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    Les Uns et les autres
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    JeffPage
    JeffPage

    41 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2013
    Avec cette immense fresque, Claude Lelouch réalise l'un des plus grands film chorale. Il traverse tout le 20ème siècle et parvient à faire se croiser des vies que tout semble opposer. Doté d'un casting incroyable, il est aussi une pure réussite technique dans laquelle Lelouch réalise des plans séquence magnifique. Un classique immanquable, que vous aimiez Lelouch ou pas.
    GéDéon
    GéDéon

    92 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    Proche de la comédie musicale sans en avoir le côté frivole, ce film de Claude Lelouch, sorti en 1981, retrace la destinée de plusieurs familles de nationalités différentes de l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. Réunissant une large palette d’acteurs (Robert Hossein, Nicole Garcia, Geraldine Chaplin, Francis Huster, Jacques Villeret, etc.), cette histoire possède plusieurs passages vraiment bouleversants. La musique et la dance y prennent une place prépondérante comme pour atténuer le caractère dramatique du récit et surtout créer une passerelle entre les différents personnages. Toutefois, ces séquences récurrentes alanguissent parfois le propos. Dans un final d’une incroyable intensité, le réalisateur réussit l’exploit de diffuser le Boléro de Maurice Ravel dans son intégralité (plus de quinze minutes) avec une mise en scène virevoltante support de vives émotions. Bref, une œuvre humaniste de grande qualité.
    White Fingers
    White Fingers

    17 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2024
    Claude Lelouch est l’un des réalisateurs les moins inspirés de sa génération et son narcissisme lui a bien souvent joué de vilains tours. Je dois néanmoins convenir que sa mégalomanie s’est pleinement exprimée dans les « Les Uns et les Autres », peut-être sa meilleure réalisation. Cette épopée couvre trois générations, de la dernière guerre aux années 80, une période qui me touche particulièrement. La distribution d'acteurs est prestigieuse et leurs performances sont remarquables, accompagnées d'une partition musicale envoûtante, notamment celle de Michel Legrand. Le film raconte l'histoire de différentes familles à travers les bouleversements historiques du 20ème siècle, mettant en lumière la musique et la danse comme des éléments fédérateurs. Le film est une véritable fresque historique et musicale, où la caméra de Lelouch navigue avec une énergie et une grâce inouïes, capturant des instants de vie marqués par des épreuves et des moments de bonheur. Souvent les films chorals sous casse-figure, mais, pour une fois, Claude Lelouch a bien maîtrisé son sujet. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    350 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 septembre 2022
    « Remplaçant la philosophie fumeuse de Toute une vie par des idées " généreuses ", Lelouch va sûrement, cette fois, toucher le grand public et connaître le succès commercial. Quant aux critiques, c'est une autre affaire : hier, le mépris dominait. »
    De quel film parlait Jacques Siclier critique au Monde ?

    Du film « Les Uns et les Autres » de Claude Lelouch.

    Ressorti en copie restaurée et visible au Publicis Cinéma, ce film injustement boudé par la critique car probablement trop américain dans son envie d’universalisme mâtiné d'Entertainment a formidablement bien vieilli.

    Claude Lelouch n’a peut être pas commis que des chef d’œuvres mais son bilan cinématographique est bien supérieur à beaucoup de ses contemporains ( "un homme et une femme", "l'aventure c'est l'aventure", "toute une vie"...c'est déjà pas mal !)

    Et d’ailleurs cette fresque humaine bâtie autour de la musique n’a pas eu à subir de remake américain, elle n’en a pas besoin.

    Lelouch est un formidable conteur qui nous livre ici un film « choral » avant que ce soit la mode et qui s’étale sur 45 ans de l’histoire du monde, de 1936 aux années 1980, à travers le destin de quatre familles, aux quatre coins du monde. Moscou : Tatiana épouse Boris, le père de son fils Sergueï, futur danseur étoile. Paris : Anne et Simon sont déportés et contraints d’abandonner leur nouveau-né. Berlin : Karl Kremer, pianiste, reçoit les félicitations du Führer. New York : la formation de jazz de Jack Glenn triomphe… Des hommes, des femmes, qui vivent dans des pays différents mais parlent une même langue : la musique.

    Ce que j’ai particulièrement apprécié dans ce film c’est son ouverture d’esprit et son hypothèse de départ que rien n’est écrit ou prédestiné dans une vie même si les mêmes schémas se reproduisent de génération en génération.

