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Votre avis sur Amadeus ?
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Il est tellement pop, cet Amadeus qu'il semble presque trop court avec ses 3heures. Amadeus baigné dans les silences de Mozart livre un portrait d'un artiste, d'une société, la bassesse des hommes, la grandeur de l'amour et la perdition des hommes prets à tout sacrifier pour ce qu'ils pensent etre essentiels. C'est un film sur nous tous, sur la beauté et la mort. C'est une oeuvre d'art complète
Autant être franc mais voir un film sur Mozart et la musique classique n'est pas du tout emballant au départ. Lorsque l'on voit la durée du film, on peut également être tenté de passer son chemin. Et bien... on aurait tort... Ce film est somptueux et extrêmement intéressant autour d'un passage de la vie de ce célèbre compositeur et de la légende qui entoure sa vie avec la "rivalité" imaginée ou supposé avec l'autre grand compositeur de l'époque, Salieri. Et en fait, tout se joue sur ce duo de compositeurs et sur l'imagination que l'on pourrait avoir lorsque l'on voit leur vie sociale. Le tout agrémenté de musiques de Mozart, magistrales et employés à bon escient.
Bref : on ne peut qu'admirer le travail du réalisateur, les performances des 2 acteurs principaux et l'histoire si passionnante de la vie de ce génie trop tôt disparu qu'était Wolfgang Amadeus Mozart.
Bref : on ne peut qu'admirer le travail du réalisateur, les performances des 2 acteurs principaux et l'histoire si passionnante de la vie de ce génie trop tôt disparu qu'était Wolfgang Amadeus Mozart.
L'Histoire se passe en Autriche à Vienne. Le film raconte l'histoire de Wolfgang Amadeus Mozart jeune compositeur et musicien de talent à travers les yeux d'Antonio Salieri, musicien de la cour et compositeur.
Amadeus est un film merveilleux, un grand chef-d’œuvre. Et je maintiens mon opinion là-dessus. Je veux néanmoins me poser la question sur la différence entre la réalité et le film. spoiler: L' hypothèse que Salieri ait, d'une façon ou d'une autre tué Mozart
qui est suggérée a été traitée et démenti. De part, en tant que musicien, il me semble que que Mozart eut des élèves, spoiler: ce qui est complétement empêché par Salieri dans le film
.
Je reste toute fois un grand fan de ce film qui mérite et j'en suis sûr, ses 8 oscars, 3 goldens globes et son César.
Amadeus est un film merveilleux, un grand chef-d’œuvre. Et je maintiens mon opinion là-dessus. Je veux néanmoins me poser la question sur la différence entre la réalité et le film. spoiler: L' hypothèse que Salieri ait, d'une façon ou d'une autre tué Mozart
qui est suggérée a été traitée et démenti. De part, en tant que musicien, il me semble que que Mozart eut des élèves, spoiler: ce qui est complétement empêché par Salieri dans le film
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Je reste toute fois un grand fan de ce film qui mérite et j'en suis sûr, ses 8 oscars, 3 goldens globes et son César.
Ce film est une pure merveille en version longue. Primé à de nombreuses reprises, encensé parmi les listes des meilleurs films, Amadeus fait parti de ses films qui ont eu tellement d’oscars que cela en devient ridicule (8). Un seul suffit, celui de meilleur film, qu’il a gagné. Ce long métrage retrace la vie de Wolfgang Amadeus Mozart, un personnage aussi fascinant que complexe, dont le nom est connu de tous mais la vie beaucoup moins. Prenant beaucoup de libertés sur la vie de Mozart, ce film se voit plutôt comme une fiction inspirée. Le portrait d’un homme passionné, fou, excentrique, nous est relaté pendant trois heures, et n’aimant pourtant pas ce style musical, la B.O. est juste magique, on se sent dans la peau de l’homme qui vit pour la musique. On admire cette époque, très superficiel mais dont les décors, les costumes, les maquillages nous font plonger immédiatement dans le contexte historique. Tom Hulce parvient à faire ressortir toute sa folie pour que l’on croit à cet homme agité, qui ne pense qu’à la musique, tandis que F. Murray Abraham contrebalance la fougue du personnage. Il est l’homme qui déteste le plus Mozart, et aussi qu’il l’admire sans doute le plus, et son discours tout le long du métrage est raconté avec justesse. On se met à sa place et l’on se dit que Mozart était quand même un sacré personnage, dont le génie continu encore aujourd’hui de résonner dans nos oreilles…
Intense, déroutant, passionnant et d'une virtuosité à l'image de son génie, Amadeus nous claque au visage et nous laisse groggy.
Comment noter un tel film qui sur le plan cinématographique mériterait 5 mais pour le contenu 0. J'opte donc pour un moyen terme. Basé sur une nouvelle de Pouchkine qui ne repose sur aucune réalité historique il a eu un effet extrêmement pernicieux : Mozart représenté comme un ado obsédé sexuellement et joué par un acteur particulièrement laid ; Salieri, un génie musical, qui dirigeait régulièrement les œuvres de Mozart, est de ce fait difficile à faire connaître. Mon DVD n'a par tardé à finir à la poubelle. À fuir, hélas...!
