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Un visiteur
5,0
Publiée le 19 juin 2009
Un classique (selon moi) du cinéma de science-fiction ; comment, dans un futur lointain, des hommes atterrissent sur une planète inconnu et se retrouvent confronté à un ennemi qu'ils ne connaissent pas. Aujourd'hui, il est bien vrai que ce scénario peut paraître simpliste mais, remis dans son contexte, des hommes dans l'espace, c'est extraordinaire (rappelons-nous que Gargarine n'est pas encore allé dans l'espace) alors qu'en plus de cela ils utilisent une technologie inconnu et inimaginable pour l'époque, alors le film prend tout de suite un intérêt certain. De plus, pour l'époque, les effets spéciaux sont tout à fait honorable (que de chemin parcouru depuis King Kong!) et le jeu d'acteur n'est pas mauvais (quoique typique de l'époque). Un très bon film de science-fiction donc, qui nous fait passer un très bon moment.
D'abord, il vient d'être réédité en Zone 2 par la Warner en collaboration avec la FNAC. Ruez vous dessus car ce film est rare par ici. Planète interdite, c'est d'abord un souvenir d'enfance. Une soucoupe qui traverse l'espace sur l'écran N&B de la téloche paternelle entre les deux bandes noires du cinémascope, Robby le Robot et ce monstre tapi quelque part, invisible mais terriblement menaçant. A le revoir aujourd'hui c'est bien plus qu'un simple film d'aventures pour le môme qui s'est crevé les yeux avec du Jules Vernes la nuit muni d'une lampe de poche sous ses couvertures. C'est un film curieusement pessimiste sur la nature humaine, inquiet, qui reprend peu ou prou le scénario de la pièce "La Tempête" de Shakespeare. Un peu plus de dix ans après avoir largué les premières bombes atomiques dans un contexte opérationnel de guerre, en pleine guerre froide et sa menace de bombes géantes et alors que la course aux mégatonnes de part et d'autre semble sans limites, les hommes pressentent désormais que toute civilisation est mortelle et que tout progrès scientifique, social et culturel est illusoire car toute la raison du monde n'absoudra jamais cette part sombre en nous : la passion et ses excès. Elle est aussi le propre de l’homme et on n’hérite pas de son contrôle par une génération antérieure plus sage. Planète Interdite est un jalon dans le cinéma de SF, quand celui-ci s'essaie à l'exploration de l'Homme et de son geste, sur son chemin entre deux abîmes vertigineux vers Dieu. Ou la Bête. Il préfigure déjà les grands films à venir, 2001 l’Odyssée de l'Espace, Solaris, Blade Runner, Star Wars ou plus récemment Sunshine. Planète Interdite, où quand la SF sait aussi se faire conte philosophique.
Ce film est l'un des meilleurs de science fiction jamais tourné. Film qui à été fait durant les années 1950, ce long métrage a très bien vieilli notamment grâce a ses effets spéciaux très réussi pour l'époque. Les costumes et les décors sont également a la hauteur. Il s'agit dans tous les cas d'un film vraiment précurseur qui mérite son statut de film culte et de classique instantanée de la science fiction. A noter la présence de Leslie Nielsen dans le rôle du commandant, l'un de ses premiers rôles au cinéma.
Un film culte qui m'avait marqué quand je l'ai vu à la télé assez jeune. Aujourd'hui je constate que ça tient encore la route. Le scénario est très intelligent et même les décors et effets spéciaux somptueusement kitch ne sont pas mal quand on voit certaines réalisation plus récentes.
C'est un classique de la Sf, pour ceux qui ne l'on pas vu, je vous le conseille car il a trés bien vieilli !, bien sur il est kitch, mais les idées qui étaient bonnes a l'époque le sont toujours aujourd'hui alors....
un très bon film de science fiction. un petit bijou en tout point, histoire bien traité, personnages attachants, effet spéciaux bien réussi pour l'époque. voir Leslie Nielsen jeune nous fait un choc mais voit déjà ici son talent d'acteur. kitch a souhait mais tellement bien réalisé qu'on a envie de le revoir.
