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Ryuka92
10 abonnés
143 critiques
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2,5
Publiée le 1 juin 2015
Max est encore une fois de retour pour une troisième aventure. Suivant l'univers post apocalyptique instauré par le deuxième film on le retrouve dans un désert aride se faisant voler sa caravane. Pour remettre la main sur son bien il va rejoindre Bartertown; la ville du troc. Il va faire la connaissance de la dirigeante de la ville l'Entité qui va l'engagé pour se débarrasser d'un individu gênant pour elle, mais Max ne va pas pouvoir s'y résoudre. Ayant rompu son engagement il va être abandonné en plein désert, tel sera sa peine. Il va y survivre et tomber sur un groupe d'enfants survivants qui vont l'accueillir comme un dieu. Les grandes lignes du scénario maintenant posée on peut s'intéresser au casting où l'on retrouve Mel Gibson dans son désormais célèbre rôle de Max, mais encore différent des deux autres épisodes. Plus vraiment hanté par les évènements de Mad Max premier du nom, son caractère sera toutefois bien différent, moins solitaire et plus compatissant envers son prochain il hésitera plus d'une fois à plusieurs moments clés et se soucieras plus des autres, de leur avenir. Bruce Spence reprend un rôle d'aviateur mais ca ne sera pas le même personnage que dans le 2. Et enfin l'Entité est joué par Tina Turner, une reine en côte de maille et autres breloques d'argent. Il faut avouer qu'elle en impose dans ce film et sa présence charismatique vaut la peine de le voir. Le choix a donc été bon et heureusement car sinon il n'y aurait pas grand chose à retenir de ce troisième épisode. Comme le précise Georges Miller chacun des films est à part et la série ne possède pas de chronologie spécifique. Ainsi celui-ci emprunte les base du 2 pour son univers mais se différencie grandement sur beaucoup de plans. L'univers utlra violent et rageur du précédent s'adoucie énormément ici quitte à ressembler à un Disney. Presque un comble pour notre héros habitué au sang, la sueur et l'odeur de l'essence. On peut même y trouver un hommage à Peter Pan dans ce groupe d'enfants abandonnés à leur propre sort. Les fans seront donc déçu de cette orientation plus grand public et au changement de caractère de Max. En revanche Miller abandonne en partie la mise en scène et sa patte qui a fait le succès de la série pour tenter certaines choses qui ne sont pas sans risque. L'exemple le plus flagrant est quand la vraie nature du personnage de Blaster est révélée, il se retrouve pleins de compassion incapable de l'achever parce que sous le masque se cache un terrible secret que je ne vous spoilerais pas mais qui s'avère osé pour l'époque. Une ambiance encore différente qui sert un rythme pas forcément élevé et pas non plus constant. Des moments de plats qui n'existaient pas avant font leurs apparitions et on baille de temps à autre. En définitive le moins bon des Mad Max, le plus gentillet, le moins bien foutu et rythmé mais il a le mérite d'oser certaines choses et de mettre au premier plan Tina Turner au casting. Sans oublier sa magnifique jaquette qui pourrait être digne de celle d'un Star Wars. A voir juste pour dire que l'on a vu cette trilogie épique et culte entièrement.
Le troisième épisode de la saga culte Mad Max est décevant. Malgré que les acteurs sont bons avec des costumes toujours kitch, et que le film possède son lot de décors impressionnants, cette troisième aventure apocalyptique ne parvient pas retrouver le souffle épique des deux films précédents. Le scénario n'a pas grand chose à offrir et donne l’impression de tourné en rond pendant plus d'une heure. Les scènes d'actions et course-poursuites motorisés dans le désert Australien ont un petit cote novateur, du moins en apparence mais, elles deviennent trop banales pour qu'elle créé un véritable impact chez le spectateur. La plus grande aventure de Max est loin d’être ce troisième film qui s'écarte de la continuité chronologique de la franchise. En effet, Mad Max 3 n'est pas la suite du deuxième film. Ce Mad Max à plutôt l'aspect d'un remake que d'une suite direct. C'est le cas, puisque le quatrième film qui viens de sortir en salles est une vrai suite de Mad Max 2, Le Défi. Pour de nombreux fans, la plus grande aventure de Max c'est le deuxième film. C'est bien vrai. Mais, il est fort a parier que le dernier film, frappera plus fort que le deuxième volet. La Bande-Annonce, nous annonces du lourd. Ce sera peut être la plus grande aventure de Max. On verra bien. Pour terminer sur cette critique, la dernière chose à dire sur cette troisième aventure du Guerrier de la Route, c'est qu'elle souffre d'un véritable handicap. Son manque d'originalité.