Milos Forman nous offre un vrai chef d'œuvre!
Biopic du génie Mozart interprété par un immense Tom Hulce ! Un film qui laisse sans voix tant il est difficile d'offrir une aussi belle bande originale
Un chef d'œuvre cinématographique qui devait mériter récompense...
Biopic du génie Mozart interprété par un immense Tom Hulce ! Un film qui laisse sans voix tant il est difficile d'offrir une aussi belle bande originale
Un chef d'œuvre cinématographique qui devait mériter récompense...
Le seul gros reproche que l'on peut faire au film finalement c'est d'avoir pris beaucoup de libertés par rapport à la réalité.
Il faut dire qu'il s'inspire directement d'une pièce du début du 19ème siècle intitulé "Mozart et Salieri" et qui a façonné au fil des siècles ce fantasme, cette légende pour rendre l'histoire de Wolfang encore plus romanesque et grandiose.
Salieri n'a jamais voulu assassiner Mozart du moins personne n'en a jamais eu la preuve, il ne l'a jamais assisté au chevet de sa mort pour l'écriture de sa messe funèbre, il ne lui a non plus jamais ouvertement dit qu'il était le plus grand compositeur qu'il n'ait jamais connu.
Le spectateur n'est pour autant pas pis au dépourvu puisqu'il s'agit d'un parti pris souhaité par le duo Forman/Shaffer.
J'aurais également aimé plus de fond dans l'écriture des personnages, on reste en surface pour se concentrer sur cette rivalité sans creuser davantange
Les tableaux sont somptueux, les symphonies agissent comme guide spirituel et harmonique de la trame, les décors sont fastueux et les acteurs sont très bons.
Salieri, qui est pour moi le personnage central du film est éblouissant dans son rôle, c'est sans grande surprise que j'ai pu découvrir qu'il avait reçu l'oscar du meilleur acteur.
En somme, un très bon film avec une totale latitude des cinéastes qui plaira à certains plus qu'à d'autres, j'aurais pour ma part préféré plus de réalisme.
Il faut dire qu'il s'inspire directement d'une pièce du début du 19ème siècle intitulé "Mozart et Salieri" et qui a façonné au fil des siècles ce fantasme, cette légende pour rendre l'histoire de Wolfang encore plus romanesque et grandiose.
Salieri n'a jamais voulu assassiner Mozart du moins personne n'en a jamais eu la preuve, il ne l'a jamais assisté au chevet de sa mort pour l'écriture de sa messe funèbre, il ne lui a non plus jamais ouvertement dit qu'il était le plus grand compositeur qu'il n'ait jamais connu.
Le spectateur n'est pour autant pas pis au dépourvu puisqu'il s'agit d'un parti pris souhaité par le duo Forman/Shaffer.
J'aurais également aimé plus de fond dans l'écriture des personnages, on reste en surface pour se concentrer sur cette rivalité sans creuser davantange
Les tableaux sont somptueux, les symphonies agissent comme guide spirituel et harmonique de la trame, les décors sont fastueux et les acteurs sont très bons.
Salieri, qui est pour moi le personnage central du film est éblouissant dans son rôle, c'est sans grande surprise que j'ai pu découvrir qu'il avait reçu l'oscar du meilleur acteur.
En somme, un très bon film avec une totale latitude des cinéastes qui plaira à certains plus qu'à d'autres, j'aurais pour ma part préféré plus de réalisme.
Techniquement le film est excellent. Les vues d'hiver sont superbes. Le relief mis à part, le cadre de Prague convient plutôt bien à une évocation de la Vienne de la fin du XVIIIe. Bien sûr, le réalisateur prend trop de libertés avec la réalité historique : Salieri était très loin d'être un médiocre, son rôle de soit-disant assassin est une légende, Mozart était très loin d'être cet états-unien vulgaire que campe le "Tom" de service, dont l'attitude est complètement anachronique. Dommage aussi que les réalisateurs anglo-saxons mal informés des coutumes du temps passé n'arrivent pas à se défaire de l'horripilante habitude de faire dire à leurs personnages "Majesté, vous..." ou "Altesse (!!), vous..." au lieu de la tournure correcte "Sire, votre Majesté est trop bonne".
Un film dont on ressort transporté! Si vous cherchez des vérités biographiques ou historiques vous n'êtes pas au bon endroit mais vous êtes au bon endroit si vous cherchez une histoire prenante, tourbillonnante au service d'une réflexion profonde (j'ai à la base regardé ce film pour m'aider sur une dissert' de philo et ca m'a apporté beaucoup plus philosophiquement et humainement!) mais aussi au service de personnages passionnants. Ce film est un hymne à l'art sous toute ses formes mais aussi un hymne à la vie et à la jeunesse. Jamais Mozart ne fut aussi vivant, aussi proche de nous, aussi moderne. Dans sa personnalité, le réalisateur n'a rien inventé: c'est le vrai Mozart qui évolue à l'écran dans de nombreuses actions ou événements pour beaucoup complètement inventés mais toujours d'une force incomparable.
