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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 octobre 2019
Ce film est tout simplement un chef d'œuvre cinématographique l'un des meilleur thriller de tout les temps on est pris dans l'histoire, on veut savoir la suite on s'attacherai même à Hannibal lecter qui est pourtant un tueur cannibal. L'interprétation est parfaite, elle traite la violence sans vraiment la montrer, le but du film n'est pas de choquer, c'est plutôt psychologique, l'intrigue monte tout au long du film et est à son apoge durant la scène final et au final l'histoire nous passionne, on a envie de voir la suite de la vie d'hannibal lecter après avoir vu ce film tellement l'histoire nous a accroché. Bref, en d'autre thermes: c'est un chef d'œuvre à voir au moins une fois dans sa vie.
Le thriller psychologique le plus incroyable de tout les temps. Un scénario et une mise en scène soignés, des acteurs très crédibles, ils sont époustouflants. Ce film nous prouve que nous n'avons pas forcément besoin des images pour voir la cruauté des actes, seuls les mots peuvent suffire. Je reste accroché à mon écran de la première à la dernière seconde. C'est un 5/5 assuré.
S’il y a bien un film qui mérite la pluie d’oscars qui lui a été attribué, c’est bien « Le silence des agneaux ». Le scénariste tire le meilleur du livre de Thomas Harris pour livrer un scénario dense, surprenant et passionnant dans sa dimension psychologique. Le spectateur est ainsi plongé au cœur d’une enquête qui le dépasse et qui se révèle être un prétexte pour l’entraîner dans un voyage aux confins de la noirceur de l’âme humaine. On est fasciné par l’aura maléfique d’Hannibal, parfaitement iconisé et rendu inoubliable tant par l’interprétation magistrale d’Anthony Hopkins que par le mystère qui entoure le personnage. Le personnage de l’enquêtrice, admirablement bien interprétée par Jodie Foster, est une projection du spectateur pris dans l’engrenage d’événements sur lesquels il n’a aucun contrôle et qui se trouve tiraillé entre sa fascination et son dégoût pour le tueur en série. Jonathan Demme ne s’est probablement jamais montré aussi inventif en termes de mise en scène, parvenant à instaurer une ambiance glauque et malsaine renforcée par l’incroyable bande originale d’Howard Shore. « Le silence des agneaux » s’est rapidement imposé à raison comme la référence du thriller psychologique, une œuvre souvent copiée mais jamais égalée qui mérité à mon sens l’étiquette tant galvaudée de chef-d’œuvre.
Le mètre étalon du genre. Combien de films ou de séries font référence au Silence des agneaux, ou combien de clin d'œil? Une réalisation un scénario génialissime et des acteurs ouhhhhhhh des acteurs..... Hannibal Lecter est le pendant humain et sophistiqué du grand blanc de Spielberg. Et le personnage de Clarisse Starling a très largement inspirée celui de Dana Scully dans Xfiles. Certaines scènes sont mythiques tout comme certaines tirades. Hannibal Lecter horrifie autant qu'il fascine. Et les faces à faces rares dans le film entre Clarisse et Hannibal sont d'une telle intensité qu'ils portent littéralement le film. Et pour votre culture personnelle l'affiche du Silence des agneaux reprends une photo: In Voluptas Mors,� photo de Philippe Halsman (avec la collaboration de Salvador Dalí), 1951. La tête de mort sur le thorax du Sphinx sont un groupe de femme photographié en noir et blanc. :-)
Adaptation du roman éponyme, « Le Silence des agneaux » vaut sa réussite à un scénario malin mais surtout au face à face d’une rare intensité entre une jeune flic incarnée par Jodie Foster et un monstre sacré du cinéma dans le rôle de sa vie, Anthony Hopkins qui campe Hannibal Lecter, docteur psychopathe cannibale, avec une présence démente. Il faut être conscient qu’il apparait en tout et pour tout 18 minutes à l’écran mais que ces 18 minutes sont toutes magistrales et l’on fait entrer au panthéon des acteurs hollywoodiens tant son interprétation est à la fois fascinante et effrayante. Il vole la vedette à tous les autres acteurs, de par son attitude en permanence ambiguë, sa gestuelle, ses regards, sa voix, son élocution. Le scénario est également brillant, captivant, très centré sur la psychologie des personnages plutôt que sur un déluge de meurtres, Jonathan Demme privilégiant la suggestion à l’exposition. Sans jamais laisser retomber le suspense et l’angoisse il nous offre un final dantesque, riche en intensité et qu’on n’est pas prêt d’oublier. On regrettera à ce titre une saga Hannibal bien moins inspirée par la suite avec « Hannibal » (2001), « Dragon Rouge » (2002) ou « les Origines du Mal » (2007). Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Ce film est un chef d’œuvre. Une grande réalisation de Jonathan Demme avec la dualité de deux grands acteurs Jodie Foster qui joue Clarice Starling et Anthony Hopkins qui incarne le professeur Hannibal Lecter. Dès le début de cet œuvre, on est entraîné par ces images, cette enquête sur Buffalo Bill nous capte et nous donne envie de savoir son dénouement. Les regards caméra du film nous donne cette sensation d'être en immersion dans cette enquête et d'être au cœur d'indices qui n'ont jamais été découverts auparavant. La couleur a un traitement particulier dans le film avec cette confrontation du blanc et du rouge sur Hannibal Lecter et du vert sur Clarice Starling. Le blanc a une connotation de pureté et de savoir divin et elle se combine avec le rouge qui conduit à ce paradoxe sur Hannibal Lecter avec la violence et le cannibalisme avec le sang. Pour le vert qui est sur Clarice Starling, elle est engloutie dans du vert celui de la mort celle de son passé et celle des victimes de Buffalo Bill et du meurtrier. Hannibal Lecter a quelque chose de divin à travers l'utilisation de ces sens très aiguisés, cela en fait un personnage atypique et tellement intelligent malgré l'horreur qu'il porte en lui. Il se nourrit de l'humain pour pouvoir en déceler tous les vices possibles qu'il peut produire. Il semble être le maître de l'inconscient de l'humain, en comprend tous les rouages et anticipe les cruautés des serials killers. Son appétit de l'humain en fait un personnage diabolique et sa relation avec Clarice Starling l'adoucit et le rend moins maléfique. Cette relation est la clé du film.La technique de réalisation pour montrer ce duo est d'une grande maîtrise. Chef d’œuvre à voir et à revoir.
