Le zorro le plus cool en fiction, à la pointe de son épée, un cavalier qui surgit de la nuit, Caballero et cheval ne font qu’un plus un, égal à deux, il signe des autographes de star, grâce à la popularité d’opprimé, laissant à ses fans, soldats et peuple sans distinction.
Une belle empreinte de la lettre Z qui signifie ce super-héros, libéré la Californie colonisée, un renard rusé toujours vainqueur, il est drôle dans ce costume souriant, l’alter égo Don Diego de la Vega de la noblesse révolutionnaire insurrectionnel descendant espagnol.
File en douce de sa paresse richesse irritabilité familiale filiation, l’amour que lui donnera la demoiselle Lolita, on ne croira pas d’un aristocrate noble, avec un tel visage joué par cet acteur du cinéma en noir et blanc, mais se liguera contre l’avant-colonial.
L’ancêtre royal en Amérique californienne 19ème siècle, le majordome native American sourd muet, j’en apprends des choses dans ce vieux film non parlant, l’intrigue Capitaine Ramon le courtisan qui force arbitrairement.
A la solde de l’ennemi détestable dans ce synopsis, Zorro Zorro Zorro..... l’en empêchera, la romance sauvée, les fiancés peuvent se mariés, embrassez-vous ! C’est très bien comme cela, de nulle part au moment opportun bonne aventure fougue.