Là, c'est le gouffre ! "Mad Max" vient mettre un terme à sa trilogie avec un véritable nanar. Difficile de retrouver l’esprit des précédents épisodes ; ici, il faudra patienter 1h20 pour rencontrer les pirates de la route et avoir droit à une course poursuite (un guerrier de la route au chômage ?). George Miller a modifié la recette sur ce troisième opus, espérant combler le vide scénaristique par une écriture too-much et non-maitrisée, au point d'assimiler ce dernier comme un "hors-série". Ce n'est pas le "Mad Max" que l'on a pris l'habitude de côtoyer ! Ce dôme du tonnerre entraînera les fans de la saga vers une déception sans nom, et les curieux dans un désintérêt le plus total.
Troisième opus de la saga, 4 ans après son excellent prédécesseur. Cette troisième aventure de l'anti-héros futuriste reste la moins prenante de la première trilogie. L'histoire est vraiment sans plus. Je n'ai également pas apprécié les personnages secondaires. On ne s'y attache pas du tout, surtout pour les enfants spoiler: ayant sauvés Max dans le désert, qui eux sont plutôt énervants, avec leur espèce de petit village isolé, faisant rappeler plein d'autres films. Je trouves aussi le personnage de Mel Gibson moins expressif qu'avant. Sinon, le visuel est plutôt réussi et les scènes d'action de fin sont bien sympas avec spoiler: la course poursuite du train. Un troisième film bien moins culte que les autres, mais qui reste passable, et qui se regarde pour compléter la saga.
Les 20 premières minutes du films très intéressantes laissent place à une aventure pour enfant navrantes....Le fond n'est pas si mauvais...mais ce changement de rythme condamné totalement le film qui aurait mieux fait d'être de bout en bout une aventure critique des dérivés sociétés. ...dommage. Le mélange des genres est indigeste.
Parmi les trois opus de la trilogie "Mad Max", le dernier est celui qui a été le plus critiqué et est globalement le moins apprécié. L'histoire se déroule trois ans après les évènements du précédent film. George Miller revient derrière la caméra mais il n'est plus tout seul. Il se fait aider par George Ogilvie, un ami avec lequel il avait travaillé sur une mini-série. En revanche, pour l'écriture le cinéaste australien est accompagné de **Terry Hayes** qui avait déjà collaboré sur le deuxième film. Ensemble, ils vont élaboré le scénario de ce nouvel "Mad Max" et pas mal s'éloigner des autres volets. Alors que le premier film avait fait scandale pour sa violence, se faisant censurer dans de nombreux pays, et que le deuxième avait impressionné par sa course-poursuite finale, ce troisième quant à lui ressemble plus à un film d'aventure familiale. Le film est tout public et le récit fait intervenir plusieurs enfants. Nous sommes bien loin de la brutalité et du futur pessimiste dont on avait eu droit. On comprend que cet opus ait déçu et faut admettre qu'il est inférieur aux deux autres. Il y a plusieurs longueurs, l'histoire est inconstante, étant parfois intéressante, parfois ennuyeuse et peu crédible. L'ennuie touche le spectateur à plusieurs reprises. Cependant, le film se rattrape pas trop mal vers la fin et la bande originale de **Maurice Jarre** colle plutôt bien à l'univers. Et puis, la chanson "We don't need another hero" de Tina Turner est plutôt cool. "Mad Max : Beyond Thunderdome" est en fait un film d'aventure familial assez moyen et irrégulier mais qui n'est pas si terrible que cela.