Servi par 2 acteurs incroyables (F. Murray Abraham et Tom Hulce), ce chef d'œuvre de Milos Forman récompensé de 8 oscars décrit la société autrichienne de la seconde moitié du XVIIIème siècle, mais aussi (et surtout) la rivalité entre les 2 compositeurs Salieri et Mozart. Et sur ce point là que Forman étonne en choisissant Salieri comme narrateur, mais aussi en décrivant Mozart comme un grand enfant peu mature et avec son fameux rire (ce rire étant issu de lettres écrites à son sujet), tout ceci étant vrai, mais l'on aurait pu s'attendre à ce qu'il le montre seulement comme un génie précoce. Le réalisateur estonien fait également des allers-retours dans le temps (flash-back, flashforward) entre la vieillesse de Salieri et sa jeunesse. Tout le film reste ancré dans votre mémoire, bien après l'avoir vu (je l'ai vu vers 7 ans, puis revu des années plus tard et tout était resté intact -je connaissais le film par cœur). Et puis certaines scènes vous déchirent (
spoiler:
celle où Mozart est enterré, avec la musique du Requiem, vous fait pleurer
). La musique de Mozart (forcément belle) venant enrouler tout ça, ces 3 heures passent très vite. Il faut aussi souligner la qualité de la reconstitution de l'Autriche du XVIIIème (costumes, accessoires, décors...) et la mise en scène de Milos Forman. Bref, un film impressionnant, surprenant, avec de grands acteurs : un chef d'œuvre.
). La musique de Mozart (forcément belle) venant enrouler tout ça, ces 3 heures passent très vite. Il faut aussi souligner la qualité de la reconstitution de l'Autriche du XVIIIème (costumes, accessoires, décors...) et la mise en scène de Milos Forman. Bref, un film impressionnant, surprenant, avec de grands acteurs : un chef d'œuvre.
C’est un film de qualité mais c’est vraiment pas mon style. Ce côté loufoque pour décrire des situations sérieuses, dramatiques ou historiques du même genre de Vol au dessus d’un nid de coucou, me déplaît fortement. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
On connait tous la musique de Mozart ... mais l'acteur qui joue le role ! misère ! on ne rentre pas du tout dans le mystère Mozart malgré les grimaces forcées de l'acteur censé composer une oeuvre majeure de l'histoire
Ce film est imbuvable
Ce film est imbuvable
Quand le film est fini, on a envie de se précipiter vers sa collection de CD et de se passer le Requiem. C'est dire si le film est fort ! Il a été louangé à juste titre par la majorité de la critique et il est difficile d'éviter les redites, on pourrait parler de cette direction d'acteurs impeccable, des décors, des costumes, de la mise en scène sans faute, du montage nerveux, et bien sûr de la musique omniprésente, diabolique et enchanteresse. Deux points cependant, il ne s'agit pas d'un biopic à proprement parler mais d'une fiction s'inspirant de la vie de Mozart, à cet égard s'il est permis de regretter le rôle que l'on fait jouer à Salieri, il n'en reste pas moins que le réalisateur a parfaitement le droit de s'écarter le la vérité historique. L'important est ailleurs, il est de casser le mythe du génie triste, Mozart ne l'était pas, il était gouailleur, obsédé sexuel, impertinent et se foutait de l'argent et de l'élite, le film rappelle à ce sujet comment fut crée la Flute enchantée, dans une salle populaire pour un public populaire, loin des exégèses autoproclamées qui font parler les œuvres au lieu et place de leur créateur. Ce film est un enchantement, l'un des sommets du cinéma. Carrément !
La rockstar de la grande musique classique occidentale, le compositeur autrichien sous l’empereur saint-germain Joseph II, frère de la princesse qui devint reine française au sort révolutionnaire funeste, la censure monarchique fut cache misère. Ce fantasque tire son talent dans le sixième sens, devant un public impérial, noble, bourgeois, le petit prodige poussé par son père de profession musicale qui l’expose comme un phénomène de foire auprès de la cour de la haute société, dans le but de parfaire son nom et le flair familial, le génie à un but lucratif. Un hédoniste buveur invétéré au rire contagieux a l’idée dans sa citrouille, de la fantaisie ressortie puis prend forme sous la plume retranscrite dans ces papiers notes de musique. L’opéra est un conte de fée et ses dames cantatrices pros aux timbres de voix aiguë à tomber, retentissent dans l’hémicycle du théâtre artistique en écho d’anthologie, de la franc-maçonnerie déguisée en fantôme paternel de chair et d’os. Attirant admiration et jalousie chez le conteur de cette biographie romancée, Antonio Salieri, un homologue rival prestigieux, sobre et chaste, serait parfait en homme d’église pour diffuser la bonne prêche morale de Dieu, sa dévotion. Les rumeurs persistantes le pourchassent jusque dans la folie, que les médiocres se reconnaissent, soit absous de leurs péchés rédempteurs.
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