Avec 50 ans de recul, il est amusant de considérer à quel point ce film, qui était en 1956 apparemment considéré comme une véritable superproduction, ressemble à s'y méprendre aux serials rigolos réalisés avec trois bouts de ficelle au cours des années 40-50 (Undersea Kingdom, Radar Men from the Moon ou Lost Planet, que je connais grâce au livre de Jean-Pierre Jackson sur les serials américains de 1912 à 1956, et n'ai malheureusement jamais vus en salle...) Mais le premier sourire passé, après avoir d'abord contemplé l'atterrissage approximatif d'une soucoupe volante couinante (qui à coup sûr inspira le feuilleton THE INVADERS... mais à l'époque, les objets volants étaient encore identifiés, rassurants et... d'origine humaine), reconnu ensuite le jeune Leslie Nielsen, sérieux comme un pape en commandant de bord, et regardé sans rire un robot traverser le désert à toute berzingue sur sa planche à roulette électrique, on découvre avec plaisir (à condition de supporter une exaspérante musique d'ambiance électro-stressante) une intrigue agréablement ficelée, aux préoccupations toujours actuelles, fondant sur les principes d'une science-fiction inspirée par la Guerre froide un scénario aux influences psychanalytiques, dominé par la toute puissance de l'esprit humain et la perte de contrôle d'une technologie prométhéenne immaîtrisée.
Les effets spéciaux de 1956 tiennent encore la route et les décors sont sublimes. Un film qui aura inspiré C-3PO de la guerre des étoiles et bien sûr, Star Trek. Incontournable.
lA PLANETE INTERDITE est un film novateur en matière de science-fiction. C'est un film remarquable, malheureusement il n'est pas encore disponible en DVD.
Une expédition de secours est envoyée vers une planète habitable pour éclaircir le mystère de la disparition d’une précédente expédition. Elle découvrira que seuls a survécu un savant, et la fille qu’il a eu sur place de sa femme a présent décédée. Le savant informera à contrecœur les secouristes de ses découvertes, et du danger mortel que recèle l’astre. Ce film de fiction, un des premiers à être tourné en cinémascope couleur, vaut d’abord pour ses décors, que ce soient ceux de la planète, du logis du savant, ou des installations techniques des Krolls. Ils sont à la fois réalistes et chimériques, et produisent un monde plausible, par moment fascinant. La musique électronique, une des premières du genre, est en parfait accord avec eux. L’idée du monstre destructeur créé par l’inconscient du savant est par ailleurs recevable dans une telle production, et traitée avec le suspens adéquat. En contrepoint, Bobby le sympathique Robot sert de support à de charmantes scènes (ce type d’androïde sera repris de nombreuses fois dans les fictions suivantes ; l’ancêtre de R2D2). Hormis les éléments mentionnés, l’histoire est confondante de platitudes, et les acteurs inexistants, à l’exception du savant. Les dialogues se complaisent dans un jargon pseudo-scientifique, ou versent dans l’insignifiance. Vouloir introduire à tout prix une histoire d’amour conduit à filmer de ridicules niaiseries ; vouloir à tout prix que le film soit porteur d’un message moral en rend l’épilogue ridicule. Une curiosité, très marquée par son origine et l’époque du tournage, mais qui mérite néanmoins d’être regardée.
Films SF à l'ancienne c'est toujours bon! Les effets spéciaux qui date c'est sympa, sa créé une ambiance! Avec en plus la participation de Leslie Nielsen jeune, on a pas l'habitude de le voir dans ce genre de film.
Un grand film culte!!!Kitch certes par bien des cotés :decors,look de la soucoupe et de Robby,mais tellement prenant meme apres toutes ces années.L'ambiance du film est excellente est impressione toujours autant!!Enfin une sortie DVD il etait temps,moi je l'ai et vous???