    Lelouch est également un réalisateur qui aime profondément ses acteurs (d’ailleurs dans le film les prénoms de protagonistes comme Richard, Francis, Jacques ou Robert sont les prénoms des acteurs qui les interprètent, Bohringer, Huster, Villeret ou Hossein.

    Les plans séquences sont impressionnants, certains effets miraculeux quand on connaît les limites techniques de l’époque et la musique a très bien passé le test du temps (merci Michel Legrand et le couple Bergman déjà aux commandes de la musique de « The Way We were » avec Barbra Streisand et Robert Redford).

    Plaisir également de retrouver des chorégraphies comme celle de Vickers Larry devenu un des artistes américains les plus parisiens.

    Vraiment, allez voir ce film qui a été méchamment enterré par la critique germanopratine ( déjà à l’époque ca déconnait grave dans les rubriques culture de la presse).
    Charlotte28
    Charlotte28

    131 abonnés 2 049 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    Comment faire passer un message (comme le dirait Nietzsche, "sans la musique, la vie serait une erreur") sans tomber dans les stéréotypes, l'intellectualisation ou la caricature. Le casting est renversant, que ce soit pour la famille américaine, allemande, russe ou française (et l'idée d'employer le même acteur - ou actrice - pour jouer le père et le fils - ou la mère et la fille - très séduisante). Tous ces destins s'entrecoisent sans nuire les uns aux autres pour terminer en apothéose lors de la dernière scène pendant laquelle retentit le sublime Boléro de Ravel. Mémorable!
    posbern343
    posbern343

    8 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2008
    Un as de la caméra (on peut pas lui enlever ça) réécrit en musique et chansons les tragédies du siècle. Le boléro de Ravel interminable rassemble tout le petit monde : c'est somme toute le comble de cette épopée de la Farce. Un navet mégalomaniaque.

    BB POSSO
    surfnblue
    surfnblue

    66 abonnés 1 591 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Long, très long avec des histoires en parallèle comme le fait aussi Klapisch. Le Boléro de Ravel immortalisé. Une caméra qui n'en finit plus de tourner (avec Lelouche, quand il dit "on tourne", c'est à prendre au mot: ça orbite!)
    Ca se regarde, mais faut vraiment avoir prévu de quoi grignoter.
    Hotinhere
    Hotinhere

    584 abonnés 5 028 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2019
    Une grande fresque musicale et humaniste de 1936 à nos jours, dans laquelle Lelouch entrecroise des destins. Quelques moments touchants mais l’ensemble est tellement long et confus qu’on est pressé que ça se termine.
    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 août 2013
    Ca n'est pas le meilleur Lelouch, et de loin. Il y a quelques scènes qui sortent du lot, mais elles sont dispersées au milieu de trois heures remplies de longueurs... Quant à l'ambiance musicale, elle est assez insupportable par moments.
    Christian B.
    Christian B.

    18 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2013
    Un pur Lelouch dans toute ta splendeur , une bande son , des chorégraphies , une mulitudes de grands acteurs et comme dab un scénario un peu brouillon , juste ce qui fait le charme de Lelouch , on aime ou on aime pas , pas le plus grand certes mais il fait partit de l'histoire du cinéma et encore pour des années
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 210 abonnés 5 233 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2019
    Le film est un enivrement de musique. Comme si elle permettait de cacher les douleurs et évidemment comme un trait d’union entre les peuples.
    Il y a cette folle liberté de ton qui résonne comme une communion.
    J’adore aussi la partie médiane fugitive qui est presque une envolée de « hair ».
    Prenant. On en arrive à oublier qui joue. La musique prend toute la place.
    Alasky
    Alasky