Juger référence absolue du film de tueurs en série, J’ai enregistré ce film car c’est l’un d’eux qui a réellement boosté la carrière d’Anthony Hopkins, dans la peau du plus célèbre serial-killer. Le C.S.A. à juger ce film -16 Ans et Télé-Loisirs avec ****, personnellement, chuis loin du compte. Pourquoi ? Simplement parce que je mettrais déjà -12 Ans, il n'y à eut q'une seule phrase grossière, et pas très catholique comme dirais l’autre, chuis d’accords, mais y à aucune violence physique ou autre violence verbale laissant penser à un tel niveau de classification, ou alors, c’est que j’y connais franchement rien, car chez moi, -16 Ans, c’est de la belle vulgarité dans toute sa splendeur, de la belle violence physique pour bien faire mal par ou ça passe. Mais j’dois rien n’y connaître, ça doit être ça. Par contre, j’ai presque adoré l’interprétation mais pas toujours compréhensible d’Hopkins, spoiler: mais il à le personnage et c’est déjà ce qu’il faut. Et la façon dont il piégeait la jeune élève du F.B.I. était également pas mal du tout. Par contre encore une fois et c’est plus dans le film lui-même, c’est que je comprends pas pourquoi le directeur du F.B.I. confis le énième interrogatoire de Lecteur à une recrue, c’est complètement stupide, une élève, c’est tellement simple, surtout pour un énorme tueur, de la mener en bateau et de la faire paniquer. A croire que les agents eux-mêmes savaient plus quoi faire pour tirer des infos sur lui et pour qu’ils se réfugient vers une élèves . Après, je sais pas si j’aurais envie d’en regarder d’autre de ces films, c’est assez compliquer d’en suivre l’histoire si on en comprend pas les dialogues et autres jeux de mots.
Je suis retourné voir ce film au cinéma et quel enchantement de redécouvrir ce film! Je l'avais vu très jeune et j'en avais des souvenirs d'angoisse. Et en effet, le film a particulièrement bien vieilli et l'angoisse est toujours là! Anthony Hopkins est absolument flippant et Jodie Foster est incroyable et totalement crédible dans son rôle de débutante au FBI. (On voit clairement qu'elle a inspiré le personnage de Scully dans la série X-Files)
J'ai vu ce film pour la première fois en 2018, il semble n'avoir pas pris une ride et on comprend aisément qu'il soit une des références du genre. À voir absolument.
un scénario noir, très bien construit, où les pistes sont multiples. l'enquête est glaçante, psychologiquement difficile parfois, rien n'est épargné au spectateur afin de mesurer l'aspect le plus noir de la nature humaine. une mise en scène précise, travaillée et un duo d'acteurs (dont un A. Hopkins plus inquiétant que jamais) formidable. un grand classique des thrillers psychanalytiques et horrifiques.
Du Grand Cinéma. Jodie Foster et Antony Hopkins réalisent une magnifique performance et le duo explose l'écran, Mention spéciale au personnage d'Hannibal Lecter, devenu culte. Tout comme Seven on suis le déroulement d'un Thriller Psychologique parfaitement ficelé du début à la fin, rythme accéléré, histoire sur deux tableaux, final parfait en tout point. Même en presque 30 ans de cinéma depuis, le Silence des agneaux captivent et se délecte avec autant de plaisir qu'au premier visionnage . C'est un Grand Film
Un très bon film policier (je ne le considèrerais pas comme un thriller) avec un duo Hopkins-Foster sensationnel et un scénario plutôt bon. De là, à le considérer comme un chef d’œuvre, c’est vrai que c’est un peu exagéré. Le film est bon mais il manque de profondeur, d’extrapolation à vie. Car pour un film faisant intervenir un psychiatre de génie, la critique de l’humain est plutôt limitée. Le coté policier est rondement mené mais, au vu des critiques, on aurait pu attendre quelque chose de plus.