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Un visiteur
5,0
Publiée le 6 novembre 2019
"Le silence des agneaux", je viens de regarder ce chef d'oeuvre pour la première fois de ma vie et je sais déjà que ça ne sera pas la dernière, les acteurs sont incroyables, le scénario est dingue et très bien ficellès, l'idée d'un tueur en séries qui aide le FBI a traquer un autre tueur est super intéressante, je ne sais que dire de plus a par qu'il faut avoir vue ce film au moins une fois dans sa vie, je vais m'attaquer au suite de ce film en espérant y trouver la meme qualités.
Clarice Starling, étudiante du FBI, chargée d'enquêter sur les meurtres d'un nommé Buffalo Bill, est dans l'obligation de soutirer des informations à un prisonnier, l'ex-psychiatre Hannibal Lecter, psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme. Un scénario bien construit, ou les dialogues nous mènent à des déductions nous permettant de progresser dans cette enquête. Une façon de filmer, donnant à l'objectif de la caméra le pouvoir de scruter, d'observer, comme notre regard pourrait le faire pour trouver le moindre indice. Une Jodie Foster éblouissante, attachante, trouvant dans cette production l'un de ses plus grands rôles. Anthony Hopkins époustouflant, dans son jeu d'acteur effrayant. Un métrage où règne une ambiance glauque, morbide, lugubre, qui invite une B.O angoissante à lier le suspense à cette histoire. Une magnifique réalisation à la vision puissante, aux personnages grandioses. Un très grand thriller qui à marqué pour toujours le monde du cinéma. A VOIR ET A REVOIR
J'avais gardé du Silence des agneaux un souvenir vague mais convaincu. Les références régulières à ce film iconiques et le re-visionnage de l'excellente analyse de la rencontre Clarisse / Hannibal par Every Frame a Painting m'ont convaincu de le revoir. La mise en scène est aussi raffinée que le personnage d'Hannibal, l'ambiance aussi glauque que Buffalo Bill et le scénario aussi sublime que Judie Foster. Un classique
Je viens de le revoir pour la je ne sais combien de fois toujours aussi captivant. Quelle interprétation de Jodie FOSTER et de Anthony HOPKINS. Touts les deux ainsi que le film récompensés par l'Oscar.
Un bon scénario. Encore que les ficelles sont grosses et on les voit arriver. Mais des acteurs qui sur jouent et une réalisation très 80's. A mal vieilli.
ce film reste une référence dans le genre, mêlant thriller et horreur et moins démonstratif et sanguinolent que ses successeurs sur les serial Killer .même après l'avoir vu plusieurs fois et connaissant la fin .on ne s'ennuie pas toujours sur le qui vive.une réussite.
Cette adaptation du roman de Thomas Harris du même nom, publié en 1988, a été saluée par la critique lors de sa sortie. Elle est devenue le troisième film à remporter l’Oscar dans les cinq meilleures catégories : Meilleur film, Meilleur réalisateur, Meilleur acteur, Meilleure actrice et Meilleur scénario adapté. Les deux autres étant « New York-Miami » (1934) et « Vol au-dessus d’un nid de coucou » (1975). Les professionnels du cinéma citent régulièrement ce chef-d’œuvre comme l’un des films les plus importants et les plus influents de tous les temps. Ce fut aussi un succès au box-office. Ce film est tellement parfait à tous les niveaux qu'il mérite pleinement éloges, respect et admiration, et il devrait être vu par tous au moins une fois dans sa vie.
Un thriller oppressant, avec un Anthony Hopkins qui nous effrais malgré sa détention. Et une vaillante Jodie Foster prête à se mettre en danger pour retrouvé un serial killer.
Ce film est tout simplement un pur chef d'oeuvre. Bonne ambiance pesante, énorme chute, retournement de situation, complexité. Enfin bref, ce film est complet et franchement c'est sûrement le meilleur film Thriller.
La force du Silence des Agneaux, c’est de distiller nombre de scènes à la psychologie poussée et glaciale. Plus qu’un film d’horreur, il s’agit d’un thriller rondement mené, qui souffre de quelques longueurs toutefois. Mais le spectateur est entraîné dans une chasse à l’homme inédite et psychologiquement intense, grâce aux ficelles tirées de main de maître par le Dr Lecter dont l’interprétation par Anthony Hopkins laisse de marbre...