    366 abonnés 3 503 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 juillet 2024
    La musique de Francis Lai et Michel Legrand a terriblement mal vieilli, ce qui rend les scènes chantées insupportables et interminables. Les scènes pompeuses sont dignes des plus grands nanars de son temps. Quant au casting "prestigieux", visiblement ce n'est pas forcément gage de film de qualité...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    111 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2024
    Sorti en 1981, ce film à l’ambition évidente relate le destin de plusieurs familles liées à la danse et à la musique sur plusieurs générations, des années 30 aux années 80. Le casting est impressionnant et international, puisque les histoires se déroulent entre la France, l’Allemagne, la Russie et les États-Unis. D’une durée de 3h, le long-métrage est à l’image d’un Claude Lelouch qui a les défauts de ses qualités : il est perpétuellement en mouvement, volontiers lyrique et enchaîne les grandes séquences de célébration collective, au dépend de scènes plus intimistes qui auraient permis de se rapprocher de personnages dont les caractéristiques sont un brin vaporeux. Un final monumental, devant la Tour Eiffel et au son du Boléro de Ravel, qui n’est pas sans rappeler la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    57 abonnés 1 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2024
    43 ans après, c’est toujours le même plaisir à voir ce film choral (spécialité de Claude Lelouch) qui résume une quarantaine d’années du XXe s, à travers 4 familles (russe de Moscou, allemande de Berlin, française de Paris et américaine de New York) et dont le point commun (et fil conducteur du film) est la musique et la danse. C’est une fresque historique [2nde guerre mondiale, déportation dans les camps de la mort nazis, spoiler: inspiration de la fuite à l’ouest du danseur russe Rudolf Noureev (1938-1993) à l’aéroport du Bourget en 1961, de la compromission du chef d’orchestre Herbert von Karajan (1908-1989) avec le régime nazi et du chef d’orchestre américain Glenn Miller (1904-1944)]
    et intimiste, pleine d’émotions mais sans emphase, qui dépeint la condition humaine (rejet par sa famille, mariage, naissance, divorce et mort). On a le plaisir de retrouver des acteurs disparus ou qui ont vieilli comme nous depuis. Outre la musique originale de Francis LAI (15e collaboration, à 49 ans, sur 32) et Michel LEGRAND (49 ans à l’époque), le film s’accompagne brillamment de la « 7e symphonie en la majeur opus 92 », composée à 41 ans par Ludwig van Beethoven (1770-1837), notamment du 4e mouvement (allegro con brio) et du « Boléro » (M.81), composé à 43 ans, par Maurice Ravel (1875-1937) sur lequel Maurice Béjart (1927-2007) a créé une chorégraphie, interprétée par l’Argentin Jorge DONN (34 ans). Du vrai cinéma, avec peu de dialogues où les images parlent d’elles-mêmes, avec une caméra très mobile (typique du style Lelouch) et la photographie de Jean BOFFETY. Sans négliger, d’une part, l’émotion avec, notamment, le personnage d’Anne Meyer ( spoiler: Nicole GARCIA, 35 ans), à la recherche, toute sa vie, de son bébé, David, abandonné en août 1942 entre les rails de la gare d’Igney-Avricourt (Moselle) lors de sa déportation à Mauthausen (Autriche)
    et le couple d’Américains, voisins du musicien de jazz, Jack Glenn (James CAAN, 41 ans), spoiler: apprenant la mort de leur 2 jumeaux lors du débarquement en Normandie
    , et d’autre part, la comédie [ spoiler: scène où Jacques VILLERET (30 ans, 7e collaboration sur 8 avec Lelouch), passionné de chevaux de course, dit ses 4 vérités à ses amis de régiment en Algérie, Francis HUSTER (34 ans, 3e collaboration sur 6), chirurgien, pas assez viril avec sa femme et ex-épouse de son père, Robert HOSSEIN (54 ans, 2e collaboration sur 4), avocat trop combinard, et le boxeur Jean-Claude BOUTTIER (37 ans), pas assez méchant sur le ring.
    Dernière originalité, le réalisateur fait jouer par le même acteur, le père et le fils ou la mère et la fille [Robert Hossein, Evelyne Bouix (28 ans et compagne de Claude Lelouch à l’époque), Jorge Donn, James Caan et Geraldine Chaplin].
    videoman29
    videoman29

    253 abonnés 1 842 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    En 1981, Claude Lelouch réalise « Les uns et les autres », un film « fleuve » de plus de trois heures qui reste sans doute comme son œuvre la plus intime et personnelle à ce jour. L'intrigue est assez embrouillée et difficile à suivre car elle nous fait vivre le destin de quatre familles à travers les tumultes du 20ème siècle. Inutile de dire que, rapidement, le nombre des personnages devient pléthorique et qu'on peine un peu à s'y retrouver... Leurs histoires se croisant et interagissant sans cesse, les unes avec les autres (héhé). Ceci dit, la qualité du casting aide à faire passer la pilule, tant le nombre de stars internationales ayant répondu à l'appel est incroyable. Concernant la musique, qui constitue l'autre thème central du film, il faut bien reconnaître qu'une partie de la bande originale à prit quelques rides avec le temps. Ceci dit le fameux « Boléro » de Ravel garde toujours son impact hypnotique sur le spectateur et donne à cette œuvre inclassable une petit goût d'éternité... à voir !
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