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    Une semaine de vacances
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    3,0
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    29 critiques spectateurs

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    oneosh89000
    oneosh89000

    41 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mai 2011
    Bertrand Tavernier rend un hommage au métier d'enseignant.. Et c'est principalement ce que l'on en retiendra. C'est au travers du portrait de la jeune professeur d'école primaire jouée par Nathalie Baye que le réalisateur démontre les angoisses et les frustrations permanentes ressenties par cette femme , résultats sentimentaux des rapports conflictuels prof-élèves et l'attitude insouciante des bambins. Le mal être et les doutes de la jeune femme représentent le malaise refoulé éventuel que peut procurer ce métier auquel Tavernier définit de combat épuisant demandant un engagement total personnel. Malgré la gravité évidente du sujet, le traitement ennuyeux et à la vue de beaucoup de scènes linéaires, "Une semaine de vacances" ne sera malheureusement qu'un film aussitôt vu , aussitôt oublié car un lassement trop lourd se fait ressentir.
    ferdinand75
    ferdinand75

    562 abonnés 3 888 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2011
    Un film typique des années 70's, sur la vie ordinnaire des gens. Rien de bien particulier , une prof qui doute, qui se cherche. Il ne se passe pas grand chose , on s'ennuie. C'est du pseudo naturalisme. La deuxième partie est un peu meilleure avec l'apparition de Galabru et Noiret qui emballe un peu le film. Mais qu'est ce que le personnage de Nathalie Baye est exaspérant..On s'ennuie quand même beaucoup.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 mai 2011
    L'attrait du film repose avant tout par le fait d'être tourne intégralement a Lyon. Bertrand Tavernier ne s'éloigne guère des quartiers bourgeois le long des quais du rhone ou de la Saône rendant peu crédible la vie de cette jeune professeur. Heureusement le jeu subtil des acteurs donne un peu d'intérêt a cette histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2011
    J'avais vu ce film lors de sa projection en salle et j'avais bien aimé son rythme lent, contemplatif. Je viens de le revoir à la télévision, et je n'ai pas changé d'avis. Pour avoir exercé le métier de la touchante Laurence (Nathalie Baye) , j'apprécie aussi la description du milieu enseignant de l'époque, dont les conditions d'exercice n'ont fait que se dégrader depuis. La relation enseignants-élèves-parents est autrement plus crédible que celle des "Noces Blanches".

    De toute manière, il ne faut pas chercher de l'action dans les films plutôt intimistes de Tavernier.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2011
    Un film simple et bien joué pour Nathalie Baye. Aussi la ville de Lyon apparaît très belle et donne envie de la parcourir. Le film c'est lent c'est vrai et il y a un façon de raconter une histoire que n'est pas le d'habitude mais c'est ça que fait le charme du film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2011
    qui peut me dire quel morceau d'opéra Nathalie Baye et Gérard Lanvin écoutent -ils à un moment du film, alongés sur leur lit?
    A part ça, film intéressant, qui nous replonge au début des années 80, les préoccupations n'étaient pas tout à fait les mêmes
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 avril 2011
    Typiquement le genre de films français du début des années 80 où il ne se passe strictement rien. Le scénario est vide, et par conséquent, rien ne se passe à l'écran. Le personnage de Nathalie Baye est absolument inintéressant, et le spectateur se fiche royalement de ses états d'âme. Comme le film est bigrement ennuyeux, sans doute Tavernier s'est cru obligé d'inviter Galabru et Noiret pour mettre un peu plus de vigueur ; comme ça ne devait pas suffire, on rajoute un peu d'Eddy Mitchell pour réveiller l'audience. Un mauvais Tavernier.
    brianpatrick
    brianpatrick

    85 abonnés 1 617 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2011
    Au préambule, une enseignante qui prend une semaine de vacance alors que les profs ont trois mois de vacances par année, ça fait plutôt rire.
    Un film de Bertrand Tavernier de 1980, en compagnie d’immenses acteurs français. Une petite satyre de la vie ordinaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 avril 2011
    Je partage à 100 % la critique d'Akamaru. Seul intérêt du film : la ville de Lyon magnifiquement filmée et la scène dans le bouchon avec Philippe Noiret & Michel Galabru. Une mention spéciale aux cigarettes fumées par Nathalie Baye tout au long du film.
    Akamaru
    Akamaru

