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    La voie lactée
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    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    43 abonnés 2 535 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2024
    Où l'on chemine, aux côtés de deux vagabonds traversant la France et l'Espagne pour se rendre en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle. Chacune des étapes de Jean et Pierre (si, si), chacune de leur rencontre donnent lieu de la part de Luis Bunuel à une critique ironique et, par moments, acerbe de la religion chrétienne et de ses dogmes en ce qu'ils contiennent de contradictions, de sophismes et d'intolérance.
    La plupart des scènes sont irréalistes, ou plutôt intemporelles, qui présentent Jesus et ses apôtres ou quelques dignitaires de l'Inquisition. Ce sont des séquences indépendantes les unes des autres et leur succession détermine la formé hachée du récit.
    Si, parfois, le propos et le comportement des personnages secondaires peuvent sembler obscurs (ainsi dans la dernière partie du film, la moins concise, la plus déroutante...et sans doute pas la plus plaisante), on peut apprécier toutefois les inventions narratives et les figures surréalistes propres à l'oeuvre de Bunuel (pour exemple, ce combat à l'épée singulier, et plus que singulier, entre un jésuite et un janséniste).

    Bunuel a bien des arguments pour moquer tous ceux qui prétendent détenir une parole divine, s'en font une interprétation exclusive et se croient investis du droit de censurer ou de punir les hérétiques. Ceux-là, pointant les lacunes et les complaisances de leur discours, le cinéaste les fait parfois ironiquement conclure par un impuissant et complaisant "les desseins du Seigneur sont impénétrables, tandis que les chrétiens qui croisent les deux vagabonds ne sont pas précisément les êtres charitables que leur foi affichée devrait faire d'eux.
    Pour autant, Bunuel ne raille pas la foi et se garde bien d'infirmer l'existence de Dieu. Par son thème et son esprit iconoclaste, "La voie lactée" est un film savoureux où cohabitent la fantaisie, la causticité et une certaine austérité, voire de la gravité relativement aux exactions historiques du sectarisme religieux.
    Yves G.
    Yves G.

    1 509 abonnés 3 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2023
    Deux mendiants, Pierre (Paul Frankeur) et Jean (Laurent Terzieff), marchent de Paris à Compostelle, moins par dévotion religieuse, même si en chemin Pierre s’avère croyant, que pour demander l’aumône des pèlerins. En chemin, ils font une série de rencontres, délicieusement anachroniques, avec tout ce que la catholicisme a connu, pendant deux millénaires, d’hérétiques et de dogmatiques.

    "La Voie lactée" est la deuxième collaboration entre Luis Buñuel et Jean-Claude Carrère, après l’adaptation du "Journal d’une femme de chambre" de Mirbeau cinq ans plus tôt. C’est une œuvre qui rompt sciemment avec les règles usuelles de la fiction pour dresser un tableau complet de deux mille ans d’hérésies catholiques. L’ambition est immense, excessive. Le propos est savant, trop peut-être.

    Tout y passe : l’eucharistie, la Trinité, la transubstantation, la virginité de Marie, le libre-arbitre et le déterminisme… Chacune de ces questions est traitée dans des saynètes qui respectent scrupuleusement le texte des Évangiles ou des conciles (on découvre au passage un canon du concile de Braga de 561 qui condamne sans détour le végétarisme: «Si quelqu’un (…) regarde comme impures les viandes que Dieu a créées pour notre nourriture et qu’aussi il n’ose gouter des légumes mêmes cuits avec de la viande, qu’il soit anathème.») et qui convoquent le ban et l’arrière-ban de tout le cinéma français de l’époque : Michel Piccoli (en marquis de Sade), Jean Piat (en janséniste prêt à dégainer l’épée pour défendre sa foi), Delphine Seyrig, Alain Cuny, Edith Scob (en Vierge Marie), Julien Guiomar, Claude Cerval, Pierre Maguelon (mais si ! vous les connaissez ! allez regarder leurs photos !)…