Troisième (et dernier pendant 30 ans) volet de la série, Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est généralement le moins aimé de la saga. Effectivement, le film possède d’excellents côtés et des aspects plus négatifs. Ainsi, la première partie du film est dans la droite lignée du second épisode même si le monde commence à se réorienter vers une société plus civilisée. George Miller, cette fois associé à la réalisation avec George Ogilvie, nous offre des idées assez fortes comme celle du dôme du tonnerre (avec le mémorable refrain : « Deux hommes entrent, un homme sort ») et des personnages marquants comme le duo Maître/Bombe (Master/Blaster en V.O.) et Entité (Aunty Entity en V.O.). Le coup de génie de Miller et Ogilvie est de faire interpréter cette dernière par Tina Turner. En effet, elle utilise toute son expérience de la scène pour créer son personnage de dirigeante excellente oratrice, sur-jouant volontairement : il est surprenant que la chanteuse n’ait pas réellement continué dans cette voie, vu son charisme. Cette première partie est assez proche du second volet. C’est à partir du second acte que les critiques se font souvent entendre. Au bout de 45 minutes, George Miller et George Ogilvie changent d’univers. Max se retrouve confronté à des enfants ayant recréé une civilisation assez archaïque. L’idéalisation que les enfants font de Max rappelle celle des Ewoks pour C3PO dans Le Retour du Jedi. La référence à ce film, sorti un an avant, peut être assez juste car Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est plus orienté vers le grand public que les deux premiers, ce qui est accentué également pendant tout le film par un humour absent du premier et peu présent dans le second. Dès lors, le rythme est moins soutenu et l’intérêt faiblit même si la manière dont les réalisateurs décrivent la création des croyances religieuses dans les sociétés est assez intéressante. Le troisième acte constitue une rencontre entre ces deux civilisations aboutissant à une course-poursuite (il en fallait bien une pour ne pas oublier que nous étions dans un Mad Max). Celle-ci est assez réussie mais est moins palpitante que celle du second volet. De plus, cette partie possède des faiblesses de scénariospoiler: : pourquoi Max estime qu’il faut retrouver Maître ? (on ne le saura jamais), pourquoi la simple évasion des héros dans un camion provoque des explosions dans la ville ?, pourquoi Entité laisse la vie sauve à Max ? ...
Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est donc assez inégal. D’un côté, nous avons un scénario beaucoup plus complexe que les précédents épisodes, des décors impressionnants, une séquence marquantespoiler: (celle du combat dans le dôme du tonnerre, rappelant le péplum) , des personnages charismatiques, des idées scénaristiques intéressantesspoiler: (l’utilisation du méthane issu des excréments de porcs pour créer de l’énergie préfigurant les énergies propres qui vont commencer à être développées quelques années après) et une musique très réussie signée par le grand Maurice Jarre. De l’autre, un aspect grand public et un humour peu raccord avec l’univers habituel de Mad Max, un rythme moins soutenu que dans les précédents et de multiples incohérences. De plus, il est assez surprenant de retrouver Bruce Spence dans un personnage proche de celui qu’il interprétait dans le second mais qui n’est pas le même : il est toujours pilote mais il a un enfant et Max et lui ne se connaissent pas au début du film. Cependant, on accepte rapidement cette non-continuité de personnage. Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est donc un film à la fois marquant et à la fois décevant se situant dans une série dont les épisodes sont très différents les uns des autres.
"Mad Max 3" ou, comment changer une saga « road moviesque » bien badass en film d'aventure familial PG-13. On retrouve dans ce film un Max un poil négligé (le malheureux a une frimousse à en faire baver Travolta) qui se retrouve par hasard au milieu d'une cité de troc gouvernée par une certaine Entity... Nous sommes en 1983. George Miller est en pleine préparation du troisième volet des aventures de Mad Max lorsque son ami et collaborateur de toujours Byron Kennedy, producteur et co-scénariste des deux premiers films de la franchise, meurt dans un accident d'hélicoptère. Très attristé par cette tragique disparition (on le comprend), Miller s'entourera autant que possible de précédents collaborateurs sur la saga pour le tournage de "Mad Max : au-delà du dôme de Tonnerre", et engagera son ami George Ogilvie pour l'assister à la mise en scène. Il s'offrit également les services de Maurice Jarre à la BO, et de la chanteuse Tina Turner comme guest star, elle-même étant accompagnée par La Boule de Fort Boyard, qui perdra d'ailleurs ses propres boules en cours de route. La première chose qui marque dans ce film, c'est la rupture avec le côté sombre et violent des premiers films, et ce dès les premières minutes. Après, on croit pendant un moment revenir à une atmosphère plus caractéristique, mais ce sentiment est balayé en un rien de temps. Le fait est que le scénario est complètement bidon, complètement vide, et rajouter tous ces mômes donne un côté « Goonies » très agaçant à l'ensemble. On sent Miller peiné par la mort de son ami, et aussi, rattrapé par tous les aspects bien-pensants des sagas américaines. Le film est relativement divertissant (malgré quelques instants d'ennui) mais il faut tout de même attendre 1 heure 22 de film pour voir enfin ce qui caractérisait les opus précédents : une poursuite et des moteurs vrombissants, de la poussière et des explosions (un peu). La bonne petite trouvaille restera ce train-camion, m'enfin c'est complètement incongru... Le final est bon quoiqu'en totale opposition avec le ton du film. "Mad Max 3", ou comment casser tout un mythe.