    3 121 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 novembre 2010
    Ce film ancré dans le réalisme de 1980 ne présente que peu d'intérêt,et ce en dépit de toute la passion que met Bertrand Tavernier dans la balançe.Une jeune enseignante prend "une semaine de vacances" pour faire le point sur sa relation à son métier,et pour se remttre en question.D'une trivialité peu engageante,cette chronique de l'ordinaire permet à Nathalie Baye de dévoiler un jeu tout en finesse,en non-dits,mais son personnage est trop distant et fuyant pour créer l'empathie.Il y a quand même 2 belles choses dans le film,ciblant tout à fait l'amour que porte Tavernier au cinéma.A ses acteurs,tout d'abord en conviant Phllippe Noiret à une apparition clin d'oeil et pleine de clairvoyance,en donnant un rôle complet au truculent Michel Galabru,pour reformer le duo gagnant du "Juge et l'Assassin".A sa manière documentariste de filmer également.La ville de Lyon a rarement été aussi bien mise en valeur,entre les quais du Rhône,les rues intérieures et la lumière rasante de l'hiver.Au niveau du contenu,par contre,il s'agit d'une parenthèse pour rendre hommage au métier de l'enseignant,qu'il admire.La quête de Baye est opaque,et le manque d'enjeux crée l'ennui.Sans scénario rigoureux,point de salut.
    loulou451
    loulou451

    121 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2010
    Un très bon petit film de Tavernier illuminé par la grâce de Nathalie Baye et par la justesse de ton de son réalisateur. Les images plutôt soignées sont remarquables, montrant Lyon comme peu l'ont fait auparavant. A souligner enfin l'interprétation magistrale de Galabru, plus juste et plus humain que jamais. Tavernier aime la vie, toute la vie, et c'est bien ce qui fait là son charme.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 novembre 2009
    Un des moins bons Tavernier, vraiment ennuyeux et sans grand intérêt. Les acteurs jouent bien dans l'ensemble mais l'héroïne est tellement tête à claque et peu attachante que l'on se désintéresse vite du sujet. Bref très oubliable.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    241 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 janvier 2009
    Lyon la ville est ce qu’elle est, belle comme elle se présente, morne ou vive au gré du hasard. «Une semaine de vacances» (France, 1980) de Bertrand Tavernier est à l’image de la ville, fluctuante et, par nature, aussi émouvante qu’elle se peut frivole. L’histoire de cette enseignante au bord de la crise de nerf relève tant de la part intime et psychologique du personnage (interprété avec délicatesse et belle incertitude par Nathalie Baye) que de la triviale insignifiance de son quotidien. De la juxtaposition de ces deux registres, où les souvenirs traumatiques côtoient un quotidien banal, résulte une impression de réalisme. Tavernier est bien cela : un impressionniste du réalisme. Ces plans troubles, volant grâce à la steadycam captent les pointes émotives de la vie et reconstituent dans le même geste la partialité du réel. D’autres films de Tavernier, comme «Que la fête commence», renvoie davantage au surréalisme. Or du point de vue de l’image, de sa texture, de sa composition et de la majorité de ses couleurs, son œuvre assimile réalisme et impressionnisme. Du réalisme de Courbet, il y a cette présence ramassée des corps hétérogènes, de l’impressionnisme d’un Manet, il y a cette fulgurante luminosité que Glenn, pour «Une semaine de vacances», ternit afin d’évoquer le bref désarroi mental de l’héroïne. Cette immixtion du réalisme avec l’impressionnisme (pourtant deux mouvements picturaux fondamentalement contraire puisque le second est né en réaction au premier) permet à Tavernier de cultiver deux régimes narratifs : l’un qui se veut ancrer dans la «représentation triviale de la réalité, sans choix ni arrangements» selon les termes de Théophile Gautier pour qualifier le réalisme et l’autre qui entend explorer occasionnellement, comme un effet de surprises dans le récit, comme les touches incertaines des peintures de Sisley, des souvenirs enfouis qui, le temps d’une semaine, remonte à la surface. La curieuse alchimie visuelle et narrative délaisse la vraie passion.
    Jean-François S
    Jean-François S

    53 abonnés 668 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Voilà un film au sujet typiquement français et qui a toutes les cartes pour être d'un ennuis des plus mortelle. Mais Tavernier met tellement de convictions et de soins dans son film, qu'il finit par nous envouter de cette histoire plutôt déprimante. Les lumières et les mouvements de caméras sont ici particulièrement soignés et il est très agréable de découvrir la ville de Lyon en cinémascope. Nathalie Baye elle-même nous surprend avec une interprètation fine et sensible, et que dire de celle de Michel Galabru...
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