    Buñuel était anticlérical. Mais "La Voie lactée" n’est pas un film blasphématoire. Ce n’est pas un film prosélyte pour autant même si Buñuel et Carrière y manifestent une curiosité respectueuse pour les mystères de la foi. Sa seule ligne, volontiers anarchiste, pétillante d’ironie malicieuse, est la récusation du dogmatisme et des arguments d’autorité et la dénonciation des crimes commis au nom de Dieu. Buñuel aurait dit de La Voie lactée : « Je voudrais qu’après avoir vu ce film, sept athées trouvent la foi et que sept croyants la perdent. »
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2021
    “Dieu merci, je suis athée” répétait Buñuel. En se fondant sur le « Dictionnaire des hérésies » de l’Abbé Pluquet il réalise un film à sketchs (6). Par construction, la démarche hérésie contre dogme officiel est à la fois décousue et inintéressante pour ceux que le sujet théologique n’intéresse pas. Visuellement banal, le film est sauvé par quelques séquences amusantes et un casting dirigé de manière très précise, illuminé par Edith Scob et Delphine Seyrig. Seul le traitement de l’anathème qui commence habilement avec la douceur des petites filles, mais débouche sur la mort, offre en réaction à la haine un message de tolérance en creux parfaitement construit. De nos jours, cette tolérance a disparue, les revendications militantes agressives et antagonistes de toutes sortes ne cessant de progresser, rangeant quelque peu au placard “La voie Lacté” dont les préoccupations à sa sortie en 1969 semblaient hors sujet face à la fureur pas vraiment éteinte de mai 1968. Pas sur que l’intérêt se soit ravivé, sauf pour inconditionnels.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2019
    Deux hommes partent en pèlerinage pour Saint-Jacques de Compostelle. On passe évidemment avec Bunuel et Carrière des moments dans le surréalisme, la provocation, le sérieux absolu des références historiques. Si on se laisse aller sans préjugés c'est vraiment très plaisant. Qui fait des films comme cela aujourdhui ? Comment ne pas rire avec un homme (Bunuel) qui disait : "Je ne suis pas croyant, grâce à Dieu".
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    772 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2018
    Doté d'une histoire qui n'est pas forcément très cinématographique à la base, car cela parle de deux hommes qui suivent "La Voie Lactée" qui au Moyen Age menait les pèlerins à Saint-Jacques de Compostelle. Mais au final, ce long-métrage de Luis Buñuel est vraiment captivant à visionner grâce à la présence d'une mise en scène raffinée, d'une superbe interprétation de son casting et aussi pour sa très belle photographie. A noter, par ailleurs, la présence de quelques passages bien marquants, dont toutes celles où apparaît Jésus-Christ.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 201 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2018
    Une complète analyse de la religion par le biais du voyage et des rencontres des deux clochards.
    C’est complexe et savant. On pourrait regarder ce film comme préambule aux « rois maudits »
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    125 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2018
    septiemeartetdemi.com - Après avoir touché à la religion dans ses premières années mexicaines, Buñuel vide de nouveau l'abcès de sa haine contre les dogmes, cette fois-ci en grande pompe. Il y a tout, mais avant tout, il y a le traitement, le magnifique traitement : La Voie lactée est une thèse et une antithèse à la fois, et c'est au spectateur de faire sa propre synthèse. Le réalisateur a rempli son œuvre de faits réels, tirant les quatre véritées des Écritures, pour présenter avec objectivité les faits et gestes des croyants et des incroyants. Le visionneur croyant ne pourra pas se piquer, parce qu'il est présenté dans l'histoire tel qu'il est vraiment. Le film n'est pas une parodie ni un pamphlet sauf pour qui veut y en voir un. Même chose pour l'incroyant qui se verra mis en images sans fausse note.

    Difficile de dire si l'effet produit était volontaire, mais si tel était le cas, ça ne s'est pas fait sans fausses notes, puisque certains moments sont la négation de cette vocation apparente, comme la scène magnifique du curé dans le déni d'avoir changé d'avis sur la transsubstantiation. Cela reste un film anticlérical au possible. Mais malgré ces doutes sur la volonté créative, c'est ainsi que le spectateur, qui qu'il soit, sera généralement satisfait d'avoir vu cette œuvre qui, croit-il, lui donne raison, et il sera content d'avoir vu son opinion confortée.

    Il ne pouvait y avoir plus élégante manière de confronter les gens à leur pensée. De plus, Buñuel est clairement en terrain familier, ainsi que le prouve la concordance extraordinaire de son style confus et onirique avec l'abstrusité de son mirifique propos. Cela n'a plus d'importance de ne pas être sûr de comprendre la scène, du moment qu'on l'écoute.
    cylon86
    cylon86

