkansas Dave Rudabaugh (qui veut à tout prix se faire passer pour le chef du gang), le surprenant Alan Ruck en complice de dernière minute, Balthazar Getty en jeune recrue idolâtrant le Kid, mais aussi James Coburn, Viggo Mortensen et Robert Knepper. Mais on retiendra surtout l’interprétation de William Petersen en Pat Garret, sous-exploité dans l’opus précédent (sous les traits de Patrick Wayne) et qu’on retrouve ici complice puis traqueur du Kid. Ce changement de camp, bien qu’un peu trop brusque et injustifié, est l’un des principaux atouts de cette suite qui s’avère beaucoup plus riche émotionnellement que le 1er opus. On ressent nettement le lien qui unit les anciens Régulateurs ainsi que l’amitié entre le Kid et Garrett. Le personnage du Kid gagne également en profondeur, ce dernier prenant peu à peu conscience des conséquences de ses actes sur ses amis. Ce scénario plus dense, où se mêle fraternité, courage et trahison, est parfaitement mis en valeur par la réalisation de Geoff Murphy plus efficace et emphatique que son prédécesseur. Quant à la BO d’Alan Silvestri, elle trouve enfin toute sa place et se voit agrémentée de chansons signée Jon Bon Jovi (qui s’offre un cameo à peu près aussi inutile que celui de Tom Cruise dans le 1er film). On pourra être décontenancé par le choix du réalisateur de monter son film sous formes de flash-back raconté dans les années 50 par un vieillard prétendant être Billy The Kid. J’ai préféré y voir un petit bonus permettant au spectateur d’imaginer que le Kid n’a pas été tué par Pat Garrett (ce qui confère définitivement au personnage du traître une cote de sympathie inespérée). En bref, une suite plus travaillée et plus efficace qui permet de revoir son jugement sur le 1er film qui devient une sorte de genèse à l’affrontement en Billy The Kid et Pat Garrett.

La vie de William H. Bonnet est marquée par la controverse et pas mal d’hypothèses. Il n’est donc pas surprenant que « Young Guns 2 » prenne des libertés avec l’Histoire sans que cela ne nuise nécessairement à sa lecture. Une suite plus dynamique et musicalisée qui nous amène jusqu’à son face-à-face avec Pat Garrett et dans laquelle Emilio Estevez, Kiefer Sutherland et Lou Diamond Phillips retrouvent leur rôle respectif.

On prend (presque) les mêmes et on continue. Suite de ..., Young guns 2 continue et termine les aventures de Billy The Kid d'une jolie manière.
La réalisation et les acteurs font bien le travail, quelques répliques font sourire et retrouver notre bande de fous de la gâchette fait plaisir.
Si vous avez aimé le premier, vous n'aurez aucun souci avec sa suite.

Un euxième opus de même accabit, sans réél nouveauté par rapport au 1 sauf l'histoire plusou moins conforme à la réalité mais très bien orchestré.
Bizarrement j'ai eu l'impression de voir le même film donc un bon moment pour moi qui ait aimé le 1.

Ce second épisode a eu droit à plus de soin, niveau réalisation mais ne dépasse pas les résultats du premier. J'apprécie les acteurs du casting mais ici, ils ne sont pas convainquant et ça pèse lourd...

Suite directe qui reprend les codes du premier film, et qui par
conséquent présente les mêmes forces et les mêmes faiblesses pour donner
un film sympathique mais avec des défauts.
Voilà un an que la bande de Billy the Kid s'est dissoute. L'un de ses
anciens compagnons, Garrett, est chargé par le gouvernement de retrouver
son ancien ami et de le traîner devant la justice. Pour le Kid et ses
anciens camarades, c'est une nouvelle chasse à l'homme qui commence.
La réalisation est assez bonne: le cadrage est bon, la mise en scène
passable, les mouvements fluides, les prises de vues pas mal mais pas
assez nombreuses et la profondeur de champ un peu trop réduite.
Le scénario offre des scènes de fusillades efficaces, des
courses-poursuites sans temps mort, bref tout l'attirail d'un bon
western. On évite certains clichés, il n'y a pas beaucoup d'incohérences
et quelques bons rebondissements. Mais encore une fois, le rythme est
trop lent et il y a encore beaucoup trop de longueurs.
Les anciens personnages n'ont pas changé mais certains nouveaux ne sont
pas vraiment utiles.
Les acteurs font bien leur travail sans en faire trop.
Les dialogues sont plus amusants et mémorables que dans le premier.
La photographie a une bonne lumière et de jolies couleurs mais est un
peu moins réussie que dans le film précédent.
Le montage, par contre, est plus dynamique et efficace.
Les décors sont bons, les costumes sont réussis et la musique de Jon Bon
Jovi himself et de Alan Silvestri (Predator 1 & 2, Forrest Gump) est
efficace.
"Young Guns 2" est aussi bon que le premier, c'est à dire un western pas
mal mais sans plus.

Bien meilleur que le premier ! Du rythme, des rebondissements, aucun temps mort.