Ce troisième opus de la saga "Mad Max" m'a beaucoup déçu car je m'attendais vraiment à autre chose et il est de loin le moins bon de la trilogie. Pourtant toujours réalisé par Georges Miller, ce troisième épisode n'a plus grand chose à voir avec les autres, il y a beaucoup moins d'action, le début est très long à démarrer et le scénario n'est finalement pas très intéressant. C'est toujours l'histoire de Max (toujours très bien joué par Mel Gibson) qui après une guerre nucléaire sillonne toujours les routes du déserts mais cette fois avec des chameaux qu'il s'est fait dépouiller. Il arrive ensuite à Bartertown, petite ville dirigée par Entité (Tina Turner qui est d'ailleurs un très bon choix pour incarner ce genre de personnage) où, en bref, il lui arrive pleins de problèmes, il se retrouve ensuite après pleins de péripéties dans une colonie d'enfants sauvages qu'il va devoir aider. Le scénario est donc assez basique et n'apporte pas beaucoup de surprises car il est assez prévisible. De plus, on ne voit que très peu de véhicules, spoiler: ils sont surtout présent dans la scène finale qui est une course poursuite, c'est donc assez dommage de ne les voir qu'à la fin du film. "Mad Max 3" est donc un film décevant mais qui a quand même le mérite d'être vu, au moins pour entendre sa B.O qui n'est pas mal du tout.
Dans ce troisième volet,Mel Gibson est toujours confronté à la pénurie d'eau à cause de l'agrandissement des déserts. Les habitants sont aussi fous que dans le deuxième volet. Mais il doit affronter l'inquiétante Entité interprétée par la chanteuse Tina Turner qu'on a beaucoup critiqué négativement sur interprétation de son rôle. L'univers avec les enfants indiens d'Amérique du Sud rend hommage à Peter Pan .
Si les deux premiers Mad Max étaient des films de genre barrés qui savaient utiliser le second degré, ils conservaient un sérieux que dès le départ, ce troisième volet rejette. Verser dans la série B pur jus ? Pourquoi pas, tant que le dosage demeure précis et que le rythme vient effacer les défauts sans laisser trop de temps pour s’appesantir dessus. C'est ainsi qu'est la première partie de ce Dôme du Tonnerre, maintenant plutôt bien l'intérêt malgré un virage série B assez casse-gueule grâce à de l'entrain et un univers plutôt fun. L'espace de 30 minutes, j'ai donc pris du plaisir, un plaisir plus léger et moins marquant que celui que visaient Mad Max 1 et 2, mais ça n'était pas désagréable. Ça, c'était avant que le volet final de cette première trilogie envoie Max diriger une colo de vacances et ne s'enfonce définitivement dans les plus bas tréfonds du navet. Si je met une étoile pour la première demi-heure, je n'en oublie pas moins que la suite aura été interminable, et qu'il y a belle lurette que je n'avais pas trouvé le temps aussi long devant un long-métrage. Un condensé de niaiserie et le gâchis d'un univers qui méritait mieux. Vivement que Fury Road reprenne les rênes et exploite au mieux le potentiel de Mad Max, ce que la première trilogie aura je trouve, eu toutes les peines du Monde à réussir.
"Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre" est une suite que peu m'ont recommandé (les critiques étant très moyennes). Mais étant maintenant fan de cette univers après le second long-métrage, je me devais de le voir. Et bien je ne comprend pas vraiment pourquoi cette suite est autant décriée ?! J'ai passé un très bon moment. Si ce n'est une ambiance qui est soit plus enfantine, je ne remarque pas tant de défauts ! Cette suite s'inscrit parfaitement bien dans la continuité de l'univers et est divertissante. Le scénario est développé et les protagonistes y sont ainsi charismatiques et les enjeux intéressants. George Miller met en scène cette nouvelle fresque post-apocalyptique avec un "indéniable" talent ! La réalisation est toujours aussi efficace et palpitante. Particulièrement lors de la course-poursuite finale qui est dotée d'adrénaline à 100%. Certaines séquences sont absolument dantesques et les combats bien chorégraphiés. Les acteurs sont toujours aussi convaincants dans leurs personnages. Le film à sa part d'ombre et de mystères mais l'humour n'est cependant pas absent ! Les gags sont efficaces et "surprenants". L'histoire ne perd quand même pas sa crédibilité et son impact philosophique. Une œuvre post-apocalyptique prenante et passionnante dont j'attend une suite impatiemment malgré les reboots en production.
Terrible troisième volet de la saga Mad Max, Beyond the Thunderdome n’a rien à voir avec les deux films précédent : noir et chaotique. Avec plus de budget mais d’avantage de pression des studios, Mad Max 3 : Beyond the Thunderdome est, cette fois, orienté grand public, un changement pour la saga réputée violente. Mais quelle déception pour les fans.
Dans ce nouvel épisode de Mad Max, on en découvre d’avantage sur le monde apocalyptique qui règne depuis les deux premiers volets, une réjouissance pour les fans qui y découvrent une Sydney en ruines. La première partie du film est fidèle aux deux premiers volets et promet une histoire intéressante. Mais voilà, Max plongé dans une ville de contrebande n’était que poudre aux yeux. Car, la deuxième partie du film se concentre sur un duel de pouvoir de l’improbable Tina Turner ! Il est évident que sa place dans le film est tout à fait discutable tant son jeu d’actrice est douteux. Et, pour parfaire l’image grand public, Max se retrouve en pleine tribu des enfants perdus façon Peter Pan ! Exit, le petit garçon sauvage mais fin tueur de Mad Max 2 : Road Warrior, dans Beyond the Thunderdome ce sont des gentils petits enfants bien mignons.
Au final, tout cet esprit naïf et enfantin est en total contraste avec les deux premiers volets de la saga qui sont frappants de violence et laisse un goût amer aux fans qui en attendaient d’avantage de ce troisième volet.
Une demis étoile pour la fin du film !!! C'est tout. Il a voulu refaire un goonies version Mad Max avec des enfant ? Ou sont les voiture , la violence ... Y a plus rien. Une trilogie bien fade de toute façon.
Loin d'avoir de mauvaises idées, certaines sont mêmes cohérentes, d'autres très éloigné de "Mad Max" portent clairement la marque de George Miller, auteur de la saga. Le mélange ne fonctionne tout simplement pas du tout. Si il garde toujours l'aspect héros mythologique, et continue de faire évoluer son futur post apocalyptique vers le renouveau du monde cette fois, la nouvelle orientation "familial", loin de la violence des deux premiers volets a l'effet d'un choc, pire, de s'être trompé de film. On a pas souvent l'impression d'être devant un film appelé "Mad Max". Impression du aux coulisses du film, après que Miller a accepté de réaliser un troisième "Mad Max" avec une colonie d'enfants perdus, le décès de son ami et producteur Byron Kennedy a retiré son intérêt pour le projet. Le résultat à l'écran est bâtard, Miller n'ayant au final pas réalisé grand chose si ce n'est les scènes d'actions et a laissé la mise en image du reste a George Ogilvie, un collaborateur de ses années télés. Toujours interprété par Mel Gibson, Max n'a plus rien d'un anti-héros, se laisse bêtement guidé par les évenements, la scène d'action finale qui est une poursuite ( sans doute l'un des rares moments ou on se sent dans un "Mad Max") comme un cheveux sur la soupe de manière totalement artificiel , et qui se conclue par un foutage de gueule en plus, Tina Turner... Ba elle est là... Au final on ressort de là frustré, parce que ce film est très ennuyeux et porte mal son titre. Ne pas refaire "Mad Max 2" est un risque, mais un risque intéressant au fond pour emmener la saga vers d'autres horizons.