    2 561 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Luis Bunuel, qui n'a jamais manqué de s'attaquer à l'Eglise, entreprend ici avec son co-scénariste Jean-Claude Carrière de mettre en scène certaines hérésies catholiques à travers ce road-movie improbable où deux mendiants sur la route de Saint jacques de Compostelle vont de rencontres étranges en rencontres étranges. Curé fou, apparition de la Vierge Marie, bref monologue du marquis de Sade, débats sur la nature du Christ, accident de voiture, Bunuel fait de son film un fourre-tout assez inégal même s'il reste cohérent dans son propos, toujours aussi vigoureux et anti-clérical. Le problème est non pas son intelligence et sa virulence mais bien sa façon de filmer dans un formalisme assez classique une suite de scènes parfois savoureuses mais souvent inégales. Reste bien évidemment de sacrés moments dont on ne comprendra pas tout mais qui permettent à un joli casting (François Maistre, Paul Frankeur, Laurent Terzieff, Julien Guiomar, Edith Scob, Delphine Seyrig, Jean Piat) de nous régaler.
    Estonius
    Estonius

    3 530 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2017
    Non ce n'est pas un film sur l'hérésie, (même si la documentation sur le sujet est impressionnante) mais bien un film anticlérical très subtil puisqu'en confrontant le dogme catholique officiel et celui des hérétiques on en arrive à conclure que c'est charabia contre charabia. La scène du duel est à ce propos assez savoureuse, Il est dommage que le film n'ait cependant pas davantage de rigueur : ainsi la scène avec Priscilien et ses disciples est trop longue, la scène de la restitution du chapelet n'est pas claire… Terzieff et Frankeur sont très bons, si les petits rôles masculins sont inégaux, côté féminin, Edith Scob en Vierge Marie et Delphine Seyrig en prostituée vienne éclairer ce film déroutant, dont le message ne sert à rien (un film n'a jamais converti personne), mais qui fera passer un bon moment à ceux qui sont déjà convaincus !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mai 2013
    L'Humanité Dimanche évoquait lors de sa sortie en salle un film "classique par sa forme, baroque par son esprit". Analyse pertinente pour un road-movie qui nécessite de bonnes connaissances théologiques de la part du spectateur au risque d'être complétement largué. Et même avec un tel bagage, "la Voie Lactée" fait montre d'un symbolisme si équivoque qu'il est difficile d'en livrer une interprétation qui tient la route. L'intrigue est la suivante : deux vagabonds partent pour Saint-Jacques-de-Compostelle motivés, non par la foi, mais par l'appât du gain (si si) ; au cours de leur périple, ils traverseront les époques et feront de drôles de rencontres -dont Jésus himself. A l'image des personnages débattant du dogme catholique tout au long de ce pèlerinage surréaliste, on ne cesse de s'interroger, de chercher ce qu'a bien pu nous signifier Buñuel. Au final, on ne comprend pas grand-chose sans pour autant s'ennuyer tant un étrange charme opère. "La Voie Lactée" est en avant tout un film sur la vérité et sur sa quête. C'est elle qui fait tourner le monde et s'écharper les hommes, nous suggère Buñuel. Contrairement à ce qui est avancé la plupart du temps, en aucun cas l'on n'assiste à une parodie voire une diatribe de la religion. Seul le clergé est mis à mal, à la différence du Christ qui, par un contraste saisissant, est montré jovial, prêchant quasi rigolard au milieu de ses disciples. Apparaissant ça et là, il est totalement étranger aux querelles qui assez ironiquement portent sur des sujets absents de son enseignement. Buñuel fait sienne la thèse qui fut celle d'un Nietszche ou d'un Renan selon laquelle l'Eglise n'a fait que dévoyer pendant 2000 ans le message originellement bon du Fils de l'Homme. Le périple s'achève sur sa célèbre parole "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive", en guise de clé de compréhension. Parole prophétique à coup sûr après une heure quarante-sept de conflits verbaux et physiques. Long-métrage métaphysique, à la fois froid, rigoureux -comme un janséniste- et absurde, "la Voie Lactée" est une oeuvre foncièrement imperméable mais fascinante. Pas un chef d'oeuvre, à cause d'une mise en scène se contentant du minimum syndical, mais un objet cinématrophique ô combien intriguant.
    Jipis
    Jipis

    40 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2012
    La voie Lactée est avant tout un cours de théologie de haut niveau sur l’absence la plus importante de tous les temps. Au cours d’un pèlerinage, les doctrines de Dieu sont expliquées, commentées, contestées, imposées à travers des temps porteurs d’analyses dans des parcelles de vérités menant certains protagonistes enflammés jusqu’au duel.