Le livre est un chef d’œuvre de la littérature policière horrifique. Et le film de Jonathan Demme suit le même chemin. Il ouvrira même la voie sur la mode des tueurs en série dans le cinéma américain des années 90 qu'on verra dans Seven, Copycat, Le Collectionneur, Bone Collector, etc, etc. Sa grande force, c'est de distiller un profond malaise tout le long sans pratiquement aucun effet gore en dehors de spoiler: l'évasion du docteur Lecter . Tout est suggéré. Ce qui en renforce la puissance. Le Silence des agneaux, c'est un formidable affrontement psychologique entre un psychopathe et une jeune recrue du FBI. Un psychopathe, qui, à première vue, n'en est pas un. Il a des goûts raffinés. Il aime la bonne bouffe, le vin, la musique classique, les jolies femmes. Il est intelligent, suave, a de bonnes manières. Et il n'a pas son pareil pour manipuler les gens, les tenir sous sa coupe, les influencer, de par son passé de psychiatre. Ainsi, on ne sait pas trop qui tient les rênes. Est-ce lui qui détiendrait la clé du mystère sur l'identité du meurtrier de plusieurs jeunes femmes dépouillées de leur peau ? Où est-ce cette étudiante perspicace mais qui s'habille comme une professeur d'histoire/géographie en fin de carrière ? Un lien étrange se nouera entre eux. Un mélange de fascination, d'attirance, d'amour, de répulsion. Enfermés tous les deux dans une sorte de cocon hors du temps excluant tous les autres. Le directeur de l'asile. Le mentor de Clarice qui pourtant l'avait mis en garde contre les techniques de séduction d'Hannibal Lecter en l'incitant de ne pas trop se dévoiler. C'est précisément ce qui la rend attachante, d'ailleurs. De garder la tête froide alors qu'elle en fait tourner tellement autour d'elle. Ce mélange de force, d'intelligence, de froideur et de fragilité par rapport à ses blessures d'enfance. Il fallait bien ça pour tenir tête à un méchant d'anthologie dont la présence à l'écran ne doit pas dépasser les quinze minutes. Cette pluie de récompenses obtenue est amplement méritée.
spoiler: Un tueur en série dans la nature et un brillant psychopathe derrière les barreaux qui ne souhaite qu'à goûter votre chair... Une traque pour le premier, un jeu du chat et de la souris avec une stagiaire de l'agence pour l'autre... Dès la première minute, le ton est donné avec ce thème sombre que nous a composé le grand Howard Shore et cette scène qui se déroule par temps brumeux... En adaptant le roman de Thomas Harris, Jonathan Demme nous offre un thriller sombre et curieusement envoûtant. On ne peut être que subjugué par le charisme d'Anthony Hopkins dans le rôle du docteur Hannibal Lecter, et de Jodie Foster dans le rôle de la jeune et jolie Clarice Starling. Jonathan Demme nous montre à travers son film les pires monstres existant dans ce monde : des meurtriers froids, sans pitié, manipulateurs... Mention spéciale également à Ted Levine pour son rôle de pur psychopathe qui fait froid dans le dos... Le silence des agneaux est un bijou du thriller, qui a totalement repensé les codes de ce genre, et ce pour notre plus grande joie ! On ressent la peur face au regard de ce cher docteur Lecter, le dégoût face à cet être immonde qu'est Buffalo Bill... Bref, un film qui fait office de montagne russe au niveau des sensations et des sentiments (c'est mon avis après tout). Résultats des courses : plus de 3 millions d'entrées, près de 270 millions de dollars récoltés dans le monde, et bien sûr 5 Oscars, et pas n'importe lesquels s'il vous plaît : meilleur film, réalisateur, acteur (Hopkins), actrice (Foster) et scénario adapté ! Ces récompenses sont à mon goût amplement mérités !! Et 28 ans plus tard, le film n'a quasiment pas pris une ride, c'est dire !! Bref, celui qui n'a pas entendu parler une fois dans sa vie vient de louper quelque chose de grandiose ! Alors si vous ne l'avez encore visionné, alors foncez !!! Comme le disent si bien les critiques professionnelles, "le silence est d'or" !!
Jonathan Demme nous hypnotise avec sa relecture des romans de Thomas Harris pour une incursion au sommet de la folie humaine. D'un point de vue cinématographique, Le silence des agneaux me réconcilie avec Hannibal Lecter puisque Dragon Rouge manquait cruellement de personnalité malgré mon amour envers Michael Mann et le personnage de Will Graham. Heureusement que la série de Bryan Fuller a su redonner ses lettres de noblesse à une franchise qui sombre dans l'oubli. Revenons à notre version qui se veut une transcription fidèle aux romans de Thomas Harris. Néanmoins, respecter scrupuleusement une oeuvre pose une question centrale : mettre en image une oeuvre dont l'imaginaire du lecteur s'est approprié. Une tâche ardue. Pourtant, dans son style citadin, ultra-réaliste, Jonathan Demme n'épargne jamais le spectateur. Une quête démesurée dans la folie des hommes. A cela s'accompagne d'un casting exceptionnel : Anthony Hopkins et son rôle iconique ou Ted Levine dont le talent fut éclipsé par les 25 mn du Docteur Lecter. C'est tellement injuste et son rôle mérite une réhabilitation. On oublierait presque le rôle de sa vie - Jodie Foster, impeccable dans ce rôle de femme forte étouffée dans ce monde d'homme. On porterait presque un message féministe derrière Le silence des agneaux ! Avec ses atouts indéniables, je ne peux malheureusement dire que je fus totalement conquis. Des longueurs, un mécanisme qui laisse guère de place à l'improvisation et à la surprise, cette oeuvre s'inscrit en cohérence avec son temps. Un modèle du genre mais dont les errances seront gommées par ses successeurs.
Superbe film, on y est plongé, ce film regroupe pratiquement toutes les qualités d'un chef d'oeuvre, soit des acteurs talentueux comme Antony Hopkins qui joue a la perfection Hannibal, une superbe histoire, et un bon réalisateur au commandes. Seulement le rythme est assez lent, on peut s'en lassé et c'est bien dommage. Certaines partie du film sont beaucoup trop longue à mon gout. C'est un classique du cinéma et on a pas besoin de se poser le pourquoi du comment.