    Sur le chemin de Compostelle, l’aumône est bizarrement offerte au nanti possédant quelques pièces. La fonction de l’hostie succède aux messages cryptés. Certains propos imposent un fantôme crée par l’homme afin de le dresser à vie contre ses congénères dans des luttes entretenant une sauvagerie.

    « Le christ est né de sa mère sans rompre sa virginité ».

    Il y a de quoi deviser éternellement sur de telles affirmations. Sur le pré, le champ de bataille, la taverne, le procès. L’immaculée conception est expliquée derrière une porte close représentant le dernier rempart d’une réticent.

    Les envolées théologiennes pondérées ou musclées se succèdent alimentées par le cafetier, le gendarme, l’homme d’église, le paysan, et le mendiant. Chacun essaie de comprendre le message des écritures dans une diction différente mais concise commune gommant par sa rhétorique toutes les différences. La compréhension d’un tel concept à l’avantage de réunir tout le monde.

    L’esprit se triture par la foi. L’acceptation ou la contestation envers des textes sont les seuls ingrédients entretenant la continuité ou le refus d’une croyance. La nature ayant horreur du vide, ses hotes alimentent un sujet extensible par des exposés contradictoires perpétuels sans arbitre.

    « La voie Lactée est une sorte d’Agora, une tribune à l’air libre ou au fil de rencontres plus ou moins métaphysiques deux mendiants en route vers Compostelle emmagasinent des informations sur un silence céleste interminable. Chacun d’eux en fonction des exemples se débat entre affirmations, différences et athéismes.

    Le regard et l’écoute s’adaptent à un cas par cas représentant toujours une évolution. La base de données du créateur s’alimente par l’accumulation des expériences d’esprits sur le terrain. L’affirmation et la contestation se livrent un combat sans fin à l’intérieur de procédures divines ambiguës.

    Finalement c’est l’homme qui parle le mieux de Dieu
    il_Ricordo
    il_Ricordo

    106 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2012
    La Voie lactée est une parodie dans tous les sens du christianisme, mais il ne tombe jamais dans la méchanceté. Certes, Luis Buñuel règle une fois de plus ses comptes haineux avec la religion, mais il aurait faire bien pire que cette bouffonnerie. Il se sert d'un germe d'intrigue (deux hommes font le chemin de Compostelle) pour développer de puissants tableaux sur des personnages et des situations hypocrites et ridicules : le prêtre-fou, la fête de l'école, l'inquisition... toutes ces scènes présentent des personnages bornés, imbéciles, intégristes : tous ces aspects de la religion (plus ou moins contestables) que Buñuel exècre. La mise en scène Buñuel a faibli dans la dernière partie de son œuvre, mais le surréalisme est toujours présent : des tableaux anachroniques se mêlent au cadre principal : un tribunal d'inquisition, un duel du XVIIIème, et l'histoire du Christ lui-même. On pourrait reprocher à Buñuel d'exagérer certains traits qu'il dénonce, mais le plus décevant dans ce film est le manque d'unité et de cohérence. Ce n'est pas le fait de tourner outrancièrement la religion en ridicule qui pose problème, car cela il le fait très bien, mais c'est qu'on a le sentiment d'être face à un film à sketchs, avec des dialogues empruntés au théâtre absurde, des personnages qui partent à la recherche d'un Godot, et encore on n'est jamais sûr. Le spectateur n'est pas convaincu, puisque les personnages eux-mêmes ne le sont pas.
    Parkko
    Parkko

    162 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2012
    Ce que j'aime dans le cinéma de Luis Bunuel c'est qu'il n'y va pas de main morte. Certains peuvent trouver ça trop grossier, mais j'apprécie ce style chez le réalisateur car ce n'est jamais gratuit ou facile, il n y a pas de manichéisme, tout le monde ou presque est condamné, et du coup ça passe bien.
    Dans La Voie Lactée, on voit très rapidement que le film va être anti-clérical (thème cher au réalisateur). C'est une sorte de pamphlet complètement fou mais aux idées scénaristiques que j'ai trouvé très bonnes et au récit fluide et agréable à suivre. Un film qui sort du lot, captivant et intriguant. Un Bunuel un peu oublié, mais qui fait parti de mes préférés du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 août 2012
    Vraiment d'un ennui profond, illustration du dogme catholique au travers des scènes plus soporifiques les unes que les autres. Du bla-bla religieux et des touches surréalistes habituelles dans le cinéma de Buñuel, laborieux comme résultat.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2011
    Un très bon film sur tous les plans, autant dans le scénario que dans la mise en scène
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